Extrait de: http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/02/dix-ans-de-prison-pour-schembri-qui.html
LES COUPLES BOURREAU-VICTIME, PROFIL
Dans les couples où sévit la violence ou le
crime, le bourreau est souvent issu d'un milieu plus favorisé (ou moins défavorisé) que la
victime et/ ou a sur elle un ascendant social particulier (éducation ;
instruction ; âge -supérieur- ; milieu familial -solide, soudé, nombreux* ; domiciliation -proche des siens et éloigné de la famille de
la femme-; travail ; nationalité etc..) Nadia par exemple s'est laissé
séduire voire éblouir par un homme qui avait ''fait des études'' (en
fait minimes) et posait à l'intellectuel omniscient ; Suzanne, idem..
Dans le premier couple, le mari était prof dans un collège technique de
niveau médiocre et l'épouse, femme de chambre dans un complexe hôtelier
fort éloigné de leur domicile ; dans le second, l'homme était ministre
et Suzanne, dont l'histoire ressemble tragiquement à celle de Colette -violence
gravissime, poumon perforé, lourdes séquelles de trauma crânien etc..-
secrétaire médicale puis femme au foyer. (Voir le livre qui la relate :
''Le petit garçon qui courait derrière un taxi'', Suzanne Rousseau, HBL
éditions.)
Dans le cas de Suzanne, le couple vivait dans le pays du mari (en Afrique) et petit à petit, elle avait perdu tout contact avec les siens (en France.) Nadia, fille unique avait sur investi sa belle famille (sa belle mère puis son beau père étant soi disant de santé précaire) au point d'avoir un peu négligé sa mère, une femme forte qui ne réclamait rien.. et qui ensuite, refusa plus ou moins de témoigner en sa faveur (''il ne faut pas mêler des étrangers à ''ça'' pour l'honneur de la famille.. et pour les petits enfants''.. ce qui pesa lourdement dans le procès.) Note : dans les deux cas la femme est particulièrement jolie, limite ''star'' et également courageuse, bosseuse et, bien que peu instruite, brillante et charismatique (!) ce que l'homme n'est pas du tout.
ET LA SUITE, 10, 20, 30, 40 ANS APRÈS
Dans le cas de Suzanne, le couple vivait dans le pays du mari (en Afrique) et petit à petit, elle avait perdu tout contact avec les siens (en France.) Nadia, fille unique avait sur investi sa belle famille (sa belle mère puis son beau père étant soi disant de santé précaire) au point d'avoir un peu négligé sa mère, une femme forte qui ne réclamait rien.. et qui ensuite, refusa plus ou moins de témoigner en sa faveur (''il ne faut pas mêler des étrangers à ''ça'' pour l'honneur de la famille.. et pour les petits enfants''.. ce qui pesa lourdement dans le procès.) Note : dans les deux cas la femme est particulièrement jolie, limite ''star'' et également courageuse, bosseuse et, bien que peu instruite, brillante et charismatique (!) ce que l'homme n'est pas du tout.
ET LA SUITE, 10, 20, 30, 40 ANS APRÈS
Épilogue : Nadia s'en est tirée mais avec de lourdes séquelles physiques
(son bras démis la fait encore souffrir) et économiques (elle n'a
obtenu qu'une maigre indemnité qui NE LUI A JAMAIS ÉTÉ VERSÉE
INTÉGRALEMENT, SON EX MARI, DEVENU UN HOMME POLITIQUE SECONDAIRE, AYANT
ORGANISÉ SON INSOLVABILITÉ) ;
Suzanne s'est remariée avec un homme un peu plus âgé, aimant, mais qui lui a plus ou moins imposé d'abandonner ses trois enfants, qu'elle n'a retrouvé qu'à 18 ans pour l'aînée. Deux d'entre eux, également maltraités (martyrisés serait plus exact, attachés, fouettés jusqu'à s'évanouir, parfois la tête en bas..) ont des séquelles lourdes, psychologiques et physiques (cicatrices diverses et balafres indélébiles, une de ses filles par exemple ne peut se mettre en maillot de bain). L'autre par contre, un peu épargnée, a conservé des contacts avec son père (selon la tradition, elle a même donné son nom à son fils aîné !) qui vit fort à l'aise, à la retraite, dans le Midi.
