Note : ce dossier (violences psychologiques) est à mettre en parallèle avec le dossier sur les pervers dits narcissiques
http://femmesavenir.blogspot.com/2014/02/pervers-narcissiques-le-dossier.html
[.. et aussi avec le dossier "prostituée, l'idéal des hommes" -la mort vous va si bien- sur, entre autres, la chirurgie esthétique. Vouloir ou être poussée à séduire à tout prix peut tuer; il s'agit d'une violence psychologique, et particulièrement cruelle.
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/dossier-chirurgie-esthetique-le-mythe.html ]
__________________________________________________________
ILLUSTRATION EN IMAGES
http://femmesavenir.blogspot.com/2014/02/pervers-narcissiques-le-dossier.html
[.. et aussi avec le dossier "prostituée, l'idéal des hommes" -la mort vous va si bien- sur, entre autres, la chirurgie esthétique. Vouloir ou être poussée à séduire à tout prix peut tuer; il s'agit d'une violence psychologique, et particulièrement cruelle.
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/dossier-chirurgie-esthetique-le-mythe.html ]
__________________________________________________________
ILLUSTRATION EN IMAGES
UN PHOTOGRAPHE TRANSFORME LES INSULTES EN HEMATOMES ! SAISISSANT
.
En clip vidéo, la marche funèbre (tu es une merde)
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/clip-le-harcelement-ou-cinglage.html
.
Des trucs pour s'en sortir en clip "dessin animé" parlé
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/man-pull-action.html
.
Familles de victimes et familles de doleurs: la victimisation s'apprend très tôt.
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/02/les-couples-bourreau-victime-profil-un.html
.
Les femmes aussi peuvent être perverses mais en général, ce sont des syndromes de Stockholm (une image: "si tu savais ce qu'on dit sur toi!")
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/06/pervers-en-une-image-les-femmes-aussi.html
.
En gif (image animée, "mais je t'aime quand même")
http://femmesavenir.blogspot.com/2014/03/blog-post_31.html
La cruauté souriante. Sur le canal de Bourgogne, une image, choses vécues
Dur (je laisse!) le canal de Bourgogne, suite
Dur le canal de Bourgogne, morale de l'histoire
http://femmesavenir.blogspot.com/2013/10/les-signes-qui-doivent-vous-faire-fuir.html
.
Maison de poupée à Clamart
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/blog-post_29.htmlhtml
http://femmesavenir.blogspot.fr/2013/10/le-hasard-et-la-necessite-ou-maison-de.html
.
Retour de Tonerre, du ciel au fond du trou: une BM en panne. La simple muflerie est-elle violence psychologique ? Oui.
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/la-muflerie-est-elle-violence.html
.
L'art d'attraper le Sida''
.
Maison de poupée à Clamart
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/blog-post_29.htmlhtml
http://femmesavenir.blogspot.fr/2013/10/le-hasard-et-la-necessite-ou-maison-de.html
.
Retour de Tonerre, du ciel au fond du trou: une BM en panne. La simple muflerie est-elle violence psychologique ? Oui.
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/la-muflerie-est-elle-violence.html
.
L'art d'attraper le Sida''
Images animées, vertiges :
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/03/blog-post_5547.html
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/03/blog-post_16.html
Invitation au suicide, le Feed back
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/03/blog-post_21.html
La flèche du désamour ou les familles tueuses. Un seul suffit. Maltraitance infantile puis... parentale. Enfants de couples séparés, divisés (pour régner) puis.. diviseurs.
http://femmesavenir.blogspot.fr/2013/10/familles-tueuses-la-fleche-du-desamour.html
.
Les coups jusqu'à la mort ou au suicide (Kristina Rady)
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/marie-trintignan-kristina-rady-cantat.html
.
Le dégoûté et le dégoûtant, harcèlement et racisme (tu/elle est sale, tu/elle pue)
http://femmesavenir.blogspot.fr/2013/12/racisme-colonialisme-classisme.htmlL'image du puits
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/03/vous-etes-dans-un-puits.html
Quand la victime est cuite à point (1). Le harcèlement par les rendez-vous systématiquement ratés (je viendrais ramener la voiture.. dans la journée.)
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/03/a-emprunte-la-voiture-commune-mais-dont.html .
Quand la victime est cuite à point (2); analyse, harcèlement et paranoïa, un simple geste suffit pour tout re enclencher et ça roule ma poule ("vous voyez bien qu'elle est folle.") Le réflexe conditionné ou phénomène du point-gâchette. Comme dans les pubs..
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/03/le-stress-histoire-positive.html.
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/02/lart-de-rendre-lautre-fou.html vidéo
.
Un/e pervers/e en trois images. Familles photoshop, l'omerta, les liaisons dangereuses (toutes classes sociales confondues aux deux extrêmes de la fourchette.) Voir aussi "le syndrome de Stockholm"
.
Un parallèle avec les techniques de publicité et de torture -lavage de cerveau- : les points gâchettes induits à partir d'une musique, d'une seule image, et tout se met en place.. La madeleine. (Amen, chaussée aux moines!)
http://femmesavenir.blogspot.com/2014/03/lorsquon-veut-traquer-et-se-proteger-de.html
Et en politique, ces mêmes techniques ! Voir Mussolini, Le Pen etc..
http://femmesavenir.blogspot.com/2014/03/tout-est-dans-la-tete-si-vous-pensez.html
En image, des exemples anecdotiques du point-gâchette (la jalousie induite -diviser pour régner-). La partie de cartes!
Le réussi et la ratée. Analyse à plat ("Journal d'une ratée") des conséquences des inégalités économiques au sein d'un couple et de l'usage qu'il en est fait par le privilégié, l'homme dans 90% des cas. La femme vue comme une prostituée fantasmée. Et le macho qui tente de compenser ses propres déficiences (sous le plastron le babygros). Cela explique que les femmes résistent à l'inacceptable parfois.
http://femmesavenir.blogspot.fr/2013/09/le-reussi-et-la-ratee-dialogue-de.html .
Les inégalités sociales au sein d'un couple, l'image chic.. (euhh.. choc)
.
A Paris comme ailleurs, il y a ceux qui se débrouillent.. et ceux qui ne se débrouillent pas. Montreuil et Montparnasse.
Les justification du sexisme de la part de mecs "bien sous tous rapports": le syndrome de Jeannette
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/le-syndorme-je-laisse-de.html.
Images de l'article (la stratégie de l'araignée)
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/laraignee.html
.
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/reussi-rate-version-2.html (mieux?)
.
