dimanche 30 novembre 2014

MPN 2 images, la cocotte minute








L'article et le dossier (en fin d'article)
http://femmesavenir.blogspot.com/2014/11/faena-6-ca-se-gate.html

Le MPN et sa famille, notamment ses enfants. Dépression, suicide. Réponse à une internaute



L : Comment avez-vous réussi à vous libérer d’une relation toxique avec un MPN ? Cela a pris du temps ? Il y a eu des phases ?
H : Et bien, Laurence, ça m'a pris comme une véritable RÉVÉLATION, je pèse mes mots !!! en lisant l'article de Marie Duboois, et d'abord le "test". Je refusais le terme de MPN que je trouvais galvaudé, mis à toutes les sauces, ce qui du reste est le cas parfois. Mais là, tout collait à un tel point qu'on aurait dit qu'elle "le" décrivait exactement. Hallucinant. Une fois un "nom" mis sur le problème... et surtout sur "lui", ça a été fini. J’en ai été libérée D’UN COUP.  Le plus intéressant est qu'il a dû le sentir car il s'est montré ensuite tout différent, plus d'insultes etc... Une fois que l’on comprend intellectuellement et qu’on le reconnait,  qu’on se l’avoue à soi même, ça va vite! en fait, j'avais déjà compris -plus ou moins- mais je refusais de le voir, de l'acter !
L : Je l’évite, je ne le vois plus, bien que nous travaillions ensemble, cela me protège, mais pas totalement.
H : Idem pour moi, Laurence, je suis partie ou plus exactement, au départ, j’ai seulement mis de la distance, (mais à la fin, j'ai carrément vécu au garage que j’avais sommairement aménagé, j’ai mis longtemps à me décider à partir, attendant que notre fils ait le bac, donc 4 ans, une erreur en fait)… et ne pouvant plus m’atteindre, il a fini par passer par un autre biais, l'argent et les enfants. -Refusant d'en dépenser pour eux et/ou les faisant chanter-. Un MPN se venge toujours -ou essaie!- il faut le savoir. Pour cela, son arme est… l’amour !! il le tente –grandes déclarations, tentatives de rapprochement, invitations, mais, notons le, jamais d’excuses directes ou si emberlificotées qu’elles peuvent signifier le contraire de ce qu’il prétend- il tente donc l’amour pour vous affaiblir, puis, une fois le "coup" rattrapé, recommence, d'une autre manière, souvent pire. Il "apprend" petit à petit, en somme, à vous faire mal, où se trouve le défaut de l'épaule pour atteindre le coeur, comme un chasseur qui tire à la lacune des cotes. C'est pour cela qu'il ne faut jamais montrer qu'il vous a blessée -voire anéantie- et surtout où. Au contraire ! S'il est très hon et heureusement c'est parfois le cas, ça peut marcher. Nous sommes en général plus intelligentes. SERVONS NOUS EN! Ça n'en finit JAMAIS.
-------------------------
L : A quelques jours près cela va faire six mois que j ai perdu mes enfants; je suis triste.
H : Mon ex a lui aussi  essayé de recruter nos enfants contre moi -et mes parents également-; avec ma mère, qui l'avait détecté depuis toujours -ex résistante, elle avait appris dans les groupes clandestins, où c'était VITAL ! à immédiatement jauger les gens...- donc avec elle, il est tombé sur un os, et un gros os ; avec mon père, avec lequel mes relations éteint, euh.. étaient inexistantes, ça a failli marcher [mais je me suis mise en travers, le menaçant –je parle de mon père- de ne plus le revoir et il a lâché car il avait besoin de moi et peut-être ? m'aimait un peu tout de même] ; avec notre fille, ça a relativement, très relativement ! fonctionné -elle a pris l'argent, car c'était son arme de prédilection, la seule en fait dont il disposait car ses relations avec eux étaient distantes comme envers tous… elle a donc pris l’argent.. et l'a rejeté tout de même sans le moindre état d'âme!!! mais hélas moi avec- ; avec mon fils, idem -il a pris l'argent mais lui il est resté en relations très proches avec moi avec cependant de temps en temps des couacs graves, tant avec son père (qui le traite de "raté, minable" etc. les mêmes insultes qu’envers moi, qu'il ne pouvait plus me lancer puisque j'étais partie !).. avec donc des couacs aussi envers moi (je  lui reproche sa naïveté et de s'être laissé plus ou moins "acheter" et surtout trop bon marché : après mon départ, nous vivions ensemble dans le Midi … mais son père, seul, ne pouvant supporter la solitude et l’échec cuisant que représentait –pour la galerie- la perte de sa fille, de sa femme et à présent de son fils ! lui a acheté un appartement, un taudis, qu’il était censé rénover, du coup il est parti… et évidemment, son père ne lui ayant jamais donné assez d’argent pour s’en acquitter, les travaux sont encore en cours trois ans après et, quoique toujours en bonnes relations, nous sommes séparés mon fils et moi par 700 km. Notons un fait intéressant : dès qu’il crut avoir ferré son fils, qui pendant les travaux !! habitait la maison familiale avec lui… il est parti vivre avec une copine dans un super appart à Montpar et l’a laissé seul… puis insulté : mon fils a pris mon relais hélas. Du coup, je suis revenue mettre un peu d ‘ordre –à ce moment là, c’est moi qui ai pris le flot, "ratée, minable, parasite" etc.-  mais j’ai dû repartir.. etc.) Les MPN agissent toujours ainsi : séparer les gens, isoler UNE victime, et si elle s'échappe, en trouver une autre qu'il va aussi tenter d'isoler. Mais attention, l'autre victime, cela risque d'être l'enfant le plus gentil, le plus aimant, le plus candide et celui-là, il faudra le protéger, même contre lui, s'il n'a pas compris, et après tout de son père on a du mal à imaginer qu'il veuille vous nuire à ce point. D’autant qu’il va de même alterner chantages et professions de foi aimantes outrées etc.

