mardi 31 juillet 2012

Se promener dans la rue à Bruxelles !


Deux icônes de mes blogs !!

Les blogs les plus "successfull", Rroms, Aliaa et.. Minos ! (DSK est loin derrière !) Two stars, Minos and Aliaa. DSK is far behind !

Minos, star du web comme Aliaa !



Du plus au moins. From less to high. It gives an significant image from the manner whose people see the news and react. Cela donne une image intéressante de l'actu et la manière dont le public y réagit..


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Les blogs les plus "succesfull" avec liens (en tenant compte de leur date de création).. The more sucessfull blog.. taking into account their creation date


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Régional : les articles les plus successfull: le record absolu est sans conteste détenu par Minos (lien)! The more successful article : the record (regional) absolute is Minos !
... suivi par followed by "les bronzés visitent le château de Montalet"


samedi 28 juillet 2012

La polygamie, le dessous des cartes..


Publié par
lydiana

Le dessous des cartes. Sur la polygamie (un de mes derniers articles du "post" avant qu'il ne soit racheté par le Huttington et Anne Sinclair)




La polygamie en Afrique sub saharienne -c'est là qu'elle est le plus répandue- est  source de drames infinis qui empoisonnent la vie de toutes les familles ... et de toute la société : rivalités de clans, de lignées, de fratries -plus que de femmes-, pseudo esclavage (comment appeler autrement le "mariage" d'adolescentes moyennant rétribution -à leur famille-, avec des hommes parfois de l'âge de leur père.. c'est à dire pédophiles ?) Les mutilations sexuelles vont souvent de pair -l'excision- : il faut éviter que les jeunes épouses privées du plaisir qu'un homme âgé déjà largement pourvu et parfois rebutant ne peut leur procurer... n'aillent voir ailleurs un plus jeune*...

S'y associent aussi grossesses précoces, forcées et trop nombreuses**, la promiscuité et un mélange générationnel souvent délétère -les enfants aînés étant parfois plus âgés que les dernières épouses qu'ils côtoient quotidiennement-... ainsi que la frustration sexuelle -un homme qui accapare dix femmes, c'est neuf célibataires en manque d'épouse-... D'autre part, cela crée à tous coups de précoces orphelins que bien souvent leur mère élèvera seule, parfois sous la coupe de l'aîné de ses beaux-fils ou d'un oncle -qu'elle sera dans certains cas contrainte d'épouser-. Imaginez tout cela sous le même toit! Ce sont des familles entières, c'est à dire en le cas des centaines de membres qui, sur des générations, en seront, en sont définitivement affectés.

La femme y est réduite à un objet, de prestige, d'utilité, remplaçable lorsqu'elle ne peut produire ou ne plaît plus -ou lorsqu'une nouvelle alliance s'avère profitable- ...  voire éjectable avec ou sans ses enfants... avec la complicité (ou l'initiation) du clan marital... voire de "consoeurs" de misère qui cependant seront elles aussi remplacées à plus ou moins brève échéance si nécessaire ou par caprice du mari... Les enfants de -ou des- épouses délaissées se trouveront parfois rejetés avec leur mère - ou maintenus au sérail mais dans une position d'infériorité qui confine à l'esclavage vis à vis de leurs demi frères et soeurs-.. voire dans le pire des cas, coupés de leur propre mère à jamais ou même recrutés contre elle... et ainsi de suite bien souvent à la venue d'une nouvelle épouse.

La polygamie n'est pas une question sexuelle ni religieuse mais une question de pouvoir. De ces innombrables drames, on parle peu, y compris dans les médias européens, de peur d'être taxé de racisme. 



L'histoire de Mariam, vivant dans un bidonville et mère d'un hiérarque


Une rescapée de ces familles, Suzanne Rousseau, dans "Le petit garçon qui courait derrière un taxi" (HBL éditions) raconte son périple : ses enfants lui furent enlevés, qu'elle ne retrouva qu'adultes, durablement éprouvés malgré un statut social -celui de leur père, ministre- hyper favorisé. Aucun des trois ne s'est remis de ce qu'ils avaient vécu et notamment de l'arrachement à leur mère qu'ils ne revirent jamais. Son fils reste le plus atteint.