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/le-macho-un-fragile-sous-le-plastron-le.html
.
L'article en gif !
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/blog-post_6.html
.
En clip vidéo
Sur l'air de la mort de Siegfried. Le piédestal et la serpillière
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/siegfried-ou-la-mort-dun-couple-normal.html
.
L'archétype de "la" femme mariée bourgeoise.. idéale : la prostituée chic , appliqué à toutes!
.Même à ceux qui "aiment le naturel" mais bavent devant des J. Le macho enfant : "je n'aime pas les femmes apprêtées"..
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/larchetype-de-la-femme-la-prostituee.html
.
Les violences relatives à l'apparence physique, très mal vécues et extrêmement cruelles parfois, qui peuvent générer des addictions aux opérations et traitements esthétiques.. et la mort. (Formule choc : "au delà de 53 kilos, je divorce".)
http://femmesavenir.blogspot.fr/2011/12/protheses-mammaires-operations.html .
En Gif, le mythe de la femme éternellement sexy et jeune : des couteaux contre les femmes, excision et opérations "esthétiques" qui peuvent tuer.. couteaux parfois maniés par des femmes ou avec leur plein accord voire leur sollicitation. Le cas Edwige et J. ou la mort vous va si bien.
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/blog-post_8.html .
Les couples pervers bourreau victimevictime, Nadia et surtout Suzanne.
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/02/l-es-couples-bourreaux-victimes-sovictime, Voir aussi le cas Agnès Leroux.
__________
Article de Muriel Salmona ''la dissociation traumatique'' (un phare)
http://stopaudeni.com/dissociation-traumatique
LES DOSSIERS LARRIVÉ
Les femmes et la psychiatrie, les encombrantes
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/01/la-psychiatrie-cest-fou-le-dossier.html
.
Femmes à la casse, celles dont on a tiré tout le jus, enfin presque
Femmes à la casse, celles dont on a tiré tout le jus, enfin presque
.
L'escroquerie maritale ''tu t'en vas, tu n'auras plus un kopeck, tu
es une ratée et crèveras dans la misère... avec Colette, jamais de
dispute et chez elle tout est nickel -mais quel ennui!- (Tu n'as qu'un
mot à dire et j'arrête tout.)''
.
Les pervers dits narcissiques du point de vue de Marx
Les pervers dits narcissiques du point de vue de Marx
.
Des femmes embarquées, lettre-type de ''démission''
Le ''cacantat'', Kristina Rady, un suicide peut cacher un meurtre, le harcèlement qui tue:
http://femmesavenir.blogspot.fr/2013/09/laffaire-kristina-rady-le-dossier.html
http://femmesavenir.blogspot.com/2014/02/les-dossiers-violences-psychologiques.html L'article qui suit.
http://femmesavenir.blogspot.com/2014/02/les-dossiers-violences-psychologiques.html L'article qui suit.
Le cas Schembri, un bourreau à visage d'inspecteur primaire.. et une fille qui le soutient
Le syndrome de Stockholm, le violeur et ses kapos, un tueur peut être une victime rescapée
Le viol, dossier
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/03/nous-nirons-plus-au-bois-le-viol-mini.html
Le machisme en milieu libertaire
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/03/texte-dargument-et-de-reflexion-sur-le.html
.
Les violences psychologiques sont à la source de TOUTES LES AUTRES qu'elles précèdent toujours mais même seules, elles sont une arme efficace pour imposer une domination, instrumentaliser et TUER, soit physiquement (conduire ses victimes au suicide) soit virtuellement. Des crimes presque parfaits puisque indémontrables. Rapport de force, manipulation, intimidation, menace, terreur -qui peut être obtenue d'un simple regard- sidération générée par des comportements hors norme, incompréhensibles, incohérents, elles sont parfois une véritable entreprise de démolition identitaire qui conditionne ses victimes à se sentir INEXISTANTES OU SEULEMENT EXISTANTES LORSQU'ELLES CESSENT, car pour être au point, il faut aussi des accalmies. Les femmes (ou plus rarement les hommes) qui les subissent sont ainsi réduites à une chose sans aucun droit SI CE N'EST CELUI QUE LUI OCTOIE ÉVENTUELLEMENT, TOUJOURS SOUS CONDITION, LEUR AUTEUR.
Le climat d'insécurité physique et émotionnelle
voire de terreur et d'angoisse PERMANENT est fondamental pour asseoir l'emprise. Il faut absolument éviter que la victime réfléchisse, et pour cela, plusieurs méthodes : l'accabler (de travail, de reproches, de mépris, parfois d'enfants..) susciter des conflits impromptus à tout propos SANS QUE RIEN NE PUISSE ÊTRE PRÉVU, avec intimidations, menaces, chantages affectifs, sous-entendus.. -ou a contrario des laudations également inattendues et imméritées-.. sur le canevas d'une intolérance à la moindre contrariété ou opposition (1).. dure, cruelle (2), ou encore une indifférence affichée, (le silence est un bon moyen) et un refus ouvert ou masqué du partage des tâches et des charges financières (3)...
L'auteur doit la maintenir dans l'angoisse, lui faire sentir à tout moment, pour la joie comme pour la souffrance, qu'elle EST À SA MERCI. Ce climat -et l'isolement- est nécessaire pour ancrer profondément en elle un sentiment d'infériorité, de dévalorisation et de DÉPENDANCE. Il ne craint pas de répéter (la répétition fait partie de la mise en condition) : exigences volontairement irréalistes, (4), dénigrements infinis, critiques incessantes, paroles cruelles sur ce qui lui tient le plus à cœur -son physique, son expression verbale, ses capacités intellectuelles, son travail, ses tâches domestiques, l'éducation des enfants, son comportement amoureux et sexuel- ; la culpabilisation et le sentiment d'incompétence peuvent aussi être entretenus une fois qu'elle est ferrée par des des attitudes de rejet et une jalousie suscitée envers une rivale ou mieux, DES rivales, réelles ou fantasmées -''une telle fait mieux''-, organisant la sensation d'être continuellement en faute, au dessous de tout (5) ; à partir de là, il peut aller jusqu'à créer un sentiment de confusion et de doute -si la victime est totalement isolée- par des attitudes, des messages incohérents et contradictoires, et des mensonges ou des interprétations fallacieuses de faits et gestes réels, des procès d'intention et même des mises en scènes (6) donnant à l'entourage une idée fausse de la victime (''vous voyez bien qu'elle est folle'') et sapant en elle toute confiance en ses jugements, ses réactions, ses désirs et même ses PERCEPTIONS (7).
