Un article censuré sur "le post" que j'avais pris la précaution de sauvegarder.
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhqhTn2CNf4oXDHct5RgZ2PMDq43rkIpUZhbmbzVAVD7ZOIX4qgyOeLNd_kQsV58qcgJmkj5Lzxcu6kri7oxxO7t81jxQwSacZvlTssyo4T7UZeCTevqU9z5jCgI6CWFuMybMhbABSSJ9fZ/s320/fge.jpg)
.. imaginez tout cela sous le même toit dans une HLM de banlieue !
Les problèmes déjà existant [jalousies, complot et assassinats -souvent infanticides ou
"épousicides", rarement punis-, ce sont des familles entières, c'est
à dire en le cas deux à trois cents personnes, qui sur des générations et des
générations en seront, en sont affectées] explosent dans un lieu clos et réduit.
Dans de telles configurations, la femme est réduite à rien, remplaçable, battable voire tuable lorsqu'elle ne peut produire ou dans le meilleur des cas éjectable à coup de pied sans pécule et sans ses enfants... avec en Afrique la complicité (ou l'initiation) parfois de sa belle-mère ou belle famille voire de ses consoeurs de misère qui pensent ainsi s'attirer un statut moins cruel. A tort car elles aussi seront peut-être remplacées...
Dans de telles configurations, la femme est réduite à rien, remplaçable, battable voire tuable lorsqu'elle ne peut produire ou dans le meilleur des cas éjectable à coup de pied sans pécule et sans ses enfants... avec en Afrique la complicité (ou l'initiation) parfois de sa belle-mère ou belle famille voire de ses consoeurs de misère qui pensent ainsi s'attirer un statut moins cruel. A tort car elles aussi seront peut-être remplacées...
Sans leur mère, les enfants
de ou des épouses répudiées seront parfois voués à un pseudo esclavage -vis à vis de leurs frères et sœurs mieux lotis- ou au mieux, à un statut de bâtards... et cela
pourra changer à la venue d'une nouvelle épouse ! Ambiance. Henry VIII version Afrique en somme. [Ou s'ils ont été éjectés avec leur mère, ils peupleront comme elle les bidonvilles des mégapoles et celle-ci, jamais ou rarement recueillie par sa propre famille, -qui l'a vendue- sera souvent réduite à la prostitution.] Dans le village, il arrive de même que l'une ou
l'autre -ou un enfant- soient retrouvés morts noyés au marigot ou
opportunément emporté par un croco, personne ne s'émeut trop, un accident, ou un suicide, cela arrive, voir le reportage de Jean Marie Gallo, qui l'a vécu ou Suzanne Rousseau, "Le petit garçon qui courait derrière un taxi" (bouleversant) elle aussi rescapée d'une de ces "familles" (lien)
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