LE DOSSIER
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/11/racamier-la-perversion-narcissique.html

Faena 6, ça se gâte.. incitation au suicide, effroyable





Rappel comme prévu vers 15 h 14
H - Allo. As-tu eu mon message?
- Oui. Mais on est Dimanche.. (!)
- Je sais. On l'était déjà tout à l'heure ! Mais de toutes manières, comme je te le dis sur les messages, dans la mesure où tu refuses de me donner les statuts des SCI que tu as fondées*, je ne suis pas sûre que le divorce sera amiable donc qu'il te répondra. Note que je peux les avoir puisque c'est public.. Ou les demander à tes sœurs tout simplement, aux enfants s'ils les ont pour ne pas payer le duplicata en Préfecture.
- Demande à qui tu veux mais je ne vois pas pourquoi tu les veux. Ça concerne les enfants, pas toi. (!!)
-Vraiment. Mes enfants donc ?
- Oui, tu n'as rien à y voir (!)
- Donc je prends note. Je n'ai rien à voir avec mes enfants (!) et ces statuts, tu ne me les donneras pas. OK, je m'en passerai. Pour le reste?
- Quel reste? (!!) Ça prend une tournure qui ne le plaît pas tu sais, ton attitude, je ne te reconnais pas. Tu es ma femme, on a vécu tant d'années ensemble et tu es en train de tout gâcher (sic!) par tes chantages et tout... de foutre la merde.. (Notons tout de même un progrès remarquable : il n'a pas raccroché.)
- Lorsqu'on est dans la merde, par exemple que l'on a faim, ce sont des choses qui arrivent en effet. Oui, si tu veux, je fous la merde c'est à dire que je la révèle. Alors?
- Alors quoi? (Note : idem, il tente de fatiguer la bête mais n'a toujours pas raccroché ! un progrès de plus en plus remarquable.)
- Je t'ai demandé de l'argent, tu t'en souviens peut-être ? tout à l'heure encore... et depuis environ 10 jours.. Et tu m'as dit tout à l'heure que tu allais m'en envoyer, enfin on pouvait le comprendre..
 - Je verrai. Mais quand je vois le tour que prend notre relation, tes chantages... je ne (inaudible, on peut entendre le mot "envie" peut-être?) Je veux bien mais (inaudible) à condition qu'il soit clair que je ne te le dois pas, je le fais parce que tu es ma femme (!) et que cela me déplait de voir (inaudible) le tour (inaudible) que ça prend mais"... 