L'auteur doit la maintenir dans l'angoisse, lui faire sentir à tout moment, pour la joie comme pour la souffrance, qu'elle EST À SA MERCI. Ce climat -et l'isolement- est nécessaire pour ancrer profondément en elle un sentiment d'infériorité, de dévalorisation et de DÉPENDANCE. Il ne craint pas de répéter (la répétition fait partie de la mise en condition) : exigences volontairement irréalistes, (4), dénigrements infinis, critiques incessantes, paroles cruelles sur ce qui lui tient le plus à cœur -son physique, son expression verbale, ses capacités intellectuelles, son travail, ses tâches domestiques, l'éducation des enfants, son comportement amoureux et sexuel- ; la culpabilisation et le sentiment d'incompétence peuvent aussi être entretenus une fois qu'elle est ferrée par des des attitudes de rejet et une jalousie suscitée envers une rivale ou mieux, DES rivales, réelles ou fantasmées -''une telle fait mieux''-, organisant la sensation d'être continuellement en faute, au dessous de tout (5) ; à partir de là, il peut aller jusqu'à créer un sentiment de confusion et de doute -si la victime est totalement isolée- par des attitudes, des messages incohérents et contradictoires, et des mensonges ou des interprétations fallacieuses de faits et gestes réels, des procès d'intention et même des mises en scènes (6) donnant à l'entourage une idée fausse de la victime (''vous voyez bien qu'elle est folle'') et sapant en elle toute confiance en ses jugements, ses réactions, ses désirs et même ses PERCEPTIONS (7).
______
Ces violences psychologiques reposent sur une imposture totale, il faut le dire et le répéter.
Tous ces propos, tous ces comportements sont des prises de pouvoir usurpées et ensuite des abus
de pouvoir, n'ont d'autre but que d'asservir la victime et ils sont intentionnels... mais pour brouiller les pistes, mis en scène sous couvert d'amour, d'éducation, de nécessité, de responsabilité,
d'impératifs professionnels, économiques ou de sécurité. Ils sont toujours présentées par l'auteur comme étant uniquement dûs à la victime,
survenant par sa faute : "tu m'as énervé, tu es insupportable,
dangereuse, tu fais tout pour me mettre -ou mettre les ''gens''- hors de moi, pour me contrarier, et pas seulement moi !! c'est pour toi que je te dis ça, dans ton propre intérêt, pour que tu changes, que tu t'améliores.. la maison est un taudis, tu te plains de ne pas être assez reconnue dans ton boulot mais c'est normal quand on voit ici, ton incapacité à faire le minimum, c'est justement à cause de ça qu'au bahut ça ne va pas, d'ailleurs c'est aussi la raison de ta mésentente avec X.. etc..'' (8) ...
... alors que ces catilinaires sont "fabriqués" de toutes pièces par l'auteur qui en toute indécence utilise (même s'il se dit féministe!) les stéréotypes machistes que la société véhicule sur les femmes, la famille, l'amour, la sexualité, l'éducation, le travail, l'obéissance, la hiérarchie, la sécurité, profondément ancrés et plus ou moins admis.
Il sait (?) que ces tortures sont illégitimes et injustifiables, qu'elles portent atteintes aux droits et à la dignité de la victime, mais, dans le huis-clos d'une famille, d'un couple, d'un lieu de travail, d'une institution, bénéficiant d'une position favorable, (homme, patron..) il croit pouvoir se les permettre en toute impunité. Il sait ce qu'il fait? Tout le dilemme est là : car lorsqu'il sent être allé trop loin -il craint d'être démasqué et quitté- il excelle dans l'art de se faire passer pour un imbécile... si bien que la victime vacille : intention délibérée de lui nuire? Maladresse? Laisser-aller verbal dû à l'énervement? Au stress? N'en est-elle pas elle aussi responsable? (Il travaille dur, le milieu des cadres est impitoyable... etc) À une tierce personne? -Il se cache souvent derrière un picador.. qui le manipulerait, lui-. Notons que parmi toutes ses justifications invoquées, certaines s'appuient sur du réel.. un peu modifié. (Oui, il bosse dur mais c'est elle qui le supplie d'arrêter, ce qu'il lui avait promis depuis.. des années.) La victime est perdue. Deux cas de figures : plus intellectuel qu'elle, il la noiera dans un discours faussement profond, contradictoire voire insensé ; moins intello, toute honte bue, il fera l'idiot voire.. la victime : "je n'ai pas voulu dire que.."
... alors que ces catilinaires sont "fabriqués" de toutes pièces par l'auteur qui en toute indécence utilise (même s'il se dit féministe!) les stéréotypes machistes que la société véhicule sur les femmes, la famille, l'amour, la sexualité, l'éducation, le travail, l'obéissance, la hiérarchie, la sécurité, profondément ancrés et plus ou moins admis.
Il sait (?) que ces tortures sont illégitimes et injustifiables, qu'elles portent atteintes aux droits et à la dignité de la victime, mais, dans le huis-clos d'une famille, d'un couple, d'un lieu de travail, d'une institution, bénéficiant d'une position favorable, (homme, patron..) il croit pouvoir se les permettre en toute impunité. Il sait ce qu'il fait? Tout le dilemme est là : car lorsqu'il sent être allé trop loin -il craint d'être démasqué et quitté- il excelle dans l'art de se faire passer pour un imbécile... si bien que la victime vacille : intention délibérée de lui nuire? Maladresse? Laisser-aller verbal dû à l'énervement? Au stress? N'en est-elle pas elle aussi responsable? (Il travaille dur, le milieu des cadres est impitoyable... etc) À une tierce personne? -Il se cache souvent derrière un picador.. qui le manipulerait, lui-. Notons que parmi toutes ses justifications invoquées, certaines s'appuient sur du réel.. un peu modifié. (Oui, il bosse dur mais c'est elle qui le supplie d'arrêter, ce qu'il lui avait promis depuis.. des années.) La victime est perdue. Deux cas de figures : plus intellectuel qu'elle, il la noiera dans un discours faussement profond, contradictoire voire insensé ; moins intello, toute honte bue, il fera l'idiot voire.. la victime : "je n'ai pas voulu dire que.."
