mercredi 31 décembre 2014

Mpn, les liaisons dangereuses











Les articles

Analyse de "cris et chuchotement" sur un chantier de maçonnerie

Suite de : http://femmesavenir.blogspot.com/2014/12/mpn-ou-assimiles-parmi-nous-au.html

Un MPN ou assimilé -ou simple macho- une fois démasqué, clairement (1)
I : s'effondre d'un coup : l'inexpugnable devient bébé à nurser. (Le fait est qu'il est en pleine détresse.)
II  : devient dangereux : son "MPnisme" s'aggrave, sa détresse se faisant haine actée.

.. parce que tout MPN a bénéficié dans son entourage (2) de conditions favorables -une tolérance intempestive- qui ont permis ou laissé perdurer son MPnisme (mère, sœurs, épouses, parfois enfants surtout adultes, souvent des femmes.) En ce sens, il se nourrit de son environnement, en général créé à cette intention -souvent à l'image de son environnement d'origine- et qui fonctionne à son diapason, trouvant normal -ou le feignant- ses comportements même les plus extravagants voire pathologiques... selon la formule consacrée "il/elle est COMME CA." (3)

De fait il se crée un cercle, parfois assez étroit -a minima un simple couple !- et n'aime ni en sortir, ni qu'on y rentre... ou alors il tente de recruter des out siders sur mesure qu'il va façonner ad hoc. Le MPN ne se conçoit pas SEUL -et du reste il ne supporte pas la solitude- comme un arbre ne se conçoit pas sans racines. Il est relié à une structure qui le porte, originelle et/ou créée- et mortifère POUR TOUT EXTÉRIEUR/E, perçu/e comme ennemi ou du moins empêcheur -à un point extravagant. (4) Une structure excluante et/ou dévoreuse MAIS JAMAIS ÉGALITAIRE, un trou noir qui repousse mais qui, lorsqu'on s'en approche, avale.(5) Dans ces familles ou groupes-meutes, ces "Klans", il y a un chef, le MPN. Le monde se divise en "eux" et les autres, qui sont à exclure, à exploiter, dévorer.. ou à ménager -par intérêt- (6) jusqu'à courbe l'échine au raz du sol -ce qui n'empêche pas, au contraire, en public une pose de matador et d'infinis catilinaires contre ces puissants-. Cela s'accompagne souvent de racisme : EN FAIT LE RACISME ICI S'APPLIQUE A TOUT L’EXTÉRIEUR. C'est un racisme "globalisant".

Les out siders -du moins ceux qui présentent de l'intérêt- sont amenés, petit à petit et en "douceur", par des manips compliquées, à intégrer le groupe avec ses dogmes, ses pathologies : ils peuvent l'accepter -plus ou moins- puis s'en démarquer de manière efficace, sans faiblir (7) -il n'y a pas moyen de se sortir autrement de ces structures, à moins d'une fuite, impossible ou très difficile s'il s'agit de la famille- : c'est là que le MPN stupéfait s'effondre. En général il a pris la précaution de s'entourer d'un ou de plusieurs séides ou thuriféraires -qu'il sollicite lorsqu'il sent que ça va clasher-.. ou qui d'eux mêmes le soutiendront y compris si ce soutien va à l'encontre de leur intérêt personnel direct (8), si cela le/les conduit à brûler ses/leurs vaisseaux... et le MPN qui ne l'ignore pas ne les en empêchera pas, au contraire, quitte à se défausser ensuite au cas où effectivement ils le payent cher. Le MPN est impitoyable même avec ses séides ou thuriféraires et pourra même reprocher à celui qui a plongé pour lui de s'être mouillé... et ne l'aider en rien, voire nier le service rendu.   

(1) .. par quelqu'un qui "compte" plus que lui par exemple et qui le contraint à céder... à perdre la face. Il cherche alors des protections ailleurs et à tout prix, c'est à dire à recruter des têtes de pont parfois innocents contre l' "ennemi" : tous les moyens lui sont bons. Dans le cas de MPN2, c'est sa propre fille qui jouera le rôle malgré elle, contre sa mère dont elle dit "c'est une pute".
(2) Un entourage pas toujours originel mais qu'il s'est créé. Parfois même, il a été victime d'un/e MPN (mère, sœur) qui a suscité son MPnisme. Les deux ne s'excluent pas : même victime, il a pu bénéficier d'un soutien indéfectible mais contre l'extérieur, de piston dans son travail etc.. Il y a un salaire -parfois maigre- à la victimisation.

(3) En certain cas, renvoi d'ascenseur, tout lui est permis et considéré comme normal (exhibitionnisme, magouilles, paresse, racisme, violence envers l'extérieur) et quiconque le pointe seulement sera rudement cinglé par la meute. IL EST "COMME CA". "Je serai toujours d'accord avec ma sœur/mère/famille contre X quoiqu'ils aient fait." Une telle profession de foi  est hautement rassurante... et aussi mortifère pour l'extérieur.