Là on y est ! C'est la phrase historique qui caractérise pleinement le MPN : le pouvoir, un orgueil démesuré quasi pathologique -associé à une humilité tout aussi énorme en certains cas, lorsque son intérêt est en jeu, mais s'il peut, il va ensuite se venger-... qui exprime pleinement son béruf : écraser l'autre, le spolier, le voler, -le violer même s'il faut**-, le réduire à rien, le tuer symboliquement -ou réellement-) 
Il poursuit : "je t'en ai déjà envoyé du reste et.."
- Bon, alors? c'est oui ou c'est non?
- Je ne sais pas. Je verrai. Mais si tu persistes dans cette attitude..

- Très bien (elle raccroche.)
.
LA TENTATION
 
 Malaise. Le serrement habituel dans la poitrine, mais plus fort cette fois. La brève victoire de la dernière conversation est fortement obérée, un classique chez lui, -elle le sait mais cela la surprend tout de même-.. qui ni ne tient jamais ses promesses ni même semble s'en souvenir et les dénie.. parfois l'instant d'après! Angoisse. Sanglots, désespoir : c'était le but ; il a gagné, incontestablement. Anéantie, toute honte bue, elle le rappelle au bout de quelques minutes pour le supplier (!!), une erreur évidemment mais elle n'est plus en état car il jubile et en ces cas, augmente toujours la pression. C'est bien ce qui se passe. Il se montre méprisant -et là il n'a pas tort-. Il a gagné, elle s'est abaissée et ensuite se méprisera elle-même : qu'est-il arrivé pour qu'elle s'humilie à ce point, sachant à présent ce qu'il est et ce qu'il vaut? En sachant aussi que plus on s'abaisse, plus on cède et plus il envoie le bouchon plus loin, la faisant filer jusqu'au précipice.. A ses prières "tu ne peux pas me faire ça s'il te plaît, ce n'est pas possible, on a été mariés comme tu l'observes tout le temps, j'ai porté et élevé nos enfants, s'il te plait" il a répondu en coupant sèchement "POURQUOI FAIRE, TU PEUX ME DIRE?".. pour manger ?... "Et bien à condition que ça soit vraiment pour cela -parce qu'avec toi on ne sait jamais, tu es perverse- (!) je t'enverrai quelques centaines d'E.. mais qu'il soit clair que je ne te les dois pas, je ne veux pas que tu en profites pour ensuite exiger une pension alimentaire que de toutes manières tu n'auras jamais, c'est clair?"... pour le reste... "et bien tu n'as qu'à faire une emprunt, hypothéquer ou vendre, ce n'est pas mon problème et après tout les enfants s'en fichent de ta maison familiale.."


 Par moments, en une sorte de flash, elle ne parvient pas à croire en une telle cruauté, bien qu'elle la connaisse et que ce ne soit pas la première fois. Quelque chose en elle résiste à l'image terrifiante qu'il lui présente à présent qu'il a baissé le masque doucereux hypocrite et/ou amoureux. Et le pire est qu'elle s'est offerte elle même en holocauste. C'est donc de sa faute à elle aussi. Elle est vidée. Peut-être en effet est-elle aussi minable ? C'est certain. Lui a tout prévu, tout investi en son nom seul, il a même prévu une roue de secours -Colette, convenable ou du moins son appart l'est-il-, elle, rien, elle n'a rien prévu, tout investi dans une relation et une confiance absurde et absolue en lui... et l'impulsion de survie qui l'a poussée à fuir, sans rien exiger, sans rien, elle la prend à présent dans la figure. J'ai acheté ma liberté disait-elle. Une conne finie, une midinette. Minable ? oui. En tout cas, elle ne l'était pas mais le devient, l'est devenue. Épuisé par ces six faenas coup sur coup, le toro à présent est bon pour l'abattoir... suicide.. tout serait enfin fini. Elle regarde le plafond, ce serait si simple de... Mais il reste à faire encore avant le repos. Puis, par un réflexe de survie, elle appelle un pote pour qu'il l'aide. [Parallèlement, elle a aussi envie d'aller à Paris faire un esclandre mais n'en a plus le courage et surtout elle finit par avoir peur elle même de ses réactions -les siennes, pas celles de son futur ex. Tout se brouille, elle ne sait plus, plus RIEN, même plus si elle a raison, si cet argent est bien aussi à elle, certes la loi le dit, mais? si elle l'a mérité, si elle n'a pas été une mère abjecte, une épouse idoine etc...] Provisoirement il a gagné, incontestablement. Elle s'est abaissée. Elle ne se relèvera peut-être plus. (Voir image!)