Ces violences psychologiques sont souvent présentes dès le début de la relation entre l'auteur et sa victime
mais noyées dans
un climat de séduction, de protection ou de nécessité. D'autre part, il choisit souvent une femme "intéressante", charismatique.. mais dans une situation de fragilité temporaire ou fantasmée : situation, âge -plus jeune-, famille -inexistante ou de faible étendue, fille unique, enfant de la DDASS-, sans papier, en échec scolaire -ou au contraire dont l'hyper réussite l'a souvent conduite à devenir bouc émissaire- etc... Bien que ces attitudes soient clairement anormales, injustes, incohérentes, la victime oscille devant l'évidence : elle n'arrive pas à faire confiance à son propre jugement, tout est brouillé (9).. (Il ne se rend pas compte, il est comme ça, ce n'est pas de
sa faute, il a souffert, c'est sa culture, sa famille, sa mère qui le téléguide, il va changer puisqu'il m'aime etc..)
Les violences vont s'intensifier ensuite,
progressivement et inexorablement, tissant une toile
d'araignée autour d'elle au fur et à mesure de son engagement
dans la relation-piège.. et au fur et à mesure qu'elle va apprendre à "gérer" ces situations de violences, les
anticiper, les éviter, y survivre, développant en elle des capacités hors
normes.. qui l'épuisent. Toute sa vie, obnubilée par l'auteur de sa souffrance, devient un art de ''le'' prévoir, un art de survie, une tentative désespérée de ne pas couler trop profond, de trouver un roseau pour prendre un souffle, pire, de le ménager pour le bien de tous, allant jusqu'à des rapports sexuels qui lui répugnent s'il le demande, pas forcément violemment, un simple regard suffisant à l'angoisser.. Lui même affinera ses pressions. Consciente des violences et de
l'enfer qu'elle subit mais sous influence, ses analyses et ses émotions continuellement disqualifiées et niées (''c'est pas si grave, tu exagères, c'est de la
comédie'', etc...) elle s'en croira responsable ; le sentiment qu'il entretient en elle de culpabilité, d'incompétence et de DETTE envers lui -totalement construit en inversant les causes et les conséquences d'un fait réel ou en modifiant sa signification (''que ferais-tu sans moi? tu n’es bonne à rien'' -lui dit-il lorsque c'est lui qui l'a empêchée de faire carrière pour le confort de tous-, ''tu me rends ou tu rends tout le monde malheureux, tu es folle, tu ne vaux rien, tu ne comptes pas, sans moi tu n'es
rien, avec tout ce que j'ai fait pour toi, tu es moche, tu es une ratée''..) l'aveugle, l'assomme ; elle ne VOIT pas (plus) que TOUT CE QU'IL LUI ASSÈNE EST FAUX, FABRIQUÉ, que de toutes manières qu'il n'a pas le droit de se conduire ainsi et qu'il le fait
intentionnellement.*
Car les violences répétées sont à l'origine de troubles psycho traumatiques et entraînent un état de dissociation et d'anesthésie émotionnelle qui est nécessaire pour survivre à l'horreur mais qui va empêcher la victime de comprendre ses propres réactions et ses émotions. D'un côté, elle sait qu'il s'agit de violences graves, injustifiables qui normalement devraient l'anéantir, mais, comme justement elle est coupée de ses émotions, elle ne réagit pas, ne ressent sur le coup rien d'autre qu'un vide intérieur. Mais de l'autre, elle est submergée -parfois longtemps après et en d'autres circonstances- par des émotions incohérentes qui explosent pour un oui ou pour un non, qu'elle ne sait pas relier aux situations de violences qu'elle subit ou qu'elle a subies.. et qui peuvent la faire passer pour folle. Cet état de doute, d'incertitude, de confusion permet à l'auteur de mettre en place une emprise, de lui dicter ses émotions, de lui imposer le rôle qu'il lui a distribué dans sa mise en scène.
Il arrive que la voyant anéantie (tentative de suicide, désespoir catatonique) il EN JOUISSE OSTENSIBLEMENT... ET LA ''RÉCONFORTE'': IL EST LÀ, FORT ET RASSURANT, QU'ELLE NE SE FASSE PAS DE SOUCI.. ET IL SE PEUT QU'ELLE ''MARCHE'' JUSQU'À PROVOQUER EN ELLE CET ÉTAT QUI SEUL PEUT FAIRE PROVISOIREMENT CESSER LA TORTURE. DE FAIT, IL A GAGNÉ, soit elle est morte (suicide) soit elle aura un répit, mais au point où elle en est, même un jour, une semaine de "paix" sont appréciables.
La violence psychologique constitue donc BIEN UN CRIME PARFAIT CONTRE LEQUEL IL FAUT LUTTER SANS RELÂCHE, SACHANT QUE MÊME APRÈS S'EN ÊTRE LIBÉRÉ, ON EN DEMEURE MARQUÉ ET ON PEUT RECHUTER.
* Une astuce pour y échapper : se dire (et c'est vrai) qu'il s'agit d'un transfert et qu'EN RÉALITÉ C'EST À LUI QUE S'APPLIQUE TOUT CE QU'IL EST EN TRAIN DE PROFÉRER CONTRE ELLE -SANS DOUTE, LUI NE L'IGNORE-T-IL PAS-. Parfois c'est flagrant -et cependant, dans l'état de sidération où elle se trouve plongée par l'avalanche, non pointé par la victime- : un bande-mou l'accuse de frigidité ; celui qui a fait des placements catastrophiques, d'être incapable de gérer une affaire ; un asocial, d'être "sauvage" ; celui qui s'est assez peu soucié de ses enfants, d'être une mauvaise mère etc.. SE DIRE ET LUI DIRE "C'EST DE TOI QUE TU PARLES". On le voit fort bien à l’œuvre (lien) chez Adèle, qui, en toute candeur -car on peut être pervers et candide à la fois faute de finesse ou de culture- dans sa lettre d'insultes à Léna, l'agonit au sujet de "turpitudes" précises .. qui ont TOUTES la particularité.. de pouvoir lui être appliquées étant donné son vécu.. http://femmesavenir.blogspot.fr/2011/08/le-syndrome-de-s.html
L'ESCROQUERIE
Car ces personnages sont en règle générale dissociés, inquiets, mal à l'aise en société, timides jusqu'à la pusillanimité, isolés -fût-ce au sein d'une nombreuse fratrie qui peut faire illusion- fermés, pitoyables, parfois en effet d'ex victimes d'un harcèlement subi dans l'enfance qui les a mutilés. S'il s'ajoute qu'ils pensent devoir offrir l'image d'un titan, c'est l'horreur. (Cela explique qu'ils soient en général des hommes.. ou des femmes comme Adèle, souvent des aînées que leur famille -ici immigrée- a par défaut investi du rôle de chef.) Ils cachent donc leur manque de confiance en eux sous un masque de Titan, comédie éprouvante, et vont choisir quelqu'un/e de peu dangereux/se.. Mais leur vide et leur détresse sont tels qu'ils ont aussi besoin de quelqu'un/e de fort/e, de talentueux/se, de charismatique. Dilemme: il leur faut à la fois le beurre et l'argent du beurre. Solution, l'escroquerie. Ils vont vendre à un/e gogo un pain de terre empaqueté comme beurre, prendre l'argent et s'en nourrir. C'est à dire opter pour une victime qui ignore son propre charisme, lui laisser croire que c'est eux qui s'abaissent, en profiter tout en induisant son ''infériorité'', la figurant, la JOUANT.. Aveuglée ou complice de sa propre destruction -au départ plus ou moins virtuelle- tout va bien.. mais si elle se rebiffe, le compagnon-fort-aimant-longanime se change en Roi sanctionnant comme il se doit un crime de lèse-majesté : cette fois, c'est bien à sa destruction réelle qu'il va oeuvrer (certes, c'est son navire qu'il saborde -mais il en trouvera un autre ou tant pis, coulera avec-.)
