jeudi 30 janvier 2014

Ribéri, Benzéma, les footballeurs humoristes (mais ils ne font pas exprès)




LE DOSSIER
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/03/nous-nirons-plus-au-bois-le-viol-mini.html

Une vache heureuse!

http://youtu.be/bhUgsyylme4

Miranda Gibson, vit depuis un an dans un arbre pour sauver une forêt !


Pour un cerisier en danger par heleneclaude

http://www.theguardian.com/profile/miranda-gibsonmiranda-gibson
449 jours dans son arbre.. à 60 m du sol !! En encordée.. Sans descendre. Ça en vaut la peine dit-elle. Touchée++++!!! Un combat qui est le mien, juste multiplié par un facteur infini!

Pub sexistes, rétrospective



gg

Les publicités sexistes retournées, un jeu !



Une pub sexiste de Midi Libre -la femme assimilée à un bien de conso, une ''prime'' qui ''va avec'' la bagnole ET le permis, forcément.. quoique..- ML qui à coup sûr va rectifier avec celle que je propose ici.

mercredi 29 janvier 2014

Des différentes manières de dire "tu es une merde"


Cliquer sur le lien

Joséphine, images loufoques








Cliquer sur le lien pour l'article ''Joséphine Baker au Panthéon, oui!''

Monsanto. A éviter ses sous marques. Risques OGM et viandes cachées pour les vegan

Jus de coccinelles ou d'insectes écrasés dans les gâteaux, sécrétions anales de castor, goudrons dans les bonbons, engrais, cheveux ou laine, graisse de boeuf dans les biscuits, estomac de veau dans les fromage, sable dans les ''chi lis''.. Voilà ce que, même vegan, on mange à notre insu.

Cliquer sur la merde pour ouvrir le lien.

Joséphine et Charles..


Cliquer sur l'image pour l'article ''Joséphine Baker au Panthéon''.

La résistance aux nazis a réuni dans un même combat -héroïque mais parfois cocasse- des personnages.. improbables, opposés sur tout le ''reste'' (devenu sans importance) comme toute catastrophe naturelle ou humaine. Le Général et Joséphine par exemple.

mardi 28 janvier 2014

Joséphine Baker au Panthéon, OUI Régis!!


Oui, Joséphine Baker (lien) au Panthéon, ça, ce serait un signe féministe fort. Une femme qui, contrairement à ce qui est plus ou moins exigé de nous pour tout honneur, celui-ci étant exceptionnel, n'a non seulement jamais renié mais mis en évidence de manière éclatante sa féminitude ET sa féminité, toutes deux à la puissance ''n'' car noire -en fait, indo africaine, ce qui est pire-, dans l'idéologie sexo raciste de l'Amérique du KKK, elle était doublement femme : femme-indigène, pas vraiment humaine, simple femelle. Dans ce pays né d'un génocide -des siens- dont elle était issue, déjà célèbre pourtant, ne fut-elle pas interdite d'entrée dans un restaurant -elle se battit, elle était athlétique ! et amocha le vigile?

C'est ainsi qu'elle choisit la France. Un pays où ''je n'ai pas honte d'être noire'' disait-elle et à qui ''elle devait tout''. Ce qu'elle eut à coeur de ''restituer'' et là aussi, magistralement, Joséphine, dans l'engagement comme dans l'amour, -sous toutes ses formes!- ne faisait pas dans la demi mesure. (Un de ses amants écrivain disait d'elle que, ''là'' aussi, elle se montrait une ''meneuse de revue'' redoutable, infatigable, sacrée Joséphine !)

Une femme qui osa, à une époque où ça ne se faisait pas, mais pas du tout ! exhiber sans complexe une sensualité joyeuse et vigoureuse avec un enthousiasme.. communicatif. Drôle aussi, sans l'arrogance qui parfois caractérise ceux qui comme elle, ont réussi à triompher de situations humiliantes, injustes. Elle disait à propos des articles dithyrambiques à son sujet que depuis qu'il était l'objet de tels éloges, elle avait tant de respect pour son cul qu'elle osait à peine s'asseoir dessus.