* Après le départ de sa femme, à la suite d'une crise de violence effroyable -et peut-être même avant car il l'avait prévu, un départ sans rien-, il a investi tout (?) ou une grande partie de l'argent du couple dans l'immobilier au nom de plusieurs SCI dans lesquelles elle n'apparaît pas. Lui a des réserves importantes -l'argent du couple qu'il s'est attribué- et environ 4000 E de revenus par mois -sans doute plus- elle, 1200 et aucune réserves. Il a toujours refusé le divorce sous prétexte qu'il l'aimait et qu'elle était toujours sa femme à jamais (!!) plus vraisemblablement pour ne pas avoir à lui verser une indemnité compensatoire ni partager leurs biens et surtout leurs avoirs, importants.

** Lui demander (ou à présent lui laisser entendre) que "si elle revient, tout s'arrange" -ce qui d'ailleurs est faux- peut tout à fait s'interpréter comme une tentative de viol -ou en le cas, un deal rapports sexuels/argent, notons le, le sien ! - afin de jouir de son humiliation -car de toutes manières il ne lui donnera rien-?



LE DOSSIER
http://femmesavenir.blogspot.com/2014/11/harcelement-et-maltraitance-economique.html

LES FAENAS PRÉCÉDENTES DANS L'ORDRE


http://femmesavenir.blogspot.com/2014/11/faena-4.html
http://femmesavenir.blogspot.com/2014/11/faena-5.html

Le MPN et les enfants. Déprime, suicide. Réponse à une internaute.