Il a agi de même avec les autres femmes qu'il a épousées par la suite, au moins quatre, (Suzanne a pu en localiser deux) sans jamais avoir été inquiété et est père d'une nombreuse fratrie. Le livre de Suzanne où malgré les pseudonymes, il est parfaitement reconnaissable n'a fait l'objet d'aucun procès.
Suzanne vit très entourée (comme Nadia, c'est un personnage haut en couleur, drôle et généreuse, très charismatique) dans une triste zone pavillonnaire de banlieue mal située, d'une petite retraite et de celle de son mari ; son ex, à Palavas dans un complexe luxueux en bord de mer ; Nadia, elle, (image) surnage bravement, dans une maison qui menace ruine -littéralement!-, son ex lui devant toujours la moitié de l'indemnité à laquelle il a été condamné (50000 E)... il y a 10 ans!! Il l'en a cyniquement prévenue : "tu n'auras jamais rien, je sais me démerder, la politique ça apprend des choses et j'ai le bras long". http://netsociologie.blogspot.fr/2012/08/le-journal-dun-salaud.html
(Mais en public, dans un autre style, il lui a dit que l’argent ne faisait pas le bonheur -je suis si malheureux-.)
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* Le rôle des familles respectives du couple bourreau - victime, jamais envisagé, est souvent déterminant. Schembri, malgré les actes de torture réitérés -forcément connus- envers Colette, est soutenu jusqu'au procès ! par sa tribu qui prétend n'avoir rien su.. et qui dans le passé est allé à plusieurs reprises jusqu'à faire pression sur elle pour qu'elle revienne au ''foyer'' lorsqu'elle s'était enfuie à Paris.
Nadia est fille de mineur comme son mari mais celui-ci fait partie d'un clan ambitieux qui l'a surinvesti (il a un BTS), qui le soutient et exige de lui des résultats, tandis qu'elle s'est vue interdire d'étudier et orienter vers un simple CAP d'employée de collectivité.
Quant à Suzanne, elle est issue d'une nombreuse fratrie orpheline de père que la mère, aimante mais dépassée, a dû à un moment confier à des religieuses... qui lui ont surtout appris le chant, ayant repéré son allure et sa très belle voix.. le chant dont elle voulut faire sa profession jusqu'au moment où elle rencontra son mari, à 17 ans, -il en avait 27- et se trouva immédiatement enceinte (deux autres suivirent peu après -catholique fervente, elle refusait toute contraception-). Lui est issu d'une famille bourgeoise africaine qui l'a lui aussi surinvesti.. mais exigeait de lui une parfaite conformité aux dictats : la première grossesse de Suzanne fut pour lui un drame absolu et l'occasion d'un déchaînement de violence inouï. (Il prétendit la faire avorter en lui ouvrant le ventre après l'avoir droguée pour qu'elle ne souffre pas!)
Dans les deux cas, la famille de la victime, soit refuse de prendre clairement position (on lave son linge sale en famille) soit n'est réellement pas mise au courant (Suzanne n'a rien dit à sa mère et à ses soeurs, ne voulant pas leur occasionner davantage de soucis, allant jusqu'à refuser de les voir lorsqu'elle était trop marquée.. si bien qu'elles ont cru à un certain rejet de la part de celle qui ''aurait mieux réussi'' que les autres.) La mère de Nadia, aimante mais elle aussi sous la coupe de son gendre qui l'épatait (un intellectuel plein d'avenir!) mise au courant a minima, se contenta d'aider financièrement le couple.. sans s'opposer ouvertement au cogneur (mais elle ne savait pas tout.. ou ne voulait pas en savoir trop.)
Les familles respectives bourreau-victime semblent à l'origine d'une relation dysfonctionante.
.
L'article "familles de victimes et familles de doleur, le parachute.
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/02/blog-post_27.html
.
LE DOSSIER violence psychologique.
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/02/les-dossiers-violences-psychologiques.html
.
Ou PERVERS DITS NARCISSIQUE..
Suzanne s'est remariée avec un homme un peu plus âgé, aimant, mais qui lui a plus ou moins imposé d'abandonner ses trois enfants, qu'elle n'a retrouvé qu'à 18 ans pour l'aînée. Deux d'entre eux, également maltraités (martyrisés serait plus exact, attachés, fouettés jusqu'à s'évanouir, parfois la tête en bas..) ont des séquelles lourdes, psychologiques et physiques (cicatrices diverses et balafres indélébiles, une de ses filles par exemple ne peut se mettre en maillot de bain). L'autre par contre, un peu épargnée, a conservé des contacts avec son père (selon la tradition, elle a même donné son nom à son fils aîné !) qui vit fort à l'aise, à la retraite, dans le Midi.