.. Et qui, ''femen'' avant l'heure, sut s'en servir et renverser magistralement l'opprobre ouverte ou discrète que subit tout et surtout toute racisé/e, même talentueux/se : noire, femme, issue d'un milieu proche de la misère, elle surmonta et même retourna ces handicaps -dont un seul eût été dirimant- en sa faveur.. et se servit ensuite de son aura pour lutter contre l'injustice, pour résister à l'occupant nazi, espionnant pour la France libre au risque de sa vie. Qui aurait pu se méfier de cette poupée sexy qui dansait avec une ceinture de bananes à la taille pour tout costume? Décorée ensuite par de Gaulle (de Gaulle! qui ne recevait jamais un divorcé à sa table, avec ''mon truc en plumes''.. camarades, dans un même combat!) elle poursuivit son engagement en adoptant 12 enfants victimes de guerre, du racisme, et du coup perdit son mari (il craqua.. je me souviens plus au bout de combien, peut-être au dixième) et s'y ruina.

Elle en mourut indirectement. Aux abois, sa maison en passe d'être vendue, pour sauver sa nichée, elle lança un appel qui fut entendu. Des chèques affluèrent (de Bardot entre autres) et de Grace de Monaco.. qui lui demanda de réaliser et de conduire un spectacle dans la célèbre cité des plaisirs et de l'argent, ce à quoi, malgré ses 69 ans, elle s'acquitta avec la passion que l'on imagine. Ce fut un triomphe.. et elle mourut juste après d'un AVC sans doute relié à l'épuisement. Mais ses enfants étaient sauvés.

Une femme d'exception. C'est le Panthéon qui serait honoré de l'avoir et non l'inverse.. Et puis quoi, ça mettrait un peu d'ambiance. À côté de la tristounette Marie Curie.

Diana, l'humanitaire.. è pericoloso sporgersi

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Cliquer sur l'image pour l'article ''Valérie part voir les petizafamé en Inde''.

Malgré les bruits de plus en plus insistants mettant en cause la famille royale.. je pencherais plutôt pour les marchands d'armes..   Car depuis les histoires des Tudor, des Stuart, du sinistre duc de Clarence -petit-fils de Victoria et prétendant au trône-, des Windsor.. tous ces braves gens dont ils descendent plus ou moins, ils n'ont pas grand chose à redouter question réput.. Un assassin d'au moins deux de ses femmes, plus vraisemblablement quatre, -la sixième a réchappé in extremis*- ; une allumée également assassin, entre autres, d'un mari - et cousin-,  lui-même assassin d'un présumé amant, -elle avait donc des excuses, elle, pour ce crime là, celui qui illogiquement lui sera le plus reproché, il est vrai qu'elle a aussitôt épousé l'assassin- ; un qui fût soupçonné d'être l'égorgeur de Whitechapel et fut finalement interné -et les crimes cessèrent- ; un plus récent aux goûts se/xuels un peu particuliers que seule une femme, hélas d'assez mauvaise réput, pouvait assouvir.. (en vrac) etc etc.. ce n'est pas un petit batifolage, même avec un arabe, de surcroît tout à fait comme il faut -je veux dire richissime-... qui devait leur faire peur tout de même !

*Voir le dossier ''femmes de la renaissance (lien)''.



lundi 27 janvier 2014

Valérie part en Inde pour les petizenfants affamés

Valérie Triertruc... quasiment répudiée, il faut reconnaitre que Marine n'a pas tort.. se lance donc dans l'humanitaire.. après avoir pété de quoi nourrir tous les gosses affamés de l'Inde plusieurs mois. Bien. L'humanitaire sert aussi à ça, à recaser ou se recaser elles-mêmes pour des femmes et maîtresses dont le Prince s'est lassé, devenues encombrantes.. Comme autrefois le couvent. Raz le bol de l'indécence de ceux et celles qui se précipitent comme des mouches sur un cadavre vers la misère dont elles/ils se souciaient jusqu'alors comme d'une guigne.. et qui dépensent pour redorer leur portrait de quoi, redite, nourrir ou soigner nombre de ceux qui leur servent de prétexte et de faire-valoir. Que par conséquent ils exploitent en faisant mine de les servir. Note : ces comportements obèrent et disqualifient le combat de ceux qui se battent réellement, parfois jusqu'à la mort, qu'elle ait été envisagée -et acceptée- ou imprévue.*