N'édulcorons pas, ne sourions pas comme s'il s'agissait d'une simple galéjade sexuelle, et ne comparons pas ce qui n'est pas comparable, ce système parfaitement codifié qui broie tous ceux qui le subissent, aux infidélités de vaudeville que nous connaissons. La polygamie, ça n'a rien à voir : c'est un système totalitaire où le clan prime sur l'être, où tous se trouvent objet de tous et dans lequel les plus fragiles -les femmes, les pauvres et les enfants-  paient le prix fort : dans l'angoisse, opposés et rivaux, ils doivent  subir et mener au sein même d'un groupe en principe protecteur une lutte impitoyable faite de cabales, d'intrigues et de retournements, pour la position, la survie...  qui dévore l'amour. 

Même l'enfant  -le fils surtout- n'est souvent pour les épouses qu'un moyen de renforcer un statut précaire ou de poser ses marques pour l'avenir : les garçons le vivent fort mal, développant alors une névrose spécifique faite d'amour-haine pour leur mère sur fond de misogynie et de compassion, qui plus tard, même s'ils ont quitté le groupe, obèrera leurs relations amoureuses... Cruellement éprouvés dès l'enfance, ces hommes ne parviendront que très difficilement à la confiance en l'autre nécessaire à toute relation amoureuse. Ces "aberrations" transgénérationnelles -où on voit par exemple un garçon dont l'écart d'âge avec sa mère est quatre fois moindre que celui qui la sépare de son père !- sont souvent génératrices de troubles psychiques qui pèseront ultérieurement. HL

* Une variante cocasse et contemporaine, bien que l'Afrique ait toujours été demandeuse de puissants  aphrodisiaques qui existaient dans la nature, mais de faible effet et sans danger -comme la noix de cola-, c'est le viagra surconsommé par ces maris "multiples" épuisés... qui parfois abrège malencontreusement leur existence.

** Des familles de 20-24 enfants ou plus sont quasiment la norme... ce qui fait couramment au foyer une trentaine de personnes ou davantage car l'Afrique étant en principe accueillante familialement, il n'est pas rare d'y retrouver également des oncles, tantes ou belles-soeurs, célibataires -ou  dans ce second cas, veuves- eux-mêmes chargés d'enfants etc...

Mais a contrario -cela est moins connu car c'est la version "cour" du système-  il n'est pas rare aussi de "découvrir" après coup une ex épouse âgée répudiée autrefois dont le souvenir fut frappé d'omerta -et qui parfois a été contrainte de se prostituer pour survivre-.. vivant seule dans la misère la plus totale,  -"bidonville" ou émigrée à l'étranger- ... et ceci même si ses enfants demeurent dans le clan à un rang convenable. Rejetées également par leur propre famille pour laquelle elles ont "failli" -surtout lorsqu'il s'agit d'une alliance prestigieuse contractée pour les promouvoir- objet de honte et symbole de leur échec, les risques qu'elles courent en tentant d'y retourner sont si réels qu'elles "préfèrent" si l'on peut dire ! une totale marginalisation -délinquance, prostitution ou misère- à un périlleux essai de réinsertion.

Suzanne Rousseau raconte ainsi sa rencontre poignante avec une vieille femme qui vivait misérablement dans une hutte à la périphérie d'un village isolé, de charité, de menus services et de quelques poules, plus un petit jardin... dont le fils -qu'elle aussi n'avait jamais revu- étudiant en France puis hiérarque, ignorait tout de l'existence -affirma-t-il- ou plus vraisemblablement ne s'en était jamais soucié. Il s'agissait de la première épouse du beau-père de Suzanne, sa "belle-mère" donc -redite, dont le fils, le mari de Suzanne, occupait pourtant un poste ultra prestigieux, ministre-... Elle semblait n'éprouver aucune rancune et refusait  farouchement toute "publicité" pour son cas...  même si la séparation d'avec son fils -dont elle se disait en aparté très fière- l'avait peinée au delà de toute expression. Suzanne voulut l'accueillir au foyer et parvint à en convaincre son mari : un échec prévisible. Elle s'occupa avec plaisir de ses petits enfants, mais sans instruction, vouée à une existence de quasi esclave, admonestée à la moindre erreur par les autres épouses -veuves comme elle du même mari mais plus jeunes et de meilleure "lignée" familiale-... peu soucieuses de partager la maigre pitance qui leur était échue avec une autre, la malheureuse préféra s'en retourner dans sa hutte, au grand soulagement de tous.] Ça, c'est la version cour.