Il a agi de même avec les autres femmes qu'il a épousées par la suite, au moins quatre, (Suzanne a pu en localiser deux) sans jamais avoir été inquiété et est père d'une nombreuse fratrie. Le livre de Suzanne où malgré les pseudonymes, il est parfaitement reconnaissable n'a fait l'objet d'aucun procès.
Suzanne vit très entourée (comme Nadia, c'est un personnage haut en couleur, drôle et généreuse, très charismatique) dans une triste zone pavillonnaire de banlieue mal située, d'une petite retraite et de celle de son mari ; son ex, à Palavas dans un complexe luxueux en bord de mer ; Nadia, elle, (image) surnage bravement, dans une maison qui menace ruine -littéralement!-, son ex lui devant toujours la moitié de l'indemnité à laquelle il a été condamné (50000 E)... il y a 10 ans!! Il l'en a cyniquement prévenue : "tu n'auras jamais rien, je sais me démerder, la politique ça apprend des choses et j'ai le bras long". http://netsociologie.blogspot.fr/2012/08/le-journal-dun-salaud.html
(Mais en public, dans un autre style, il lui a dit que l’argent ne faisait pas le bonheur -je suis si malheureux-.)
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* Le rôle des familles respectives du couple bourreau - victime, jamais envisagé, est souvent déterminant. Schembri, malgré les actes de torture réitérés -forcément connus- envers Colette, est soutenu jusqu'au procès ! par sa tribu qui prétend n'avoir rien su.. et qui dans le passé est allé à plusieurs reprises jusqu'à faire pression sur elle pour qu'elle revienne au ''foyer'' lorsqu'elle s'était enfuie à Paris.
Nadia est fille de mineur comme son mari mais celui-ci fait partie d'un clan ambitieux qui l'a surinvesti (il a un BTS), qui le soutient et exige de lui des résultats, tandis qu'elle s'est vue interdire d'étudier et orienter vers un simple CAP d'employée de collectivité.
Quant à Suzanne, elle est issue d'une nombreuse fratrie orpheline de père que la mère, aimante mais dépassée, a dû à un moment confier à des religieuses... qui lui ont surtout appris le chant, ayant repéré son allure et sa très belle voix.. le chant dont elle voulut faire sa profession jusqu'au moment où elle rencontra son mari, à 17 ans, -il en avait 27- et se trouva immédiatement enceinte (deux autres suivirent peu après -catholique fervente, elle refusait toute contraception-). Lui est issu d'une famille bourgeoise africaine qui l'a lui aussi surinvesti.. mais exigeait de lui une parfaite conformité aux dictats : la première grossesse de Suzanne fut pour lui un drame absolu et l'occasion d'un déchaînement de violence inouï. (Il prétendit la faire avorter en lui ouvrant le ventre après l'avoir droguée pour qu'elle ne souffre pas!)
Dans les deux cas, la famille de la victime, soit refuse de prendre clairement position (on lave son linge sale en famille) soit n'est réellement pas mise au courant (Suzanne n'a rien dit à sa mère et à ses soeurs, ne voulant pas leur occasionner davantage de soucis, allant jusqu'à refuser de les voir lorsqu'elle était trop marquée.. si bien qu'elles ont cru à un certain rejet de la part de celle qui ''aurait mieux réussi'' que les autres.) La mère de Nadia, aimante mais elle aussi sous la coupe de son gendre qui l'épatait (un intellectuel plein d'avenir!) mise au courant a minima, se contenta d'aider financièrement le couple.. sans s'opposer ouvertement au cogneur (mais elle ne savait pas tout.. ou ne voulait pas en savoir trop.)
Les familles respectives bourreau-victime semblent à l'origine d'une relation dysfonctionante.
.
L'article "familles de victimes et familles de doleur, le parachute.
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/02/blog-post_27.html
.
LE DOSSIER violence psychologique.
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/02/les-dossiers-violences-psychologiques.html
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Ou PERVERS DITS NARCISSIQUE..
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