Reste l'attitude de notre petit sire qui tout de même fait penser. Il faut toujours se méfier de ces mecs de format modeste, un peu ternes, au charisme de pantoufle, de goooche, féministes et tout ce qui se fait de beau et bon... dont on croit ne rien avoir à redouter, voire même qu'ils sont nos amis.. Frustrations? Des râteaux à répétition dans leur passé, -du temps où ils nétépaencore-, les bronzés sexy aux muscles luisants, même idiots, leur ayant bien souvent raflé de fort enviables nanas? (Que celle qui n'a jamais zoomé -exceptionnellement- un soir de grand spleen avec un beau mec de cette farine me jette la première pierre.) L'ivresse du pouvoir? - maintenant on va pouvoir les coiffer et on va pas se priver, les belles bêtes qui roulent les mécaniques?- Sans doute tout ça à la fois. Les muffles machos n'ont pas le visage qu'on imagine mais souvent celui de Pécuchet. Les violeurs ne sont pas tous -en apparence- des brutes repoussantes.. et les serial killers parfois ressemblent à de vieux instits besogneux.


* Réponse à A.S., un internaute. Je ne parle évidemment pas de tous -mais l'exemple récent de Mme Trier.. est quasi emblématique-. Il peut aussi se faire que l'on change et qu'un engagement plus ou moins de ''circonstance'' devienne réel.. voire même plus coûteux que l'on n'avait imaginé. Si on part de l'hypothèse qui me semble plausible que Diana aurait été tuée par un contrat relié à son engagement contre les mines anti personnelles, (is fecit cui prodest) on aurait là l'exemple-type. (Lien)

dimanche 26 janvier 2014

Un rêve, l'allégorie de la caverne







Je suis au studio -beaucoup plus grand dans le rêve et ouvrant sur un vaste jardin devant, ce qui n'est pas le cas dans la réalité- Je discute -un peu hard au début-, avec Magali. À quel sujet? Ce n'est pas clair. Certes, malgré nos excellentes -mais récentes- relations, elle a poussé F. -mon fils, son compagnon- à demander à R. -mon mari, qui vit ailleurs et avec lequel les relations sont très dégradées- de venir, grosso modo, me virer de chez moi* -d'où j'étais partie et où je suis revenue depuis peu-. Non, je ne crois pas, bien que ce soit le fond d'un décor à présent assez sombre. 

Inexplicable et troublant, un geste d'enfant certes, qui veut tirer son épingle du jeu en divisant les adultes, (ma présence inattendue dans une maison qu'elle s'était accoutumée à considérer comme sienne et surtout mon regard qu'elle redoutait critique la gênant?).. un enfant jouant de ses ''parents'' l'un contre l'autre puis inversant les cibles.. mais d'un enfant qui ''fait'' l'adulte -l'adulte d'expérience un brin componctieux- donnant assez bien le change, -au début-. Puis cette inversion des postures, le ton et les propos comiquement à contre emploi, m'avaient mise -un peu- mal à l'aise. Il est fréquent pourtant qu'une excessive empathie -la mienne- suscite de tels comportement chez ceux à qui elle s'adresse, certains enfants.. et adultes.

Elle fuit (où ? WC, toilettes ?.. Ou comme d'habitude, dans sa chambre ?) mais cette fois je la suis résolument, dans un rêve, on s'autorise tout. Et je continue de parler.. jusqu'à ce que, stupeur, je me rende compte que je parle à.. un tableau grandeur nature la représentant, tenu (par qui? peut-être F.) à bout de bras derrière un panneau, très en hauteur. (Évocation ici du tombeau de Cléopâtre.) Je la vois dehors dans le jardin.. Double mystère, le tableau et l'issue : par où est-elle passée ? Bien que connaissant cette maison, forcément c'est la mienne (!) je ne comprends pas.

 Je cherche (dans une sorte d'étable encombrée attenante au studio -qui n'existe pas en réalité- ressemblant à la cave voûtée de ma maison familiale dans le Midi, le décor a changé et se superpose-) et je l'aperçois par la porte cochère ouverte, dans le jardin, au fond -elle semble se moquer de moi- ; colère, je lui demande comment elle est sortie, elle me dit de chercher moi même. Je m'y colle, ça ne devrait pas être difficile. Retour au studio, dans la salle d'eau, rien..  je cherche.. et finalement je lui demande, en vain.