Excision et polygamie



Un article censuré sur "le post" que j'avais pris la précaution de sauvegarder. 
 
"La polygamie en Afrique sub saharienne que je connais bien -c'est en effet là qu'elle est le plus répandue- est une plaie... à la source des drames infinis. Rivalités de clans, de lignées, de fratries -plus que de femmes-, esclavage ou pseudo esclavage -comment appeler autrement le "mariage" fortement "conseillé" (sinon les rétorsions sont infinies jusqu'à l'exclusion du clan voire la mort) à des adolescentes... moyennant rétribution (au papa), avec un homme âgé, c'est à dire un pédophile ?- mutilations sexuelles qui vont souvent de pair avec la polygamie car il faut éviter que les jeunes épouses ne soient trop demandeuses de plaisir, grossesses précoces et forcées, coups, promiscuité et surpopulation... associées à une confusion transgénérationnelle funeste -les enfants aînés étant parfois plus âgés que les dernières épouses de leur père qu'ils côtoient quotidiennement-, frustration sexuelle -si un homme accapare dix femmes, cela fera neuf célibataires en manque d'épouse- etc..  Déjà en Afrique, c'est l'horreur (mais chaque épouse a sa case).. MAIS...

.. imaginez tout cela sous le même toit dans une HLM de banlieue ! Les problèmes déjà existant [jalousies, complot et assassinats -souvent infanticides ou "épousicides", rarement punis-, ce sont des familles entières, c'est à dire en le cas deux à trois cents personnes, qui sur des générations et des générations en seront, en sont affectées] explosent dans un lieu clos et réduit. 

Dans de telles configurations, la femme est réduite à rien, remplaçable, battable voire tuable lorsqu'elle ne peut produire ou dans le meilleur des cas éjectable à coup de pied sans pécule et sans ses enfants... avec en Afrique la complicité (ou l'initiation) parfois de sa belle-mère ou belle famille voire de ses consoeurs de misère qui pensent ainsi s'attirer un statut moins cruel. A tort car elles aussi seront peut-être remplacées... 

Sans leur mère, les enfants de ou des épouses répudiées seront parfois voués à un pseudo esclavage -vis à vis de leurs frères et sœurs mieux lotis- ou au mieux, à un statut de bâtards... et cela pourra changer à la venue d'une nouvelle épouse ! Ambiance. Henry VIII version Afrique en somme. [Ou s'ils ont été éjectés avec leur mère, ils peupleront comme elle les bidonvilles des mégapoles et celle-ci, jamais ou rarement recueillie par sa propre famille, -qui l'a vendue- sera souvent réduite à la prostitution.] Dans le village, il arrive de même que l'une ou l'autre -ou un enfant- soient retrouvés morts noyés au marigot ou opportunément emporté par un croco, personne ne s'émeut trop, un accident, ou un suicide, cela arrive, voir le reportage de Jean Marie Gallo, qui l'a vécu ou Suzanne Rousseau, "Le petit garçon qui courait derrière un taxi" (bouleversant) elle aussi  rescapée d'une de ces "familles" (lien)

jeudi 26 juillet 2012

Hallucination ? My God !

(lien)



Note : le sexe des messieurs est discrètement flouté par le site (pub de voyages). The sexes of the gentlemen is blurred by the site (advertising travel).


And this one, Simone is squarely the chief, no more! My god!
Et celui-là, Simone, en plus, c'est le chef !!!

Arrêtez moi si je me trompe mais... ils sont tous nus, ces jeunes gens égyptiens, au 15 ième siècle avant JC ? Non ? Et ma foi, on ne peut pas les rater ! . Les mœurs évoluent ? Mmm ? Vous croyez? Dans quel sens ?

Stop me if I'm wrong but ... aren't they all naked, these hansome young egyptian people, in the 15th century before JC ? Not ? And my faith, you can't miss them, even before internet.. Custom "moral" evolve? You think so? In what sense?

Aliaa Elmahdy condamnée à 80 coups de fouets !!!

Aliaa sentenced to WHAT (link) ? !!