L : Comment avez-vous réussi à vous libérer d’une relation toxique avec un MPN ? Cela a pris du temps ? Il y a eu des phases ?
H : Et bien, Laurence, ça m'a pris comme une véritable RÉVÉLATION, je pèse mes mots !!! en lisant l'article de Marie Duboois, et d'abord le "test". Je refusais le terme de MPN que je trouvais galvaudé, mis à toutes les sauces, ce qui du reste est le cas parfois. Mais là, tout collait à un tel point qu'on aurait dit qu'elle "le" décrivait exactement. Hallucinant. Une fois un "nom" mis sur le problème... et surtout sur "lui", ça a été fini. J’en ai été libérée D’UN COUP.  Le plus intéressant est qu'il a dû le sentir car il s'est montré ensuite tout différent, plus d'insultes etc... Une fois que l’on comprend intellectuellement et qu’on le reconnait,  qu’on se l’avoue à soi même, ça va vite! en fait, j'avais déjà compris -plus ou moins- mais je refusais de le voir et surtout de l'acter.
L : Je l’évite, je ne le vois plus, bien que nous travaillions ensemble, cela me protège, mais pas totalement.
H : Idem pour moi, Laurence, je suis partie ou plus exactement, au départ, j’ai seulement mis de la distance, (mais à la fin, j'ai carrément vécu au garage que j’avais sommairement aménagé, j’ai mis longtemps à me décider à partir, attendant que notre fils ait le bac, donc 4 ans, une erreur en fait)… et ne pouvant plus m’atteindre, il a fini par passer par un autre biais, l'argent et les enfants. -Refusant d'en dépenser pour eux et/ou les faisant chanter-. Un MPN se venge toujours -ou essaie!- il faut le savoir. Pour cela, son arme est… l’amour !! il le tente –grandes déclarations, tentatives de rapprochement, invitations, mais, notons le, jamais d’excuses directes ou si emberlificotées qu’elles peuvent signifier le contraire de ce qu’il prétend- il tente donc l’amour pour vous affaiblir, puis, une fois le "coup" rattrapé, recommence, d'une autre manière, souvent pire. Il "apprend" petit à petit, en somme, à vous faire mal, où se trouve le défaut de l'épaule pour atteindre le coeur, comme un chasseur qui tire à la lacune des cotes. C'est pour cela qu'il ne faut jamais montrer qu'il vous a blessée -voire anéantie- et surtout où. Au contraire ! S'il est très hon et heureusement c'est parfois le cas, ça peut marcher. Nous sommes en général plus intelligentes. SERVONS NOUS EN! Ça n'en finit JAMAIS.
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L : A quelques jours près cela va faire six mois que j ai perdu mes enfants; je suis triste.
H : Mon ex a lui aussi  essayé de recruter nos enfants contre moi -et mes parents également-; avec ma mère, qui l'avait détecté depuis toujours -ex résistante, elle avait appris dans les groupes clandestins, où c'était VITAL ! à immédiatement jauger les gens...- donc avec elle, il est tombé sur un os, et un gros os ; avec mon père, avec lequel mes relations éteint, euh.. étaient inexistantes, ça a failli marcher [mais je me suis mise en travers, le menaçant –je parle de mon père- de ne plus le revoir et il a lâché car il avait besoin de moi et peut-être ? m'aimait un peu tout de même] ; avec notre fille, ça a relativement, très relativement ! fonctionné (elle a pris l'argent, car c'était son arme de prédilection, la seule en fait dont il disposait car ses relations avec eux étaient distantes -comme envers tous-… elle a donc pris l’argent.. et l'a rejeté tout de même sans le moindre état d'âme.. mais hélas moi avec) ; avec mon fils, idem (il a pris l'argent mais lui il est resté en relations très proches avec moi avec de temps en temps des couacs graves, avec son père -qui le traite de "raté, minable" etc. les mêmes insultes qu’envers moi, qu'il ne pouvait plus me lancer puisque j'étais hors d'atteinte !-.. mais aussi des couacs aussi envers moi, je  lui reproche sa naïveté et de s'être laissé plus ou moins "acheter" et surtout trop bon marché : après mon départ, son père, ne pouvant supporter la solitude et l’échec cuisant que représentait –pour la galerie- la perte de sa fille, de sa femme et à présent de son fils ! lui a acheté un appartement, un taudis, qu’il était censé rénover : du coup il a quitté le Midi… et évidemment, son père ne lui ayant jamais donné assez d’argent pour s’en acquitter, les travaux sont encore en cours trois ans après, la toile de Pénélope et nous sommes séparés mon fils et moi par 700 km. Notons un fait intéressant : dès qu’il crut avoir ferré son fils qui pendant les travaux !! habitait la maison familiale avec lui… il est parti vivre avec une copine dans un super appart à Montpar et l’a laissé seul… revenant de temps en temps, souvent pour l'insulter où déposer des objets encombrants : mon fils a pris mon relais.) Du coup, je suis revenue provisoirement –et à ce moment là, c’est moi qui ai pris le flot, "ratée, minable, parasite" etc.-) Les MPN agissent toujours ainsi : séparer les gens, isoler UNE victime, et si elle s'échappe, en trouver une autre qu'il va aussi tenter d'isoler. Mais attention, l'autre victime qui prend la suite risque d'être l'enfant le plus gentil, le plus aimant, le plus candide et celui-là, il faudra le protéger, même contre lui, s'il n'a pas compris, et après tout, d'un père, on peine à imaginer qu'il veuille vous nuire pour préserver son image (c'est à dire échapper à la solitude et à ce qu'il croit être une certaine "marginalisation" sociale ou familiale.) D’autant qu’il va de même alterner chantages et professions de foi aimantes outrées etc.