Je regarde aussi derrière le tableau magique et trompeur. Rien, ce n'est qu'un portrait mais d'un réalisme saisissant. Je me rends compte alors que (peut-être ?) tout le temps, que je lui ai parlé -mais comment savoir ?- je n'ai peut-être en fait parlé qu'à ce tableau... Malaise.

Je cherche toujours, en vain, il n'y a aucun passage. En désespoir de cause, je prends le chemin inverse et fouille à l'endroit où je l'ai vue -dans le jardin-.. Et je trouve en effet une petite buse.. insuffisante cependant pour laisser le passage à quelqu'un. Elle semble observer de loin. (Ou est-ce le tableau qui observe? Je vérifie, il est toujours dans l'appentis où je l'ai calé derrière des.. bottes de foin -cet appentis peut aussi être l'écurie de la chèvre de Marguerite quand j'étais petite.-)

Ce tableau ressemble à celui que j'ai effectué de Lydie -ma mère- il est sur le même support, une planche irrégulière de forme très particulière (a-t-il été recouvert? Dans le rêve, cela ne désole pas, ce qui serait le cas dans la réalité.. et je ne vois rien d'extraordinaire à ce que le personnage d'un tableau puisse se transformer à son gré, en ''sortir'', y retourner, le portrait redevenant ensuite celui d'origine). En désespoir de cause, je fais appel à des .. potes? Voisins? Étrange car ce sont aussi des amis du Midi, Pierre C... des ouvriers, Jorges.. un mélange de plusieurs copains surgissant comme par magie de partout.. et en nombre!! Est-ce une réminiscence de ma recherche des buses d'écoulement -que David connaissait mais à qui je n'ai pas voulu demander- dans ma maison familiale -dans le Midi-? On pioche ! Mais c'est moins dur ici. Et puis on est plus nombreux. Rien, c'est hallucinant. Mal au crâne !

Sans doute y a-t-il là une assimilation de ma maison familiale -où je ne savais même pas où se trouvaient les écoulements- à celle-ci -en principe mienne, pour la moitié- dont je me vois dépossédée de la même manière, Lydie ayant autrefois joué pour ou plutôt contre moi le rôle de M.? -mais elle, était chez elle, réellement-.. douloureuse réminiscence, le rêve est à la fois magique et impitoyable. (Mes mauvaises relations avec mon père, qui en jouait, -et jouait surtout de sa ''fragilité''.. lui aussi!- la fondaient parfois à m'exclure ''pour Jean, qui ne va pas bien et qu'Hélène fatigue..'' ai-je lu dans la partie de son journal qu'elle n'eût pas le temps de détruire, la mort l'ayant prise à l'improviste.)

En cherchant l'issue, je trouve un bébé chien abandonné que je mets aussitôt à l'abri dans le studio, en catastrophe.. Et je demande à F (?) du lait. M. proteste, j'ai déjà récupéré un chien. Ça commence à bien faire. De colère, je vire les affaires qui sont sur le lit pour y installer mon chiot. Je veux pouvoir le surveiller tout en piochant et en défrichant (cela rappelle le chemin de la Roque accaparé par une riveraine que j'ai réouvert.)

Les potes (qui piochent) viennent le voir, certains croient savoir à qui il est (''à quelqu'un qui habite vers.. Château Gombert -!!!-  en remontant en angle en face de l'avenue de Roubaix!'' -donc... nous sommes à présent pour un instant et en même temps.. à Marseille ; les lieux comme les gens sont superposés et ce mélange est plaisant.) Je refuse de le rendre à ceux qui l'ont laissé dehors sous la pluie.

On cherche toujours. Je finis (?) par trouver une petite voûte.. insuffisante elle aussi pour laisser passer quelqu'un. (Là, c'est sûr, on est dans ma maison familiale.) M. propose à F. (? pas sûr car il n'apparait presque pas dans le rêve !) de partir.. raz le bol de ce bazar, elle veut un petit nid douillet enfin. Puis finalement, revirement, elle décide de rester et semble s'accommoder des tranchées qui défigurent le jardin, creusées jusqu'à la voie publique... et du chiot. Souriante.