 


I can't believe.. 80 lashes !?!?! NO ! I can't believe it, 80 lashes! If they confirm this monstrous barbarity, it will show that the religious authorities in Egypt and their religion (of any kind) are a bunch of mentally twisted that the whole world should get rid of extreme urgency
 
Who'swho pictures of war criminals for "religion". Guess, without order, it's a game, a test !
 
Henry VIII, Louis XIV, Mary Tudor, Ferdinand and Isabella, Mary Stuart, Torquemada, Cortès  and so on .. Sorry, most of them are europeans as I am, I don't know the others but I can learn..

 Le who's who de quelques criminels pour la "religion", sans ordre, c'est un test. Devinez. Désolée la plupart sont européens comme moi et je connais plus mal les autres... A chacun d'y rajouter les "siens". 

mercredi 25 juillet 2012

Michèle Ribot, ex femme d'ex maire..

    
"Ce qu'il y a pire" dit-elle..  Je n'aurais pas cru, étant plutôt de l'autre côté de la   barrière,  mais soit..

lundi 23 juillet 2012

Sofia Gatica

 
Une femme d'exception. Cette mère de famille au foyer toute simple dont la fille était morte en raison de la pollution s'est battue des années contre les propriétaires terriens épandeurs de poisons et Monsanto,, s'est vue menacée, elle et ses enfants, honnie (au départ même par les villageois qu'elle défendait qui subissaient des pressions et redoutaient la ruine immobilière lorsque son action commença à être connue) a tenu bon et a finalement gagné. Elle a obtenu le prix Goldman, le Nobel de l'environnement, mais demeure menacée.

 "Dans cette maison, cancer des intestins. Dans celle-ci, des tumeurs au cerveau. Là, un cas de leucémie. À côté, encore un cancer….. Et là, de nouveau leucémie..." La litanie de Sofia Gatica fait froid dans le dos. Agée de 42 ans, elle habite à Ituzaingo Anexo, une banlieue de la ville de Cordoba, à 700 km au nord-ouest de Buenos Aires (Argentine). Sur 5 000 habitants, plus de 200 cas de cancers ont été recensés, 1/45.

C'est quand elle s'est rendu compte que nombre de ses voisins portaient un foulard sur la tête ou un masque sur le visage que Sofia a commencé à enquêter. Elle a découvert alors l'insoutenable envers du décor, avec sa cohorte de tumeurs, de malformations de foetus, de problèmes hormonaux ou respiratoires, ou de maladies spécifiques, comme le lupus ou le purpura. Sa propre fille est née avec une malformation aux intestins et en est morte deux mois plus tard. 

En 2002 se crée l'association Mères d'Ituzaingo Anexo. En 2006, la direction de l'environnement de la ville de Cordoba analyse le sang de trente enfants : tous ont des traces de pesticides, 23 au-dessus des normes autorisées. Ici, une rue seulement sépare les premières habitations des champs de soja, et l'épandage de pesticides se fait par avion. 

Au bout de 10 ans, un procureur donne raison aux Mères d'Ituzaingo. De nouvelles analyses de sang confirment la présence d'endosulfan et de glyphosate, élément qui constitue le principe actif du Roundup, l'herbicide total conçu par l'entreprise américaine Monsanto. En décembre dernier, le procureur a mis en examen des producteurs de soja, le propriétaire de l'avion et le pilote, et a interdit l'épandage par avion à moins de 1 500 m des habitations. (C'est peu..)

Prostitution, le dilemme


Abolir le délit de racolage revient en effet à plus ou moins accepter la prostitution. C'est à dire reconnaître à un homme (ou un client de quelque sexe qu'il soit) le droit d'exiger des rapports sexuels sous contrainte de l'argent. Dans un premier temps cela soulagerait les prostituées du harcèlement policier et fiscal certes, mais dans un second temps, cela reviendrait à admettre officiellement que leur corps (donc celui de toute femme ou homme soit objet de marché... Quid fecit cui prodest? (A qui profite l'acte?) Facile : ce sont les macs qui vont en premier être soulagés, leurs affaires iront mieux.

dimanche 22 juillet 2012

Les nouveaux slogans.. "Osez le féminisme" après "Touche pas à mon pote".. Gênant !