LE DOSSIER
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/11/racamier-la-perversion-narcissique.html

samedi 29 novembre 2014

Les juifs intégristes -hassidins...- bloquent un avion

http://www.fait-religieux.com/des-juifs-ultra-orthodoxes-refusent-de-s-asseoir-a-cote-d-une-femme-sur-un-vol-air-france

DOSSIER CULTURE
 http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/05/cultures-et-racisme.html

Faena, 5

R -Allo? Tu m'as appelé? (ton cordial).. (Note : elle l'a appelé en effet, 3 fois, en vain, depuis 4 jours -elle suppose qu'il l'a blacklistée après leur dernière conversation, sans certitude voir articles précédents )
H -Oui. Tu as eu mes messages? (Note : dans le dernier, datant du matin, elle lui disait -lui répétait- avoir besoin d'argent et surtout des statuts des deux SCI qu'il a fondées -avec leur argent-... SCI où ELLE N'APPARAIT PAS, et urgemment... et le menaçait indirectement, s'il ne lui répondait pas de venir régler l'affaire à Paris elle même. C'est à la suite de ce dernier message, comme par hasard ! qu'il a enfin appelé.)
- Euh... 
- Tu es où? (Important car s'il est chez '"lui" -c'est à dire chez sa nouvelle compagne dont, sans le moindre complexe, il s'est attribué l'appartement- la conversation sera brève -souvent il sort sur la terrasse ou carrément dans le jardin de la résidence, fort joli-  alors que s'il est à Dijon, le débat risque d'être plus long.)
 - Chez moi.
- Chez Colette? (Car chez "lui" peut aussi signifier dans "leur" maison à tous les deux, il est chez lui partout en somme.)
- Oui.
 - Bon. (Il faut donc aller vite mais de toutes manières elle n'avait pas l'intention de s'attarder.) J'ai besoin des statuts des SCI que tu as fondées. Et d'argent comme tu ne l'ignores pas je suppose puisque cela fait... ? 15 jours que je te le demande.
- Les statuts, je ne vois pas pourquoi, c'est le enfants, ce n'est pas moi... Ça ne regarde que les enfants (!!) (Note : le ton change légèrement, il devient soudain beaucoup moins cordial. Il se sert des enfants contre elle : ce n'est pas lui "kivepa" "célezenfants". Il veut les protéger. Il tente de les recruter contre elle évidemment, un grand classique. Cela ne marche pas.)
- Et l'argent?
- Euh.. c'est à voir. Tu ne me dis même pas combien..
- Environ 3000 pour boucler les travaux. Je crève de faim, ce que tu n'ignores pas davantage.
- C'est à voir ... il faut que je regarde (inaudible)... si je peux.. (inaudible)
- C'est simple, tu peux le virer directement sur mon compte de la BICX, c'est juste à coté de la maison. OK? 
- (inaudible)
- Tu acceptes ou tu refuses.. c'est à toi de voir, je ne vais pas te supplier. Alors? (Le ton a changé. Il le sent, la voit soudain plus forte, plus déterminée... et va vaciller un peu.. Mais il va se reprendre; avec lui, c'est presque sûr.)
- Je vais voir (inaudible).. (inaudible assez long !! Mais il ne dit pas cette fois qu'il n'a plus de charge de portable ou qu'il passe sous un tunnel, qu'il rappellera : progrès notable!)
- Bien. Vois vite. Et pour les SCI?
- Je te répète que je ne vois pas pourquoi tu veux leurs statuts.. (Note : le ton devient soudain plus agressif.)
- Ne vois pas et envoie moi les. A ce propos, combien y en a-t-il ? (Idem. Son ton est net, presque tranchant. Inhabituel.))
- Mais une seule, que vas-tu encore imaginer? (Note : on observe qu'en réponse, le ton du mec se module souplement et parfaitement sur le tempo de celui de la femme comme en une partition bien orchestrée : si elle est déterminée, froide, il devient amical -tentant ainsi de la concilier dans un but précis, non pas l'amour comme il l'assure mais plus platement l'intérêt : il veut tirer son épingle du jeu, lui faire oublier sa question, sa requête, ses exigences-... tandis que si elle est amicale, et presque le supplie, il se montre tranchant, carrément abject, il faut le savoir, c'est typique des MPN style : "Non, inutile d'y compter, je ne te dois rien, tu n'es qu'une minable ratée jalouse envieuse qui n'a jamais rien foutu, à toi d'assumer à présent, excuse moi je dois raccrocher j'ai une expo à voir.."" etc etc.. Là, comme par hasard, il redevient amical, presqu'amoureux, preuve qu'il doit avoir une sacrée frousse!)