La relation ici frôle le sado masochisme car une fois la victime anéantie, il peut se faire qu'ils tentent de se rapprocher d'elle, excités semble-t-il par sa détresse... pour la ''réconforter'' !! (''je suis là, ne t'en fais pas, tu vas mal mais je t'aime etc etc..'') Détruite, elle n'est plus dangereuse, surtout si elle est persuadée que son mal-être provient d'elle. Ils l'aiment à nouveau.
Car les violences répétées sont à l'origine de troubles psycho traumatiques et entraînent un état de dissociation et d'anesthésie émotionnelle qui est nécessaire pour survivre à l'horreur mais qui va empêcher la victime de comprendre ses propres réactions et ses émotions. D'un côté, elle sait qu'il s'agit de violences graves, injustifiables qui normalement devraient l'anéantir, mais, comme justement elle est coupée de ses émotions, elle ne réagit pas, ne ressent sur le coup rien d'autre qu'un vide intérieur. Mais de l'autre, elle est submergée -parfois longtemps après et en d'autres circonstances- par des émotions incohérentes qui explosent pour un oui ou pour un non, qu'elle ne sait pas relier aux situations de violences qu'elle subit ou qu'elle a subies.. et qui peuvent la faire passer pour folle. Cet état de doute, d'incertitude, de confusion permet à l'auteur de mettre en place une emprise, de lui dicter ses émotions, de lui imposer le rôle qu'il lui a distribué dans sa mise en scène.
Il arrive que la voyant anéantie (tentative de suicide, désespoir catatonique) il EN JOUISSE OSTENSIBLEMENT... ET LA ''RÉCONFORTE'': IL EST LÀ, FORT ET RASSURANT, QU'ELLE NE SE FASSE PAS DE SOUCI.. ET IL SE PEUT QU'ELLE ''MARCHE'' JUSQU'À PROVOQUER EN ELLE CET ÉTAT QUI SEUL PEUT FAIRE PROVISOIREMENT CESSER LA TORTURE. DE FAIT, IL A GAGNÉ, soit elle est morte (suicide) soit elle aura un répit, mais au point où elle en est, même un jour, une semaine de "paix" sont appréciables.
La violence psychologique constitue donc BIEN UN CRIME PARFAIT CONTRE LEQUEL IL FAUT LUTTER SANS RELÂCHE, SACHANT QUE MÊME APRÈS S'EN ÊTRE LIBÉRÉ, ON EN DEMEURE MARQUÉ ET ON PEUT RECHUTER.
* Une astuce pour y échapper : se dire (et c'est vrai) qu'il s'agit d'un transfert et qu'EN RÉALITÉ C'EST À LUI QUE S'APPLIQUE TOUT CE QU'IL EST EN TRAIN DE PROFÉRER CONTRE ELLE -SANS DOUTE, LUI NE L'IGNORE-T-IL PAS-. Parfois c'est flagrant -et cependant, dans l'état de sidération où elle se trouve plongée par l'avalanche, non pointé par la victime- : un bande-mou l'accuse de frigidité ; celui qui a fait des placements catastrophiques, d'être incapable de gérer une affaire ; un asocial, d'être "sauvage" ; celui qui s'est assez peu soucié de ses enfants, d'être une mauvaise mère etc.. SE DIRE ET LUI DIRE "C'EST DE TOI QUE TU PARLES". On le voit fort bien à l’œuvre (lien) chez Adèle, qui, en toute candeur -car on peut être pervers et candide à la fois faute de finesse ou de culture- dans sa lettre d'insultes à Léna, l'agonit au sujet de "turpitudes" précises .. qui ont TOUTES la particularité.. de pouvoir lui être appliquées étant donné son vécu.. http://femmesavenir.blogspot.fr/2011/08/le-syndrome-de-s.html
L'ESCROQUERIE
Car ces personnages sont en règle générale dissociés, inquiets, mal à l'aise en société, timides jusqu'à la pusillanimité, isolés -fût-ce au sein d'une nombreuse fratrie qui peut faire illusion- fermés, pitoyables, parfois en effet d'ex victimes d'un harcèlement subi dans l'enfance qui les a mutilés. S'il s'ajoute qu'ils pensent devoir offrir l'image d'un titan, c'est l'horreur. (Cela explique qu'ils soient en général des hommes.. ou des femmes comme Adèle, souvent des aînées que leur famille -ici immigrée- a par défaut investi du rôle de chef.) Ils cachent donc leur manque de confiance en eux sous un masque de Titan, comédie éprouvante, et vont choisir quelqu'un/e de peu dangereux/se.. Mais leur vide et leur détresse sont tels qu'ils ont aussi besoin de quelqu'un/e de fort/e, de talentueux/se, de charismatique. Dilemme: il leur faut à la fois le beurre et l'argent du beurre. Solution, l'escroquerie. Ils vont vendre à un/e gogo un pain de terre empaqueté comme beurre, prendre l'argent et s'en nourrir. C'est à dire opter pour une victime qui ignore son propre charisme, lui laisser croire que c'est eux qui s'abaissent, en profiter tout en induisant son ''infériorité'', la figurant, la JOUANT.. Aveuglée ou complice de sa propre destruction -au départ plus ou moins virtuelle- tout va bien.. mais si elle se rebiffe, le compagnon-fort-aimant-longanime se change en Roi sanctionnant comme il se doit un crime de lèse-majesté : cette fois, c'est bien à sa destruction réelle qu'il va oeuvrer (certes, c'est son navire qu'il saborde -mais il en trouvera un autre ou tant pis, coulera avec-.)