De l'évolution des engagements actuels, si justes soient-ils, à travers quelques slogans maladroits qui jouent à contre sens : individualisme ("Touche pas à mon pote"), personnification ("Osez le féminisme) calqué sur le modèle publicitaire (et semblant s'adresser à qui ne songe qu'à son ego), inversion des concepts reliée à l'idéologie.. par celles-là mêmes qui la bravent avec un immense courage (une prostituée est précisément soumise aux mecs et à son mac et ce sont celles qui refusent de plier -non prostituées- les insoumises !) Il est déconcertant et révélateur que ces slogans s'appuient (ou semblent) sur des notions trad anti libertaires (individualisme, copinage restreint, ego, glamour et idéologie machiste) allant à l'encontre de leurs engagements réels.

Nancy, tu déconnes !

(Lien)

Nancy Houston, 59 ans et sans doute un petit travail esthétique à la clef (voire chirurgical), parfait. Si j'écris cela, c'est parce qu'elle analyse le féminisme comme ayant perdu la bataille en raison de la trop grande importance accordée par les femmes elles-mêmes à leur aspect extérieur pour complaire aux hommes, rien que ça. Publicité, cosmétiques etc.. Plus qu'auparavant assure-t-elle droit dans ses escarpins de chez Fauchon. (Une erreur monumentale, les dames de la renaissance, du 17, 18ième etc.. passaient une immense partie de leur temps -même les intellos- à se faire fabriquer des perruques importables -maux de têtes et cervicaux-, des corsets-lacés torture -impossibilité de respirer et de marcher- à en mourir, voir l'exemple de l'incendie du Bazar de la charité où la plupart moururent brûlées vives, leur robes dont elles ne pouvaient se libérer sans l'aide d'une chambrière ayant pris le feu sur elles- ou se gavaient de drogues dangereuses pour rester belles et jeunes, voir Diane de Poitiers dont on a retrouvé dans le corps d'énormes quantités d'or, elle en est sans doute morte, ou de belladone -un poison- pour dilater la pupille quitte à ne plus y voir etc..) 
 
Un bon moyen de se faire du blé : après avoir été nonne intégriste et avoir un peu fait parler de vous, devenez top model nu ou l'inverse c'est pareil et à tous les coups vous gagnerez, on parlera de vous : la preuve.

samedi 21 juillet 2012

Sex ratio selon les pays, un exemple significatif de féminicides



32 MILLIONS DE CHINOISES MANQUANTES !
 
Si en  Amérique du Nord et en Europe le sex ratio (rapport des populations mâles et femelles) est d'environ 1,05, en Inde, en Chine et en Asie en général, il est de 1,07. Dans certaines régions rurales en Inde, on a environ 400 hommes pour 100 femmes. Ces inquiétantes variations au-delà des 1,10 sont récentes : en 2000, on peut observer des SR de 1,20 en Chine (jusqu’à 1,32 au Henan, au sud de Pékin) de 1,13 en Corée du Sud et de 1,26 au Penjab. Les causes sont l’avortement sélectif, l’infanticide sélectif et la négligence infantile également sélective.

Vite fait, en Afghnistan, l'horreur


Sahar Gul, 15 ans (après une semaine de soins, les premières images n'étant pas publiables) vendue par son frère et torturée par sa belle-famille.. (Ongles arrachés, doigt coupé etc..)

Comme tant d'autres (voir lien). Des petites filles empoisonnées à l'école, des enfants mariées à 10 ans, des femmes mutilées (nez et oreilles coupées)...  

dimanche 15 juillet 2012

Devenir une image, become a picture, not easy..

Marylin, Michèle Ribot (lien vidéo), Aliaa Elmadhy (lien avec "dévoilées pour soutenir Aliaa")..

Que ce soit peu ou prou ; volontaire, professionnel ou accidentel ; militant voire héroïque etc.. rien n'est tout à fait pareil après et il n'y a pas moyen de retourner en arrière. Il faut le savoir. Le coiffeur, le boucher, le voisin... ne vous regardent plus de la même manière: vous êtes devenu une image. Inquiétante parfois (lien avec le blog "solidaire Aliaa").

Whether more or less voluntary, professional or accidental, activist deed or just for fun, nothing is quite the same after and there is no way to turn back. We must know. Nobody looks at you on the same manner, the hairdresser, the butcher, the neighbour. You are another.