- UNE ? Et celle de Deauville...? (Elle rit presque.)
- Celle-là n'a rien à voir, c'est une SCI familiale (!) "Idde". (Note : c'est exactement son nom !!!!!)
- C'est ton nom si je ne m'abuse? (Elle rit carrément.)
- Oui mais ça n'a rien à voir (!)
- Donc il y en a deux, une pour les enfants, l'autre "familiale Idde"..  (!) 
- Mais celle-ci n'a rien à voir..
- Je sais, tu viens de me le répéter trois fois. Résumons : il y en a deux -dont une "n'a rien à voir"- et dont et tu ne veux pas me donner les statuts de toutes manières, ni de celle kiaavoir ni de celle kiapaavoir.
- Mais je ne vois pas pourquoi.. 
- L'avocat me les demande.
- Donne moi son nom, je m'arrangerai avec lui
- Tout à l'heure, je ne suis pas chez moi.. (Note : elle n'a pas l'intention de prendre l'avocate à laquelle elle a parlé au téléphone, gentille mais particulièrement nulle et pas davantage de lu indiquer celui qui l'a renseignée mais qui ne peut prendre l'affaire.)
- Et tu as fait évaluer Attuargues? (Une maison leur.)
- Non. Je te l'ai dit et tu le sais, je suis à St A. et je fais faire des travaux pour pouvoir louer le premier. Et toi, pour Clamart? (Leur maison familiale.)
- Oui. Je t'enverrai le document. (Note: il le prétend mais lorsqu'elle lui a demandé combien et le rapport, il s'est défaussé... c'est leur fils qui s'en est occupé, lui ne sait pas etc... il est probable qu'en réalité il n'a rien fait... Mais de toutes manières, cela n'a aucune importance, ce ne sont que des manœuvres dilatoire pour gagner du temps et reculer le divorce qu'il aimerait éviter -à cause de l'argent qu'il sait lui devoir.. et devoir ensuite lui verser.-)
- Et bien voilà, nous sommes d'accord. As-tu des nouvelles de ton avocat?
-Non, j'attends, il devait me recontacter et ne l'a pas fait. (Note : Il est probable qu'il n'a pas trop insisté.)
- Relance le. Je répète : il serait peut-être préférable d'en prendre un seul à condition de nous entendre. Sinon tant pis on en prendra deux. Double frais et plus de lenteur. Mais si je n'ai pas le choix..
- Depuis le temps que tu devais faire évaluer Attuargues tout de même! (Il tente de la culpabiliser pour justifier qu'il traîne les pieds depuis plusieurs mois mais le coeur n'y est pas..)
- Bon, on arrête là, je suis occupée. Depuis le temps que tu devais faire évaluer Clamart etc..
- Dis donc, moi aussi je suis occupé ! moi aussi je fais des travaux. Et je t'appelle néanmoins.
- OK. Merci.
Elle raccroche.
.
ANALYSE
Une nette amélioration : la prise de contact d'H avec un avocat a bien arrangé les choses. Plus de ton méprisant, docte, componctueux, insultant... et même... ô joie ! une gêne palpable au sujet de ces statuts -qui doivent valoir leur pesant de foin-... juste une minime tentative de la culpabiliser avec Attuargues, mais plus d'insultes... même lorsqu'il s'est agi d'argent !! remarquable : l'argent est la pierre angulaire, le chiffon rouge qui rend le toro furieux... et génère des catilinaires -de véritables passages à tabac psychologiques- du type: "tu es une ratée minable parasite qui ne sait pas te débrouiller (ça oui) et gérer l'argent je ne vois pas pourquoi etc.. " etc.. CA VA MIEUX!!

LE DOSSIER
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LES FAENAS PRÉCÉDENTES DANS L'ORDRE


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http://femmesavenir.blogspot.com/2014/11/faena-5.html