Je n'y prête du reste pas trop attention, occupée à piocher et à bavarder avec les potes. L'ambiance s'est détendue. L'une veut adopter le chiot. C'est un chien de chasse poilu, gris et qui va devenir grand -un Grey hound?- et je dois faire attention que ce ne soit pas un chasseur qui le prenne.. Et ce n'est pas le cas de la copine. J'hésite pourtant.

La gentillesse des copains m'a remis le moral, je ne suis même plus en colère (mais crevée).. comme si j'avais trouvé la solution à un problème, bien que ce ne soit pourtant pas le cas. L'ambiance du rêve, au début : angoissante, limite cauchemar, le portrait qui ''remplace'' l'être à qui je croyais parler, utilisant comme par hasard le même support que le tableau représentant ma mère, la superposition du même symbole incarné par deux êtres totalement opposés.. qui tous deux me crient silencieusement ''fous le camp''.. de chez moi.. mes recherches au départ solitaires, un peu humiliantes aussi puisqu'un mot suffirait à les rendre inutiles.

 Mais l'apparition des copains même vaine (ils n'ont pas plus que moi trouvé l'issue) m'a rassurée. Je m'inquiète cependant un peu : la maison et surtout le studio attenant sont donc vulnérables, si on peut en sortir par un passage dérobé, on peut aussi y rentrer. M. à qui j'objecte cet argument -pour qu'elle parle enfin- ne semble pas s'en émouvoir, mais je pense aussi à F. et à moi. Ce passage qu'elle a trouvé, d'autres le peuvent aussi dans l'autre sens. Il semble que non pourtant.

 Je me réveille avec soulagement. J'ai l'impression d'avoir pioché toute la nuit au point d'en avoir -réellement!- des courbatures. Je pense avoir dormi toute une nuit et suppose qu'il est le matin très tôt. En fait il est 21 h seulement. Depuis le moment où je me suis endormie, il s'est écoulé à peine 3 heures. Soufflant ! le rêve m'avait paru infini. Mal de tête au début (piocher au soleil me donne souvent mal au crâne !!) puis un sentiment intense de libération. De joie.. bien que, au début du moins, ce fut limite un cauchemar. (Très rare chez moi.)

Ce rêve, (l'allégorie de la caverne, l'anneau de Cyges, Alice in wonderland..) que je n'ai pourtant pas entièrement déchiffré, représente sans doute un condensé de ma vie actuelle (et quelques pans de mon passé) qu'il actualise.. et liquide. Quoiqu'il demeure en partie obscur, il fallait sans doute que je le fasse pour me libérer, et cela a marché. La fatigue soudaine qui m'a saisie au moment de partir au bois, c'était certainement l'appel insistant de ce rêve, de quelqu'archétype venu de loin qui a spontanément compensé une trop grande détresse. L'appel de moi-même et des autres à la fois, instinctif, hors logos, qui a remis les choses à leur juste place. Je songe sans la moindre logique à Lydie, à Gustau*, qui peut être me l'ont ''envoyé'' (!) le nœud du problème -avant le clash- ayant été, alors que je parlais à F. (devant M.) du Puits de Celas (au sujet de sa grand-mère) de voir celle-ci s'emparer d'un catalogue de pubs pour les promos de la semaine de Lidl et se mettre à le feuilleter attentivement.

*Gustave Nouvel était son fiancé, résistant, mort en 44 sous la torture, dont elle dût sans doute aller reconnaitre le corps à la Libération, peu après. Un drame qui la marqua à jamais et qui l'explique en grande partie. (Voir ''Les lettres à Lydie''.)




