La relation ici frôle le sado masochisme car une fois la victime anéantie, il peut se faire qu'ils tentent de se rapprocher d'elle, excités semble-t-il par sa détresse... pour la ''réconforter'' !! (''je suis là, ne t'en fais pas, tu vas mal mais je t'aime etc etc..'') Détruite, elle n'est plus dangereuse, surtout si elle est persuadée que son mal-être provient d'elle. Ils l'aiment à nouveau.
Ces violences s'accompagnent de la mise en place d'une emprise permanente
pour détruire la confiance en soi et l'estime de soi.
Cela passe par la critique systématique, par l'humeur, la colère, la
menace, par la négation de ses perceptions (10) par le non-respect des besoins
et des opinions, par la prise de décision unilatérale, par la
manipulation affective, par l'argent, par le rejet de ses
responsabilités sur l'autre, par la restriction des contacts avec l'extérieur, par l'intimidation physique, par des humiliations à connotations
sexuelles. Les violences psychologiques sont destructrices, entraînant de
très graves atteintes à l'intégrité psychique avec de véritables
déstructurations assimilables à des morts psychiques ou pouvant pousser
ses victimes au suicide, mais elles sont difficiles à prouver.
(1) Faire systématiquement attendre l'autre, mais si celui-ci à son tour demande quelques instants, refuser de les lui accorder en se lançant dans une autre "activité" qui à son tour lui permettra de le/la faire attendre etc..
(2) Lui reprocher de ne pas avoir lavé la vaisselle sachant bien qu'elle ne le peut pas (sciatique et mal positionnement de l'évier..) Par la même occasion il installe un évier dans une maison de campagne.. sans lui demander auparavant de le choisir ni comment le positionner.
(3) Lui demander (exiger) de "prendre une femme de ménage" alors qu'elle ne le peut pas financièrement.
(3) Lui demander (exiger) de "prendre une femme de ménage" alors qu'elle ne le peut pas financièrement.
(4) Lui dire (hurler) qu'elle est une ratée (alors qu'il l'a empêchée d'investir son travail en l'accablant de charges de toutes sortes.)
(5) Alors qu'elle a dégagé, peint et nettoyé une cave en un temps record pendant qu'il était parti, devenue comme prévu salle de réunion..-''Je t'ai fait une surprise'' lui a-t-elle dit à la gare-, il entre, inspecte tout SANS UN MOT, puis passe son index au dessus d'une étagère, le regarde d'un air dégoûté, et s'exclame ''tu aurais pu faire les poussières tout de même !''
(6) Il la laisse seule un samedi aux côtés d'un locataire alcoolique et violent (les week ends) en pleine crise pour aller à une soirée familiale et lorsque, ne pouvant en venir seule à bout (le gars, en plein délire, a pris un couteau et menace d'aller chez sa compagne pour la tuer, elle et son copain), elle l'appelle, il fait -en public- comme si elle le harcelait d'angoisses puériles et sans objet.. et évidemment refuse de venir: ''ne t'en fais pas, ce n'est rien, voyons..'' (elle parviendra à désarmer le furieux et à prévenir sa compagne).. Lorsqu'il rentrera, il fera comme si de rien n'était. Pas un mot, ne serait-ce de reconnaissance. Quant à son public, sœurs, beaux-frères etc.. ils seront persuadés qu'elle est une hystérique jalouse qui ne peut supporter de passer une soirée sans lui et veut seulement leur gâcher le plaisir de se retrouver.
(7) Il dit une chose (une insulte) et l'instant d'après dénie l'avoir proférée, l'accusant de paranoïa.
(8) Il utilise contre elle-même ce qu'elle lui a confié (ici, ses ennuis au travail) à la moindre occasion .. pour l'enfoncer davantage tout en ayant l'air de l'aider.. donnant systématiquement de ceux-ci une ''explication'' la plus injuste et défavorable qui soit pour elle, se servant alors comme ''piccador'' de celui-là même qui les lui a occasionnés, en toute connaissance de cause, même s'il ne l'apprécie pas -en tout premier chef-, patron, collègue, belle soeur, voisin, parfois enfants.. voire même, le comble.. la parente -à elle- raciste (mettons qu'il soit arabe) qui hait sa victime -entre autres- précisément pour cette raison ! Ou il lui demande d'appeler son bureau (il a oublié un document qu'elle doit chercher) puis lui fait dire par sa secrétaire qu'il est occupé.. elle rappelle, idem... Ainsi ses collaborateurs et surtout collaboratrices penseront-ils qu'elle le harcèle, se méfieront d'elle et le plaindront. De même, alors qu'il n'a jamais eu la moindre intention de s'y rendre, il assure à sa mère que c'est elle qui refuse d'aller chez untel -donc il n'ira pas pour ne pas avoir d'histoires-..
(9) Il ment ou transforme les choses à son gré, ainsi une ''mutation'' à l'étranger, soi disant pour sa carrière, soi disant provisoire, soi disant mirobolante, n'a-t-elle pour but que de l'éloigner de son pays, d'amis et surtout de lui faire quitter son travail. Le provisoire pourra durer.. des années. De même son refus d'un poste inespéré soi disant insuffisant provient-il seulement de sa crainte de se retrouver dans sa région à elle où elle a ses marques et où il ne pourra plus la ''tenir'' aussi bien que dans une mégapole. Idem son "refus" sous divers prétextes qu'elle postule dans sa propre boîte -des postes ont été créés qui lui correspondent et lui peut décider des impétrants- provient-il de ce qu'il redoute sa réussite professionnelle, se satisfaisant -quoiqu'il en dise- de son épuisement.. si bien que paradoxalement, le fait même qu'il soit décideur.. la fera renoncer à postuler, une sorte de ''piston'' à rebours !! Dont on ne parle jamais.
