samedi 2 mai 2015

Sagesse. Pourvu que cela dure

Sagesse, ode à un amour dissipé..  

Un amour infini, une haine gueuse... 
Puis un amour relatif, mesuré.. 
(Aux heures creuses)... 
Et le plat des jours uns à uns égrenés...
Ni vraiment heureux, ni malheureux
Ni amers ni radieux... 



Dans les abysses de l'Océan
La vague s'est effondrée 
Et lentement s'est perdue 
Et la terre a séché, la fournaise,
Fissures par le vent arasées.
Ce soir je ne t'aime plus. 

Je ne suis plus la religieuse portugaise
Mais Hélène, la Comtesse aux pieds nus.

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