Cliquer sur l'image pour le livre un extenso ou sur le lien. http://hebrah.blogspot.fr

LE DOSSIER "VIEUX"
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/dossier-vieux.html

LE DOSSIER "LES FEMMES ET LA PSYCHIATRIE"
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/01/la-psychiatrie-cest-fou-le-dossier.html

samedi 25 janvier 2014

Les "tables érotiques", une insulte aux femmes -ici, noires- le top du must... ET L'ART COMME EXCUSE À LA PÉDOPHILIE








Une création, en vogue actuellement. Incertaine. Tant quant au goût qu'à sa qualification. Art? Non puisque c'est une table -l'art en principe ne sert à rien et s'en targue hautement-. Artisanat ? Non puisque la plupart de ces ''choses'' sont fabriquées en usine -mais il est vrai ce ne sont que des copies d'œuvres ''originales''.- Artisanat d'art? Design? Design contemporain ? Design érotique contemporain ? Je verrais plutôt design ''j'ai-besoin-de-me-faire-du-fric'' -bien plus probable-. Chi lo sa? En tout cas, une belle saloperie. Qui se vend bien en effet, comme des petits pains... pas encore chez Ikea cependant.

L' ''art'' -ou ce l'on nomme tel- peut parfois être un prétexte ou un véhicule pour faire passer le pire, racisme,  sexisme voire.. pédophilie. Il advint que galeriste, j'approchai un ''artiste'' spécialisé dans les enfants (?) dont toute l'oeuvre représentait des gosses  (3 à ? 8 ans) toujours nus et souvent dans des positions .. disons équivoques. Ce n'était que le côté jardin. Pour les ''collectionneurs'' -ou les professionnels de ce qu'il appelait l' ''art''- il y avait d'autres ''oeuvres'', cette fois beaucoup moins équivoques, clairement érotiques -sado-maso- (!)..

Avant que je ne parte en courant -dommage car j'en aurais appris davantage- il m'avait assuré que son succès était tel qu'il avait du mal à honorer ses commandes... partout, jusqu'aux USA. Son atelier et galerie, dont la visite en principe étaient payante (!) ainsi que sa demeure attenante -il recevait beaucoup et les voitures, la plupart d'immatriculation étrangère, garées de côté, attestaient qu'il ne s'agissait pas de RSAistes- étaient à faire rêver. Un vieux monsieur aimable et gentil. Dans ma hâte à fuir -le dénoncer-, je me suis cassée la figure sur une marche que je n'avais pas vue -la salle était obscure afin de mettre en valeur les ''oeuvres''- et je l'ai entendu, après qu'il se soit exclamé ''évidemment il y a des gens qui ne comprennent pas l'art..'' me demander : ''VOUS  NE VOUS ÊTES PAS FAIT MAL ?''

Programme contre la pauvreté? inutile. Contre les riches, oui!

UN ENFANT VIOLÉ TOUS LES 3 JOURS. DÉSOLÉE BLOGGER FOIRE, IMPOSS D'ENVOYER AUTRE CHOSE QUE DES IMAGES!!


Avec firefox, impossible d'écrire ou de faire quoi que ce soit sur blooger. Avec explorer, on ne peut envoyer que des images (et titrer!) Sur une tablette avec Google chrome, on peut ''tout'' sauf envoyer des images ! -normal elle n'a pas PS-. Ça complique. Question : Google -pas -chrome serait-il susceptible et au cas où on aurait utilisé Google chrome, refuserait-il tout service comme un amant jaloux? Cela n'a-t-il rien à voir? Le ''lien'' est donc juste une image et doit être recopié.

Marc Cécillon, Florence Ray, et le pape

La lecture des journaux, la prière quotidienne de l'athée selon Hegel. Et un regard, non pas sur le monde comme cela est dit ou sous entendu, mais sur l'idéologie qui, parmi une infinité d'événements, en sélectionne certains, deux ou trois, pour  nous être présentés.. tel un cuisinier après avoir fait son marché, choisit ce qu'il va accommoder pour les clients de midi. Le plus juteux, un pronostic relativement facile. Le déjà porteur, déjà en tête se porte bien. Nul besoin d'innover, ce sont des valeurs sûres.  Mais il faut aussi du nouveau -on ne peut broder à l'infini sur les mésaventures de Madame Trierchose car ça finirait par lasser- ... Bien qu'on apprenne en mini colonnes -quasiment un encart- qu'elle va partir en Inde s'occuper de la malnutrition, mm.. les malnutris n'ont qu'à bien se tenir, avec quelqu'une dotée d'un tel hubris qui a pété pour quelques petits millions d'euros le bureau de son mec...