(10) Il l'accuse d'avoir révélé un fait particulier à leur enfant ''pour semer la merde'' (alors que c'est lui qui l'a révélé!!) et persistera malgré ses dénégations indignées. Bavardant en sa présence avec une membre de sa famille (parfaitement francophone) il glisse une phrase dans une langue qu'elle ne parle pas, qui la fait rire (?) et immédiatement après, nie l'avoir fait.. Et de même, lorsqu'une autre de ses parentes, qui n'aime pas sa victime (peut être par sa faute à lui) emploie elle aussi intentionnellement cette langue pour l'exclure d'une conversation, puis nie également l'avoir fait -les attitudes de ce genre semblent parfois inculquées familialement- il la soutiendra contre vents et marées sachant pertinemment qu'elle ment.. et taxera et laissera taxer sa compagne de paranoïa. Le soir (elle est partie en larmes) lorsqu'il rentrera, il fera comme si de rien n'était... Qu'as-tu? Je ne comprends pas? Quoi? Encore cette affaire? Ce n'est pas fini? Mais ce n'est pas grave, voyons, tu ne vas pas faire des histoires pour un enfantillage, tu es au dessus de ça.. ON est au dessus de ça. Elle voulait juste parler de sa fille qui ne parvient pas à avoir un enfant, c'est tout (!!)... preuve s'il en était qu'en effet cela avait été intentionnellement dit dans une langue qu'elle ne comprenait pas et que, malgré ses dénégations appuyant celles de l'impolie deux heures auparavant, il ne l'ignorait pas... et que par conséquent il mentait comme elle, avec en prime l'accusation de mensonge et de paranoïa.. Là, survient le déni. "Mais je n'ai jamais dit cela, JAMAIS! je voulais juste te dire qu'il n'y avait rien contre toi, tu fais toujours un flan pour tout.. Menteuse? Mais je n'ai jamais dit que tu l'étais.. Non, absolument pas, tu manipules, tu me fais passer pour un salaud. JE REFUSE. J'ai juste dit que ce n'était pas vrai.. "Pas vrai" ne veut pas dire ''menteuse'', c'est une question d'interprétation, tu transformes tout. Pas vrai ça veut dire que tu t'es trompée. Sur la langue? mais non, ô et puis tu me fatigues, je voulais juste dire que ce n'était pas contre toi, c'est l'essentiel, tu as mal compris comme d'habitude. Vrai.. oui -la langue?- écoute je ne me souviens même plus très bien, tu finis par m'assommer, m'embrouiller, (!) mais bon je te crois.. mais pas comme tu l'avais pensé, tu es très para.. susceptible parfois parce que tu détestes J., c'est tout. Vrai, la langue? Mais je me tue à te répéter qu'il ne s'agissait pas de la langue mais de ce qui était dit. (!) Une langue n'existe et ne sert que par ce qu'elle dit, non? Vrai la langue? mais ON S'EN FOUT DE LA LANGUE.. Quelle histoire ! tout le monde sait bien qu'elle est menteuse d'ailleurs, tu as raison, mais justement, ce n'était pas la peine de le souligner.. NON je n'ai pas dit que c'était toi qui l'étais, je te répète et répèterai autant de fois qu'il faudra pour que ça rentre bien, c'est TOI qui as mal interprété. Il faut un peu de distance devant des gens comme elle, tu sais bien qu'elle va mal.." etc.. L'épuisement qui survient après un tel discours, mis bout à bout sur des années, finit par obérer les perceptions elles mêmes. Peu de temps après, il certifiera qu'il n'y a jamais eu de passage dans une autre langue, elle s'est trompée.. ou a menti pour l'accabler, il veut bien croire le premier mais bon, le doute est là etc.. Vertiges. La victime est comme un poussah ou un putching ball envoyé d'un angle à un autre jusqu'à ce qu'elle perde la tête.
Images animées, vertiges :
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/03/blog-post_5547.html
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/03/blog-post_16.html
Invitation au suicide, le Feed back
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/03/blog-post_21.html
L'image du puits
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/03/vous-etes-dans-un-puits.html
___________
Les femmes et la psychiatrie, les encombrantes
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/01/la-psychiatrie-cest-fou-le-dossier.html
Le ''cacantat'', Kristina Rady, un suicide peut cacher un meurtre, le harcèlement qui tue:
Le syndrome de Stockholm, le violeur et ses kapos, un tueur peut être une victime rescapée
(5) Alors qu'elle a dégagé, peint et nettoyé une cave en un temps record pendant qu'il était parti, devenue comme prévu salle de réunion..-''Je t'ai fait une surprise'' lui a-t-elle dit à la gare-, il entre, inspecte tout SANS UN MOT, puis passe son index au dessus d'une étagère, le regarde d'un air dégoûté, et s'exclame ''tu aurais pu faire les poussières tout de même !''
(6) Il la laisse seule un samedi aux côtés d'un locataire alcoolique et violent (les week ends) en pleine crise pour aller à une soirée familiale et lorsque, ne pouvant en venir seule à bout (le gars, en plein délire, a pris un couteau et menace d'aller chez sa compagne pour la tuer, elle et son copain), elle l'appelle, il fait -en public- comme si elle le harcelait d'angoisses puériles et sans objet.. et évidemment refuse de venir: ''ne t'en fais pas, ce n'est rien, voyons..'' (elle parviendra à désarmer le furieux et à prévenir sa compagne).. Lorsqu'il rentrera, il fera comme si de rien n'était. Pas un mot, ne serait-ce de reconnaissance. Quant à son public, sœurs, beaux-frères etc.. ils seront persuadés qu'elle est une hystérique jalouse qui ne peut supporter de passer une soirée sans lui et veut seulement leur gâcher le plaisir de se retrouver.
(7) Il dit une chose (une insulte) et l'instant d'après dénie l'avoir proférée, l'accusant de paranoïa.
(8) Il utilise contre elle-même ce qu'elle lui a confié (ici, ses ennuis au travail) à la moindre occasion .. pour l'enfoncer davantage tout en ayant l'air de l'aider.. donnant systématiquement de ceux-ci une ''explication'' la plus injuste et défavorable qui soit pour elle, se servant alors comme ''piccador'' de celui-là même qui les lui a occasionnés, en toute connaissance de cause, même s'il ne l'apprécie pas -en tout premier chef-, patron, collègue, belle soeur, voisin, parfois enfants.. voire même, le comble.. la parente -à elle- raciste (mettons qu'il soit arabe) qui hait sa victime -entre autres- précisément pour cette raison ! Ou il lui demande d'appeler son bureau (il a oublié un document qu'elle doit chercher) puis lui fait dire par sa secrétaire qu'il est occupé.. elle rappelle, idem... Ainsi ses collaborateurs et surtout collaboratrices penseront-ils qu'elle le harcèle, se méfieront d'elle et le plaindront. De même, alors qu'il n'a jamais eu la moindre intention de s'y rendre, il assure à sa mère que c'est elle qui refuse d'aller chez untel -donc il n'ira pas pour ne pas avoir d'histoires-..