(4) Ainsi, le fils de GMD2 et toute sa famille -qui n'ont de cesse que de vilipender durement les alcooliques, les "feignants"..- .. qui tolèrent ou feignent de ne pas voir sa propre dipsomanie et sa paresse -ou faiblesse- faisant mine de l'extérieur qu'il est le CHEF sans défauts..On a parfois l'impression de rêver devant de tels propos, tenus devant l' "intéressé" qui approuve.

(5) Ceux qu'on laisse s'approcher sont souvent des faire-valoir.

(6) Ainsi GMD2 utilise-t-il son fils comme tête de bélier contre sa cliente, peu soucieux que le jeune homme brûle ainsi ses vaisseaux. Car le MPN, à la limite souvent  de la mégalomanie comique (-VOUS, vous me dites ça? A MOI !! hurle le jeune homme à la cliente sans souci des codes, des positions sociales et des postures)... le MPN donc ne comprend pas que l'on puisse lui résister et même devant l'évidence, il ne peut croire ici que Léna le "trahisse" -c'est à dire qu'elle a le front d'exiger que les travaux soient effectués- : les menaces du jeune homme envers elle ? Elles ne portent pas à conséquence pense-t-il naïvement, "il est comme ça", juste une crise -inconscient qu'il s'agit tout de même d'une relation de cliente à artisan et de menaces ouvertes-. Il le justifie même, comiquement en s'exclamant "mais lui n'est pas agressif, si tu voyais les autres"!!! De même il se met à dos le Principal du collège d'un de ses fils renvoyé pour avoir jeté une pierre sur un camarade, avec ces paroles là aussi cocasses "S'il l'a jetée, c'est qu'elle y était, dans la cour, vous n'avez qu'à la faire mieux faire balayer." (!) Le MPN est un curieux mixte d'arrogance désopilante et d'immense timidité, voire de complexe social. GMD2 par exemple -ainsi que ses enfants- plient volontiers devant qui peut les aider ou seulement les impressionne même si ce n'est qu'une posture... mais devant les "gentil/les", il peut se montrer odieux -lorsqu'il est sûr de lui ou qu'il le croit-. (Il téléphone par derrière à Léo pour le décourager de prendre le chantier alors qu'il avait dit à Léna qu'il allait arranger le coup.)

(7) Là, le jeu est faussé : habitué à ce qu'on lui cède, à ce que l'on joue plus ou moins la comédie -en sa faveur-, comme envers un enfant, le MPN est curieusement désarmé devant la fermeté d'un argumentaire et le "prend" très mal (malaise, comme on le voit dans "Padre padrone"). "Non, ce n'est pas vrai.." "C'est toi qui l'as demandé et non l'inverse".. "Tu ne me fais pas une faveur en venant travailler ici.." Ces mots-là qui n'existent pas dans ses didascalies, littéralement, il ne les supporte pas: c'est là qu'il peut devenir dangereux. Voir article précédent. Les dés sont pipés croit-il. Il est perdu. Il ne veut plus "jouer", tel mon caniche qui, habitué à folâtrer avec une douce BA qui pesait dix fois son poids mais feignait de tomber lorsqu'il se précipitait sur elle, et qui, devant un autre chien qui lui resta droit, stupéfait, s'enfuit dépité, refusant le jeu.


mardi 30 décembre 2014

MPN ou simples machos parmi nous au quotidien, une histoire de chantier et d'un coup de boule, non ce n'est pas Zidane ! réponse à un internaute..



La question de Lise via FB
"Avez vous testé ou expérimenté ce qui suit ? Faire, réaliser quelque chose où vous excellez tous les deux? Peinture, travaux, ou autre. Peu importe. Avez vous pu réaliser à part égale en apportant chacun vos idées ou pas? Je pose cette question parce qu'il me semble me souvenir que certains ont une route toute tracée, psychorigide et lui proposer d'autres idées ou autre manière de faire l'insupporte au point de le rendre fou.."
.
OUIIIIII !!!

 Pour ceux/celles qui n'ont pas le temps, pas de suspense : ça se termine par un coup de "boule" à Léna suivi d'un KO de la part de GMD2 ou Grand Mâle Dominant 2, furieux d'avoir été remis en question -humilié- par GMD1 qu'il ne se risque pas à attaquer car il fait le double de lui (!) après le départ de celui-ci.(Épilogue 2 à la fin.)




 H : La question de Lise est quasi ... comment dire? prémonitoire? comme si quelque chose que certains appellent "hasard" et d'autres un bon -ou malin- génie semblait l'avoir suscitée juste au moment où j'ouvre ma bécane -après la dernière "bagarre" de chantier- et où je me demande si l'un des deux maçons et potes -on est tous potes dans un bled- n'est pas MPN.. voire les deux. Ou simple macho. Voici l'affaire, pagnolesque.

L'un, dit GMD1 (Grand mâle dominant1) -par ailleurs le "frère" de Léna*-, a réparé -pour elle- une porte en fer forgé misérable -10 E chez Emmaüs- et en a fait une sorte de chef d'œuvre.
L'autre, GMD2, un bon pote -engagé comme maçon à l'arrache, elle en aurait préféré un autre mais il a insisté et elle a accepté- était censé la poser après avoir fait une ouverture....
*Moi.


Acte 1 : GMD 2 râle parce que la porte est "immontable" -dixit- : forcément, "GMD 1 ne sait pas travailler" -dixit-... [dénigrement et inversion banale des responsabilités, ce n'est pas lui qui ne sait pas la monter, c'est l'autre qui l'a mal goupillée] donc il l'"arrange".. et par la même occasion, casse une patte d'accroche du cadre. "Et MEEEERDE ! SAIT PAS BOSSER celui-là, pas un artiste!" est sa seule réflexion lorsque l’acier éclate par sa faute. (Notons que ce n’est pas la soudure qui a lâché !) Il lui faut la re souder mais il n'a pas de poste à soudure... Connaissant la rivalité historique GMD1-GMD2, Léna avait intimé à GMD1 l’ordre –la prière plutôt- de ne pas venir sur le chantier mais devant l'embarras ouvert et réitéré de GMD2, elle lui demande timidement s'il veut qu'elle appelle GMD1, sure de se faire rembarrer. O stupeur, il accepte tout de suite -en fait c'est lui qui l'a conduite à le lui suggérer- soulagé. Arrive donc GMD1... qui s'aperçoit par la même occasion que GMD2 a scié d'un cm un gond. Enfer et damnation.
- Mais pourquoi?
–Parce que ça rentrait pas, pardi !" (ton exaspéré de GMD2, nullement reconnaissant que GMD1 soit venu à la demande).
–CA RENTRAIT PAAAS ? (Choqué.)
–Non, CA RENTRAIT PAS !! 
–CA RENTRAIT PAAAS ?
–Non, CA RENTRAIT PAS !! 
.. l’ennui est que le ton monte à chaque réplique. GMD1 prend alors une lampe, Léna regarde et le fait est là, indiscutable : il y a un caillou au fond de la gorge, seule raison pour laquelle "ça ne rentrait pas".. On l’explose et… CA RENTRE. GMD1 exulte, modestement :
- Je savais bien que ça passait au poil, c’est mon boulot de souder.." C’est l’acte 1.
.
Acte 2 : GMD 2 (qui, notons le, n’a peut-être JAMAIS EU L'INTENTION D’INSTALLER LA PORTE car c'est hors ses compétences –il est plutôt "bois" et non "fer" comme son rival- et a tenté plusieurs fois d'en décourager Léna).. n’a pas trop envie de re souder la patte… et GMD 1 –après l’algarade sus citée-, s’y est refusé : "tu l’as pétée, tu la répares !"… Puis, ému devant le traitement que "sa" porte risquait de subir d’un soudeur malgré lui -et sans doute pour Léna- il l’emporte et la soude sans même qu'elle ne s’en aperçoive.. Mais le lendemain, GMD 2 qui, lui, l’a bien vu, feint de rien… et proteste : GMD1 l’a remise à un endroit... gênant pour lui :
-C’est le foutoir ici, faut ranger, si tout le monde s’en mêle, on peut pas s'y retrouver sur un chantier!"  –regard vers Léna-… [à nouveau, on a l'inversion des postures, assez odieuse: il ne remercie pas pour le service rendu mais au contraire proteste sous un prétexte controuvé.]
- Tout de même, il l’a prise pour la souder ! ce que tu voulais, non ?" Silence. C’est donc l’acte 2.
Il est démasqué, et fortement, par Léna qui défend GMD1

Le soir, -c’est l’acte 3- GMD 1 toque à la porte de Léna... et lui demande, la prie plutôt, que cette porte soit installée avec la patte telle qu’il l’a soudée et non trop court comme il redoute que ne le fasse GMD2… "tu me promets que s’il tente de la couper, tu m’appelles ? "… Promis-juré croix de bois croix de fer. Le lendemain, elle surveille. Ils en sont au seuil… donc danger. Elle prend le toro par les cornes. Gentiment :
-Tu vas la mettre comme GMD1 a dit ?" dit-elle négligemment, entre truelle et tronçonneuse, comme si de rien n’était.
- ON VERRA !" (Ton sec et sans discussion.)
- Non, GMD2, on ne verra pas, je veux savoir, il l’a réparée et…
- Mais ce qu’il a fait sert à rien.. -son cœur est à 140-…  on verra je te dis, là je suis occupé, il ne faut pas me déconcentrer.. (!!)
- OK mais d’après GMD1, justement, il faut prévoir les réservations maintenant, avant de couler..
- Je ne peux pas bosser si on me dérange tout le temps, on verra je te dis, on y est pas encore.."
Elle a compris : il va probablement scier les pattes car il redoute de percer sur le ferraillage qu’il a posé à la légère… ou peut-être ? dans l’idée QU’IL NE METTRAIT PAS LA PORTE, voire même pour se donner un prétexte de ne pas la mettre : il rend de fait impossible ou très difficile ce que de toutes manières il ne voulait pas faire mais avait promis de faire (!), arguant ensuite de l’impossibilité en accusant au passage un autre de l’avoir générée.. et la maîtresse d'ouvrage de lui imposer.. l’impossible. Pulsations à 150. Chose promise chose due, la mort dans l’âme, elle téléphone à GMD1… qui survient TOUT DE SUITE... Elle le bloque à l’orée du portillon, se met en travers –mais il fait 1,85 m/100 kg et elle 1,60/55- et le supplie:
- Ne fais pas d’histoires, tu lui dis, mais calme, sans crier ni le dévaloriser, c’est un chic type par ailleurs… Il a sorti ma voiture la dernière fois quand j'avais oublié mes phares et..
- Tu parles, chic type ! il exploite les femmes, c’est tout.. il leur rend des services et ensuite obtient des chantiers où il fait les merdes qu’il veut en leur racontant n'importe quoi... et/ou tente de coucher avec.* 
Et c’est THE drame.

GMD1, au début sur un ton normal -:
- Tu fais les réservations ? Parce que j’ai soudé et..
- ET ça sert à rien ! (coupe GMD2 sur un ton agressif condescendant) .. [Non seulement, il ne le remercie pas mais au contraire il dénie l'utilité d'un travail.. qu'il a demandé!]
- A RIEN ?
- A RIEN!
- A RIEN ? ..
Le hic c’est que le ton monte à chaque fois, comme d'hab.
- Mais sinon ça ne sera pas solide tandis qu’avec les pattes telles que je les ai soudées, on peut l’accrocher à un camion, ça tiendra ! (Le ton monte.)
-Et je perce ma dalle ? Et comment je fais sans le groupe?" (le groupe électrogène, qu'il a rendu à Léo, un jeune maçon à qui il l'avait emprunté.. en protestant parce qu'il ne marchait pas bien !!)
-A la main, si tu veux je te le fais en 5 minutes. Comment on faisait avant ?
- Et bien fais-le!"

GMD1 veut aussitôt s’exécuter (mais Léna l’arrête, ce n'est pas son travail**) ..
- C’est que tu voulais pas le faire depuis le début, voilà ..
- Je fais ce qui est possible, c’est tout ..  (Elle n’ose souligner qu’au départ il n’avait jamais déclaré le job impossible). Le ton monte encore.. Et ça se termine par un viril :
-Ça va se finir à la tronçonneuse" de GMD2 (et il y a tous les outils sur place.) Pulsations à 160, elle va crever.
- Arrêtez !
GMD1 part enfin, (Léna l'entraîne), GMD2 range ses outils avec fracas.. Puis elle remonte au chantier et là c’est le clash…

*A ce sujet, c'est une pratique courante des femmes démunies que de proposer -ou de consentir- à des services sexuels en paiement de travaux qu'elles ne peuvent effectuer -ni souvent payer- ; certains maçons en profitent en en effet. (Ce n'est pas forcément le cas de GMD2).
**La femme de GMD1, en partie à juste titre, l'accuse d'accaparer son mari.. même si c'est celui-ci, qui adore le fer, qui sans rien lui en dire, effectue certains travaux pour elle.

.. le clash mais cette fois CONTRE LENA [et de la part du fils de GMD2, fils et aussi manœuvre qu’il avait diligenté pour l’aider, en fait pour effectuer le travail dont lui était incapable, après avoir dit ou laissé entendre à Léna -il fait toujours dans le flou- qu’il prendrait quelqu'un d'autre -elle avait pensé un certain Michel-… son fils qui visiblement, de son coté, n’était peut-être même pas au courant (!) et n'avait consenti qu’en traînant des pieds.. d’où l’ambiance assez tendue -ils arrivaient rarement avant 11 heures-...  son fils qui de surcroît semblait très remonté contre elle. Question : par qui ?].. Or, le jeune homme, qui s'était totalement aplati devant GMD1 (1,85 m, 100 kg) à présent, se déchaîne littéralement contre Léna –pas fou, après son départ-.  C'est juste au moment où, pour aplanir les angles, elle expose à GMD 2 que la porte, c’est en quelque sorte le "bébé" de GMD1 et qu’il convient de respecter son travail qui par ailleurs est remarquable tout comme le sien en maçonnerie.. [une erreur! Règle numéro un : ne jamais se montrer trop longanime envers un MPN ou simple macho car alors il enfonce le clou et, se sentant plus fort, agonit davantage sa protagoniste ; car il ne respecte que la force*, ne s'attaque qu'aux faibles et prend la longanimité pour de la faiblesse, selon sa propre attitude.. attitude qu'il suppose que tous adoptent ; le MPN ne voit pas les autres, ne s'en soucie pas et commet de fait des erreurs par égocentrisme]... Le jeune la coupe, s’avance vers elle, très agressif mais au départ doucereux :
-La porte, à la limite, c’est pas notre problème..
- Quoi ?
Et là ça explose :
- J’AI FERME MA GUEULE JUSQU’À PRÉSENT MAIS MAINTENANT..."  (hurlé)… Elle le coupe :
- Et bien continue "de la fermer" comme tu dis..
Il s’approche encore plus, hurle encore plus s'il est possible (5 cm) :
-VOUS ME DITES DE LA FERMER, VOUS ? A MOI ?
- Oui, moi.. à toi ! [Note : le MPN ou simple macho vous fait toujours honneur quelle que soit la situation : d'accepter de l'argent de vous  -qu'il vous a demandé!-; de l'engager sur un chantier -qu'il a brigué avec insistance-; de lui avoir rendu service -et même il en voudra ou fera mine de méjuger l'obligeant**- etc.. et ce, quel que soit son âge, sa posture et sa position sociale. La rage qui saisit le jeune homme lorsque Léna le rembarre est significative "vous osez?"]
Un instant son visage défiguré lui fait craindre un uppercut puis il part, entre dans son camion… où résonne alors un effrayant fracas. GMD2 n’a pas eu un geste ni un mot pour arrêter la crise de son fils contre elle, [peut-être le jeune se sent-il exploité par son père? Ou celui-ci l'a-t-il briefé contre Léna, se servant de lui comme d'une tête de bélier, selon le procédé classique des pervers?].. Et lorsque Léna lui lance qu’il est inadmissible que son fils se comporte ainsi vis à vis de quiconque, a fortiori d'une cliente, fût-elle une pote, sans qu’il ne réagisse -et que c’était la raison pour laquelle elle n’avait pas voulu qu’il travaille avec un de ses fils, qui sont nombreux, ce qu'il avait plus ou moins accepté-, il a ce mot de la fin :
- Mais il n’est pas agressif, lui, si tu voyais les autres!! (Le pervers retombe toujours sur ses pattes, parfois comme ici d'une manière désopilante.)
Elle hurle :
- Si lui n’est pas agressif, je voudrais voir ce que ça signifie pour les autres. Qu’ils me casseraient la gueule?" Elle part… Et lorsqu'elle revient le soir, le seuil est coulé, avec des réservations dont cependant elle ignore la profondeur.

*Ainsi ce gus -comme GMD2- si sourcilleux et susceptible à un point quasi comique -limite mégalo- devant Léna ("Vous me dites ça? Vous? A moi?"), devant un patron, un caïd de village au verbe haut et au coup de poing facile, fait-il montre d'une souplesse quasi obséquieuse. Attitude typique du MPN ou simple macho. On remarque que le clash survient juste au moment où Léna tente d'arranger le coup, exactement comme dans 'le syndrome de Stockholm' : c'est au moment où Léna s'excuse envers David qu'Adèle lui saute dessus, avec une lettre d'insultes d'une cruauté effarante.

** Ainsi, de Léo, qui lui a prêté le groupe électrogène.. qui est tombé en panne, il dit sévèrement : "ce gars, il travaille juste à côté du groupe (le con) alors forcément ! la poussière, ça l'esquinte"... comme s'il morigénait un emprunteur indélicat pour un défaut de soins envers un objet sien ... quand c'est évidemment l'inverse. 

Acte 3 : le lendemain, personne. Elle appelle. Répondeur. Vers 13 heures, du bruit en haut, elle croit que son chien fait le hon.. monte, stupeur, c’est GMD2 qui sans l'avoir prévenue est là avec son fils qui à toute allure embarque du sable dans son camion. Sa présence semble les déranger (!)
- Je ne peux pas travailler dans ces conditions, je suis malade des nerfs.. (Revirement typique : le macho inexpugnable une fois démonté devient bébé fragile qu'il faut nurser.)
- Donc tu abandonnes le chantier ?
- Hier, GMD1 est venu tout l’après midi me surveiller, pas possible .. [Jamais de réponse nette comme d'hab.]
- Mais aussi pourquoi es-tu venu hier sans me prévenir ? [car GMD a la particularité de venir quand bon lui semble, selon le bon vouloir de son fils ? ses disponibilités? mais en principe dès qu’il se décide, il l’appelle. Pas cette fois.] Elle ajoute :
- J’aurais été là..
-Pour qu’il y en ait encore un sur mon dos ! … [Procédé de la contre vérité assez banal.]
- J’écrase plutôt les coups, non ? arrête ! Vous vous êtes disputés?
- Non. Mais ça m'énerve, j'oublie pas. Il avékapavenir, il a foutu la merde exprès.. [Idem.]
- MAIS C’EST TOI QUI LE LUI AS DEMANDÉ, de venir !
-Jamais ! [en effet, pas directement mais cela revenait exactement au même. Autre tactique éprouvante : la mauvaise foi*, même devant un "fait" évident et quasi en temps réel, ici, de l’avant-veille !]
- HEIN ? Tu voulais pas qu’il resoude le truc pété? tu te souviens ?
- Toujours il est sur mon dos, je te dis que je peux pas, moi je travaille comme je dois, parfait, nickel, j’ai pas besoin qu’on m’emmerde.. [La tactique ici est de ne jamais répondre à un argument ni reconnaître quoique ce soit.. et le déni, même de gestes ou d'actes immédiats, -parfois anodins- par exemple il s'exclame "je travaille parfait" au moment où il vient de casser une patte du cadre, ce qui en soi n'est pas très grave-!]
- On peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre, il n’est pas un chien que tu chasses dès qu’il a fait le job, enfin, le tien en le cas..
-Ça s’est passé comme il voulait, voilà !! [Même tactique : éluder l'argument, faire porter la faute à un autre en changeant ou déviant du sujet.]
- Donc tu abandonnes le chantier ?
- Je peux pas travailler dans ces conditions..  on t’a priorisée mais là c’est trop ..
[Encore une tactique éprouvée : l’inversion des rôles et l'autopromotion, GMD2, se mettant toujours dans la position de celui qui concède -quelle que soit la situation-, qui fait un honneur à celle/celui qu’il consent à servir. Notons aussi qu’il ne répond JAMAIS à des questions même évidentes, par exemple lorsqu'un de ses mensonges ou manipulations -souvent naïfs-est découvert.
–La dalle, combien de temps ça prend pour sécher ? (il avait dit une semaine, son fils, 21 jours!)
–Je vais t’étayer le sol..
– Oui mais ça prend combien de temps pour sécher ?
– J’aimerais bien que ça aille vite..
– Je ne te demande pas ce que tu aimerais mais combien de temps ? etc…
Il n’est pas d’exemple que lui ni l'autre n’aient répondu directement et du premier coup à une seule question.]

* Ainsi, au Principal du collège dont un de ses fils vient d'être renvoyé pour, entre autres, avoir jeté une pierre sur un camarade dans la cour, il rétorque froidement : "S'il l'a jetée, c'est qu'elle y était, vous n'avez qu'à mieux faire balayer votre cour. A Saint Jacques -l'école privée dont vient l'enfant- de pierres, il n'y en a pas, il en jette pas!" Parfois cela joue dans les deux sens, de manière hilarante : au sujet d'un ami hyper violent -lorsqu'il a bu- et dont tous, ici la serveuse d'un troquet, se méfient, il la rassure en ces termes : "il n'est pas méchant, le Miche! pas du tout! tiens, la dernière fois, il a sorti son couteau devant Jérome et le lui a posé sur la gorge..  mais il n'a pas appuyé! Rien risque."

- Donc tu abandonnes le chantier ?
- J’ai été malade à cause de GMD1 ça ne peut plus continuer..
- BON !! DONC TU ABANDONNES LE CHANTIER ?
Toujours pas de réponse (mais ça va de soi -?- depuis la veille, ils ont tout embarqué sans même la prévenir de quoique ce soit.. -Finalement elle préfère mais sur le coup, ça la choque-.)
- Tu as conscience de me laisser par ce temps et compte tenu des cambriolages en ce moment dans UNE MAISON SANS PORTE pour .. un certain temps? Bon,  ça ne fait rien..
- Tu me dois 1000 E..
-  Mais c’était 2000 E avec la porte ! (Elle lui en a donné 1000 en début de chantier, à sa demande et immédiatement.)
- Pas du tout, elle n’était pas comprise..
- Mais ça allait de soi : c’était prévu pour habiter ou louer : comment veux-tu qu'on le puisse sans porte ?" OK.. (mais il est vrai qu’il a remonté des tuiles sur le toit, ce qui n’était pas facile.)
- Et puis on t'a priorisée, j’ai raté des chantiers à cause de toi, je suis allée tout à l’heure à B. pour un mur, et bien, les gens,  ils en avaient pris un autre… un filou qui est venu, a monté trois moellons pour avoir le job et est reparti.. (!)
- Comme tu as fait chez moi .. [Pas de réponse.]
- Ne fais pas comme si je devais te lécher les bottes parce que tu as consenti à venir bosser chez moi ! Je ne la joue pas cliente-reine mais exige juste des rapports égalitaires. Moi aussi et tu le sais j'aurais pu et même préféré prendre Léo*.. qui avait accepté lui, de changer le chéneau rue Denis -ce que tu avais refusé in extremis, me laissant le bec dans l'eau soi disant parce qu'il y avait une garantie décennale -du maçon qui avait réalisé pour moi la terrasse- et que tu n'avais pas le droit de reprendre le travail du père Matieu.. et en réalité parce que tu avais peur de lui et que tu voulais qu'il engage un de tes fils, ce que du reste il a fait.

*Léo est le jeune maçon –super- qu'elle aurait voulu prendre avant qu’il ne se mette sur les rangs et ne l'emporte -GMD2 est serviable, par ailleurs d'un certain âge et assez dégourdi, il n'est pas une femme qui ne lui doive une réparation en urgence d'une voiture, d'un moteur de puits, d'une toiture qui fuit etc..- 

Là, la réponse de GMD2 est stupéfiante.
- Mais tu aurais dû le prendre, Léo ! [C'est la tactique peut-être la plus pénible des MPN ou simples machos : il reproche à sa victime précisément d'avoir fait ce qu'il l'a conduite à faire -donc sa gentillesse-.. et en profite ensuite pour s'imposer encore et encore, inversant les rôles : car celle qui a cédé ne mérite que son mépris et le MPN n'a pas de limites, il en veut toujours plus... D'une cliente il fera alors une obligée. Cela explique que devant ce type de personnages, on ne peut qu'être... comme eux. Elle eût en effet dû prendre Léo sans états d'âme et il ne lui en aurait pas voulu, au contraire : mais céder après qu'il l'eût déjà trahie une fois c'était pour elle consentir à se placer pour lui irrémédiablement dans la catégorie "gibier".. ce qu'il n'a pas manquer de faire ou de tenter.
Et de conclure savoureusement par un :
- Si tu veux, je demanderai à Léo, il est sympa et refusera pas et puis c’est lui qui a le groupe" (électrogène).
Ici, GMD2 fait naïvement comme si son intervention seule pouvait faire que Léo accepte un chantier si difficile (!) comme si Léna -et indirectement Léo- était son obligé/e... quand c’est évidemment l’inverse...
- Non laisse tomber, je le ferai moi. C’est un peu gênant parce que je lui avais parlé du chantier avant puis je l’ai largué lorsque tu m’as dit que ça t’intéressait, ce qui ne l'a pas empêché de te prêter son groupe ! mais je lui expliquerai*..
Pour finir, exaspérée, elle lui dit qu'elle déduira des 1000 E ce que Léo lui prendra pour finir. Elle ne le fera peut-être pas mais bon.
.
* Ce qu'elle ne dit pas ici, c'est qu'elle avait déjà contacté Léo, épuisée d'attendre tous les jours GMD2 et consort -qui ne venaient pas avant 10-11 h, quand ils venaient- et de voir que le chantier traînait en longueur.. Elle avait à ce moment proposé à GMD2 de lâcher l'affaire, "je ne serai pas fâchée, ce n'est pas grave, si tu ne veux pas, je me débrouille" etc.. Du coup, elle avait sommairement expliqué le problème et Léo avait consenti à reprendre éventuellement ; mais le lendemain, devant la menace, tout était changé : GMD2, qui avait senti le vent ? était revenu et souquait ferme... et par ailleurs, il l'avait gentiment dépannée -sa voiture étant HS, batterie déchargée, dans le village.- Elle avait appelé Léo pour s'excuser et lui expliquer.

ÉPILOGUE 1

Léna appelle Léo, qui, d'humeur toujours égale, semble accepter mais veut venir voir. Dans un esprit de conciliation, elle l'annonce aussitôt à GMD2. Il semble satisfait, affaire réglée. [Mais attendez la suite!]
Léo vient le lendemain, à l'heure dite, accepte a priori de poser la porte.. mais... embarrassé soudain :
- GMD2 m'a appelé juste après toi..
- Tiens? Je l'avais appelé moi aussi juste après notre coup de fil.. pour lui dire que tout était OK.
- Oui... (embarrassé)..  il m'a dit qu'il ne voulait plus travailler chez toi, que ça n'allait pas, qu'il n'avait pas été payé.. et en ce cas en effet, je lui ai dit que bien sûr je ne le ferai pas*." Elle doit lui expliquer, par chance, il comprend vite et peut-être? GMD2, comme elle, mais pas de la même manière, est-il connu (?) Mais le problème, techniquement plus grave, que ni elle ni même GMD1 n'avait vu ! est que la dalle est posée de sorte que d'un côté -non visible de face-, elle est dans le vide sur quelques cm -13?- une erreur de mesure ... mais de surcroît à cet endroit, elle porte un pilier, qui se trouve donc dans le vide. Quant au mur de soutènement, il est fait de moellons non croisés, non conforme à ce qui doit être. A refaire? Cela explique-t-il que GMD2 ait refusé de poser une lourde porte sur une surface qu'il sait fragilisée par cette malfaçon et de son fait et qu'il ait sciemment suscité les clash pour se libérer ? Affaire à suivre.

*Autrement dit, et là c'est typiquement l'attitude de pervers, il prétend vouloir arranger le coup [jouer les Monsieur Bons offices] alors que par derrière, il fait en sorte que cela s'embrouille* -c'est à dire que Léo refuse-... donc de la mettre dans l'embarras.. en prétendant que la faute ou du moins le refus incombent au jeune maçon. Le MPN ne supporte pas que sa "cliente" lui échappe, même lorsqu'il n'en veut plus : il la pousse dans le gouffre en prétendant vouloir l'en tirer (!) affouillant sous elle pour la faire s'engloutir. S'il l'avait contacté lui même, aurait-il fait en sorte que Léo refuse un tel chantier -avec une maîtresse d’œuvre si exigeante et de surcroît mauvaise payeuse? [Inversion des postures, comme d'habitude.] Là, c'est mal joué : c'est Léo qui a pointé la malfaçon.. qui justifierait (?) un non paiement du reliquat -s'il s'avère qu'il faut tout refaire-. Etait-ce la raison pour laquelle GMD2, tiraillé entre son incapacité (?) ou sa mauvaise volonté à le terminer et sa crainte d'être démasqué par un pro plus compétent redoutait qu'un autre ne prenne le chantier? On voit ici qu'un MPM, une fois démasqué, devient dangereux -même lorsqu'il fait le fragile, il peut même en jouer-. Voir analyse. 

http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/12/analyse-de-cris-et-chuchotement-sur-un.html


ÉPILOGUE 2, UN COUP DE BOULE ET UN KO



Et le jour même où Léo pose la porte -c'est quasiment fini- GMD2 survient, mécontent -la porte est posée!- et après le départ du jeune maçon -et de son aide- pour déjeuner, seul avec elle, frappe Léna d'un coup de tête qui l'étourdit (brève perte de connaissance). Prétexte : les 2000 E qu'elle n'a jamais eu l'intention de ne pas lui donner -sauf à en retirer le prix de la pose, environ 100E, qu'il n'a pas effectuée, ce qu'il avait semblé accepter-.. "mais je ne vais pas filer au quart de tour -il veut du liquide et cela l'oblige à faire à 64 km- : toi, tu m'as fait attendre des semaines sans même me prévenir ; tout au début du chantier, lorsque tu m'as demandé un acompte, je te l'ai payé le lendemain mais cette fois-ci, je ne serai pas à tes ordres." Plainte. Visite -à la demande du gendarme, très sympa- chez les médecins du bled, très peu sympa au contraire! "qui ne prennent pas les urgences" (!) et, plus grave, un coup de fil de Léo, ennuyé "s'il y a des problèmes avec GMD2 -apparemment il est revenu.. avec des menaces*?- je ne peux pas faire le chantier, je m'en vais." En une seconde, il a vidé les lieux, après s'être laborieusement justifié, visiblement très mal à l'aise. Léna a admis : "tu as ta carrière à faire, je comprends, OK.. dis moi combien je te dois".. "RIEN DU TOUT" s'est-il exclamé -presque comiquement- tant il était gêné. -Malgré ce qu'il avait dit, il a laissé la porte posée, ce que Léna a vu en rentrant le soir.-    

* Notons -et là aussi, c'est comique et ahurissant- que GMD2 se permet une telle attirude, je laisse!- envers un confrère totalement dans la légalité quand lui même ne l'est pas -Léo déclarant son travail par le biais de son entreprise alors que lui, bien qu'au départ il ait assuré à Léna que son fils en avait fondée une, a en fait exigé d'être payé en liquide.- On a ici aussi l'inversion des situations et des rôles, classique : c'est l'illégal qui menace le légal au nom de la légalité... et le légal qui s'aligne sans rien en ignorer -une sorte de système maffieux-. Un MPN ne se refuse jamais rien.  

En trois images http://femmesavenir.blogspot.com/2014/12/mpn-le*s-liaisons-dangereuses.html
Résumé pour partager
 http://femmesavenir.blogspot.com/2015/01/reponse-une-internaute-sur-les-pervers.html

LE DOSSIER
 http://femmesavenir.blogspot.com/2015/01/langoisse-dechapper-une-relation.html

ÉPILOGUE 2 

"A toute chose malheur est bon" dit le dicton.. Peut-être. J'ai rencontré ensuite un maçon artiste, une espèce pas si fréquente -quoique..- qui a rattrapé le coup... et un humaniste, qui, lui aussi briefé -mais trop tard sans doute? ou il n'en a pas tenu compte- m'a posé la porte sans rien me demander.. Les finitions proviennent de l'artiste en collaboration.

http://femmesavenir.blogspot.com/2015/02/macon-et-artiste-une-polyvalence.html
http://femmesavenir.blogspot.fr/2015/03/charlie-inspecte-les-travaux-presque.html