Parmi ce qui ''marche'', le people et le cul. Le meurtre aussi. L'argent et le sport idem. La religion, moyen quoique depuis peu, relookée par les prestations de ''masse'' anti gay, elle remonte. Si on peut réunir tout ces ingrédients, c'est le top. On apprend donc - à l'égal des manif en Ukraine- qu'une star du rugby, après avoir tué sa femme et ''purgé'' sa ''dette'' avec sept ans de prison (!) assigne à présent ses filles en justice pour avoir mal géré leur part d'héritage.. et quasiment l'avoir filouté, ce n'est pas dit mais c'est le sens du propos. Il faut le comprendre, il a ''refait'' sa vie avec une autre, une jeunette et, par un inexplicable pinaillage de la loi, il ne peut hériter de sa victime.. qui possédait  50% de leur patrimoine.. lequel a échu à ses deux filles orphelines... qui en ont bien profité pendant qu'il était en taule. J'ignorais que le gus était sorti, à présent je le sais. 7 ans donc pour un meurtre, comme Cantat en somme, ça doit être le tarif VIP tueur de sa femme.. avec ré appariement immédiat dans les deux cas (et dans le second, suicide de la compagne ! !)

J'apprends aussi que le pape a ''un peu'' fait la gueule à notre président bitomaniaque, juste un peu, ça s'est vite arrangé...

Et plus emmerdant, que Florence Ray qui, comme on le sait, s'est lancée dans le cinéma -sans doute poussée par son producteur de compagnon- prépare un film sur sa vie. Je croyais qu'une loi interdisait à un meurtrier de tirer profit d'une manière ou d'une autre de son acte, soit par texte littéraire ou toute œuvre qui le relaterait. Une loi qui apparemment doit pouvoir s'interpréter a meliorem, exemple Cantat et son album.. dans lequel selon la formule de son prod, hypocrite à souhait, il ne sera pas question de  l'affaire mais de la prison.. Patate, comme si on pouvait dissocier! Et c'est bien voulu dans doute. De même, Florence Ray sans doute..

Un vague sentiment d'écœurement : le crime paie plutôt bien, et ne coûte vraiment pas grand chose. Et on s'étonne que les jeunes n'aient ''plus de repères'' et choisissent la délinquance, parfois le crime. Mais tout dans les médias est fait pour la leur présenter comme la voie royale -soi disant en sens interdit mais en fait totalement méliorisée-.


vendredi 24 janvier 2014

Le sexisme au quotidien. Un troquet à Clamart


L'étape en revenant du bois

Au troquet, un couple est assis devant moi, amoureux. Le mec, blouson et jeans négligé -style vieux rocker fatigué- tient la main de la femme, souriante, bien mise, mignonne, nettement plus jeune. Elle essaie de lui parler. Il n'entend pas : il a un écouteur aux oreilles et de temps en temps marque le rythme avec la tête, l'air enchanté. Elle attend la fin de son extase pour continuer, puis renonce, toujours souriante. Maternelle. Par contre, lui parle. Elle rit. Ça doit être drôle.

Derrière, une conversation à voix haute. Si haute que je me retourne. Une femme de 50-60 ans, fort jolie elle aussi s'adresse à un vieux monsieur -visiblement sourd- assis en face d'elle. Carré dans son fauteuil, il ne bouge pas d'un poil. C'est elle, consciente de déranger, qui doit se pencher vers lui, les mains en appui sur la table. Il a perdu sa carte vitale, elle va l'amener à la sécu pour lui en faire refaire une. Il râle parce qu'il y aura la queue. ''Ce n'est pas grave papa, ça peut arriver.'' Puis, toujours penchée, elle lui expose la vie des albatros, la suite sans doute d'une conversation commencée. Un cours magistral dont tout le monde profite. Intéressant.

Mais entre temps, le mec au blouson s'est levé. Sa compagne suit le mouvement, avec retard. Prise par les albatros et le texte que j'écris au fur et à mesure, je n'ai pu déterminer si la décision de lever le camp était concertée ou unilatérale, et en ce cas -le plus probable- s'il l'en avait au moins avisée. Apparemment non puisque, fébrile, elle cherche ses lunettes sur la table, puis dans sa poche. Lui est déjà dehors. Elle hâte le pas pour le rattraper, trottinant sur des bottes à talon aiguille fort incommodes.

À ma droite, une tablée sympa d'étudiantes devisent cours, partiels. Des khâgneuses, si j'ai bien compris, préparant Norm sup. = pointues. Le serveur les a accueillies par un sonore ''salut les filles!'' Mais à la tablée de quatre jeunes mecs, il a dit : "bonjour Messieurs, ce sera?'' => Khâgneuses ou pas khâgneuses, quatre jeunes femmes attablées seront toujours "les filles". [Peut-être est-ce un hasard. (Les connait-il?)]

La solitude du riche de fond

Non, ni Frigeshit ni Lavelux ne libèrent "la" femme. Ils l'isolent au contraire, comme tous. Plus on a du fric plus on peut passer sa vie sans voir personne -surtout si on est ''au foyer'' donc en général femme- : c'est devenu le top, le nec plus ultra du luxe que l'on paye cher. On est livrées à domicile (par Intertruc), le lavoir c'est fini.. et même le lave-linge sèche, nul besoin d'aller étendre au jardin -dès fois que vous verriez la voisine à travers la haie-.. la voiture est au garage avec accès direct, une télécommande ouvre la porte si vous décidez d'aller un week-end dans une maison de vacances (idoine) .. Et/ou un ascenseur dessert directement votre appart si vous résidez dans une mégapole... où les pauvres sont nombreux. Il y a aussi des voitures blindées à un prix actuellement très abordable, au Brésil par exemple.

Puis il y a les boîtes de nuits où on paye cher pour se rencontrer (100 E l'entrée) ou meetic lorsqu'on est trop seul. Ou le flingue. 

Significatif, la mort seule inverse la tendance, comme toutes les choses plus ou moins honteuses: on n'a plus le droit actuellement de conserver chez soi les cendres de ses parents par exemple comme je le fais. Il faut louer ou acheter une ''niche'' au ''columbarium'' d'un cimetière. Des fois qu'ils s'envoleraient. Quant aux malades, handicapés, vieux, ''fous'', eux, en général expulsés du cercle sont également mis en lieu clos, mais entassés, sans aucune intimité. La ''solitude'' à laquelle nous conduit le mot d'ordre est en fait une solitude de ghettos agglutinés. De huis-clos mortifères dans lesquels tout peut arriver. Car à ''on lave son linge sale en famille'' s'associe toujours le ''charbonnier est maître chez soi'. Cercle bouclé.

On lave son linge au lavoir




 ''On lave son linge sale en famille'' est la formule-type, le devise d'une idéologie qui tient en étau et les femmes battues, dézinguées d'une manière ou d'une autre, embarquées, les enfants victimes de maltraitance et/ou d'agressions sexuelles intra familiales, (on peut être les deux) et les ouvriers accidentés, exploités, les sans papiers expulsés l'hiver etc.. Il faut se taire à l'extérieur, être "digne"...  le mot d'ordre qui justement permet la perduration et le renforcement de ces "mass bousillages", à la plus grande satisfaction de ceux à qui ils profitent. "On lave son linge sale en famille"? Non. Au lavoir, ce qui change tout. (Lien avec une lettre-type de démission à l'attention des embarqueurs qui nous persuadent que nous ne sommes rien.  


"On pourrait créer des slogans : "Le manifeste des indignes"..."On lave son linge sale au lavoir."... "Pour essorer il faut être deux.".. (Pas pour passer le Rhône)... "C'est celââ oui."  


jeudi 23 janvier 2014

Ca monte encore évidemment.. Guy de Halleux


Il y a 4 jours, j'ai publié un post concernant une fuite d'eau hautement contaminée au réacteur N°3. Hier, nous apprenons qu'à proximité du réacteur N°2, la contamination de l'eau explose en passant de 2,7 milliards de becquerels par m² à 3,1 milliards en seulement 4 jours! En moins de deux mois, du 25 novembre 2013 au 20 janvier 2014, elle a été multipliée par 3,4! La situation à la centrale semble devenir critique et la question de la présence humaine sur le site risque de se poser plus rapidement que je ne le supposais...

En vrac, l'âge des femmes lors de la première, seconde, troisième union : ça baisse !






J'ai deux amours, les Cévennes et Paris