(9) Il ment ou transforme les choses à son gré, ainsi une ''mutation'' à l'étranger, soi disant pour sa carrière, soi disant provisoire, soi disant mirobolante, n'a-t-elle pour but que de l'éloigner de son pays, d'amis et surtout de lui faire quitter son travail. Le provisoire pourra durer.. des années. De même son refus d'un poste inespéré soi disant insuffisant provient-il seulement de sa crainte de se retrouver dans sa région à elle où elle a ses marques et où il ne pourra plus la ''tenir'' aussi bien que dans une mégapole. Idem son "refus" sous divers prétextes qu'elle postule dans sa propre boîte -des postes ont été créés qui lui correspondent et lui peut décider des impétrants- provient-il de ce qu'il redoute sa réussite professionnelle, se satisfaisant -quoiqu'il en dise- de son épuisement.. si bien que paradoxalement, le fait même qu'il soit décideur.. la fera renoncer à postuler, une sorte de ''piston'' à rebours !! Dont on ne parle jamais.
(10) Il l'accuse d'avoir révélé un fait particulier à leur enfant ''pour semer la merde'' (alors que c'est lui qui l'a révélé!!) et persistera malgré ses dénégations indignées. Bavardant en sa présence avec une membre de sa famille (parfaitement francophone) il glisse une phrase dans une langue qu'elle ne parle pas, qui la fait rire (?) et immédiatement après, nie l'avoir fait.. Et de même, lorsqu'une autre de ses parentes, qui n'aime pas sa victime (peut être par sa faute à lui) emploie elle aussi intentionnellement cette langue pour l'exclure d'une conversation, puis nie également l'avoir fait -les attitudes de ce genre semblent parfois inculquées familialement- il la soutiendra contre vents et marées sachant pertinemment qu'elle ment.. et taxera et laissera taxer sa compagne de paranoïa. Le soir (elle est partie en larmes) lorsqu'il rentrera, il fera comme si de rien n'était... Qu'as-tu? Je ne comprends pas? Quoi? Encore cette affaire? Ce n'est pas fini? Mais ce n'est pas grave, voyons, tu ne vas pas faire des histoires pour un enfantillage, tu es au dessus de ça.. ON est au dessus de ça. Elle voulait juste parler de sa fille qui ne parvient pas à avoir un enfant, c'est tout (!!)... preuve s'il en était qu'en effet cela avait été intentionnellement dit dans une langue qu'elle ne comprenait pas et que, malgré ses dénégations appuyant celles de l'impolie deux heures auparavant, il ne l'ignorait pas... et que par conséquent il mentait comme elle, avec en prime l'accusation de mensonge et de paranoïa.. Là, survient le déni. "Mais je n'ai jamais dit cela, JAMAIS! je voulais juste te dire qu'il n'y avait rien contre toi, tu fais toujours un flan pour tout.. Menteuse? Mais je n'ai jamais dit que tu l'étais.. Non, absolument pas, tu manipules, tu me fais passer pour un salaud. JE REFUSE. J'ai juste dit que ce n'était pas vrai.. "Pas vrai" ne veut pas dire ''menteuse'', c'est une question d'interprétation, tu transformes tout. Pas vrai ça veut dire que tu t'es trompée. Sur la langue? mais non, ô et puis tu me fatigues, je voulais juste dire que ce n'était pas contre toi, c'est l'essentiel, tu as mal compris comme d'habitude. Vrai.. oui -la langue?- écoute je ne me souviens même plus très bien, tu finis par m'assommer, m'embrouiller, (!) mais bon je te crois.. mais pas comme tu l'avais pensé, tu es très para.. susceptible parfois parce que tu détestes J., c'est tout. Vrai, la langue? Mais je me tue à te répéter qu'il ne s'agissait pas de la langue mais de ce qui était dit. (!) Une langue n'existe et ne sert que par ce qu'elle dit, non? Vrai la langue? mais ON S'EN FOUT DE LA LANGUE.. Quelle histoire ! tout le monde sait bien qu'elle est menteuse d'ailleurs, tu as raison, mais justement, ce n'était pas la peine de le souligner.. NON je n'ai pas dit que c'était toi qui l'étais, je te répète et répèterai autant de fois qu'il faudra pour que ça rentre bien, c'est TOI qui as mal interprété. Il faut un peu de distance devant des gens comme elle, tu sais bien qu'elle va mal.." etc.. L'épuisement qui survient après un tel discours, mis bout à bout sur des années, finit par obérer les perceptions elles mêmes. Peu de temps après, il certifiera qu'il n'y a jamais eu de passage dans une autre langue, elle s'est trompée.. ou a menti pour l'accabler, il veut bien croire le premier mais bon, le doute est là etc.. Vertiges. La victime est comme un poussah ou un putching ball envoyé d'un angle à un autre jusqu'à ce qu'elle perde la tête.
ILLUSTRATION EN IMAGES
ou l'art d'attraper le Sida''
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/03/blog-post_5547.html
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/03/blog-post_16.html
Invitation au suicide, le Feed back
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/03/blog-post_21.html
L'image du puits
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/03/vous-etes-dans-un-puits.html
___________
Article de Muriel Salmona ''la dissociation traumatique'' (un phare)
http://stopaudeni.com/dissociation-traumatique
http://stopaudeni.com/dissociation-traumatique
LES DOSSIERS LARRIVÉ
Les femmes et la psychiatrie, les encombrantes
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/01/la-psychiatrie-cest-fou-le-dossier.html
Femmes à la casse, celles dont on a tiré tout le jus, enfin presque
L'escroquerie maritale ''tu t'en vas, tu n'auras plus un kopeck, tu es une ratée et crèveras dans la misère... avec Colette, jamais de dispute et chez elle tout est nickel -mais quel ennui!- (Tu n'as qu'un mot à dire et j'arrête tout.)''
Les pervers dits narcissiques du point de vue de Marx
Des femmes embarquées, lettre-type de ''démission''
Othello et Juliette, autopsie d'un meurtre (pièce de théâtre)
Le ''cacantat'', Kristina Rady, un suicide peut cacher un meurtre, le harcèlement qui tue:
http://femmesavenir.blogspot.fr/2013/09/laffaire-kristina-rady-le-dossier.html
http://femmesavenir.blogspot.com/2014/02/les-dossiers-violences-psychologiques.html cet article
http://femmesavenir.blogspot.com/2014/02/les-dossiers-violences-psychologiques.html cet article
Le cas Schembri, un bourreau à visage d'inspecteur primaire.. et une fille qui le soutient
Le syndrome de Stockholm, le violeur et ses kapos, un tueur peut être une victime rescapée
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire