mardi 30 juin 2015

Clip de Kokopeli sur Monsanto, à voir absolument

Les soeurs Papin, bonnes cuisinières


Violence contre les animaux, violences contre les femmes (ou les hommes). Je lis sur le viki à propos du crime des sœurs Papin des employées modèles, des perles, trimant depuis des années chez des bourgeois du Mans (dont le mari était compromis dans un scandale financier) contre leurs deux patronnes ceci, ne riez pas SVP : "on peut noter que les sœurs Papin ont traité leurs victimes comme il était recommandé de le faire dans les manuels de cuisine de 1900 pour préparer des lapins, en les assommant, les saignant, les dépouillant, leur enlevant les yeux, et pratiquant des "ciselures" sur les grosses pièces, avant de tout nettoyer quand tout est terminé. Christine et Léa, dans leur passage à l’acte, ont produit les deux cadavres comme des plats "prêts à cuire", laissant transparaître leur savoir-faire de cuisinières." No coment. Mmmm ? 

dimanche 28 juin 2015

Anti végétarisme, sexisme, obscénités. J'accuse !

Antivégétarisme, antisémitisme et sexisme, le pack. 

Sexisme à visage humain, j'accuse ! 
Soit un pote, bien sous tout rapport, bourge éclairé kondit, bon type cultivé soucieux des autres, catho fervent, Messe le dimanche et ami de l'évêque enfin tout bien.... Conversation au téléphone il y a cinq minutes : 
-La décapitation c'est horrible, je ne me vois pas faire ça.. bon les canards, j'étais obligé quand j'étais gosse mais.. oui, si on veut les manger, il faut bien, et les lapins... etc"..
-Tu n'es pas obligé de manger de la viande, du reste ça te ferait du bien" (coup de pied de l'âne, le premier, il n'est pas maigre et son foie s'essouffle un peu.) 
-Mais tu manges bien des salades, les pauvres salades tout de même, bêbêbê.." 
-Ne fais-tu pas la différence entre un veau et toi? (Idem). Entre une salade et un lapin? Tu me déçois quant à tes facultés intellectuelles qui malgré ton âge (idem) sont encore assez remarquables pensais-je.. du reste lorsque tu manges des graines, ce qui est mon cas essentiellement, tu ne fais que prendre un ovule ou le fruit d'un arbre exemple l'amandier sans y toucher..." 
-Mais le pauvre virus du HIV alors, tu y penses !" 
-Idem, ne vois-tu pas la différence entre ce coquin et une amande?".. 
- Mais pire encore, lorsqu'une dame après une pipe, avale.." 
- Là je te dis bonne après-midi .."
-Mais tu ne vas pas te vexer pour..."
- Oh mais si.. et pas vexer : vexer, c'est quand on ne vous a pas tenu la porte, rompre, c'est quand on vous a agressée."
Malgré ses exhortations navrées: 
-Je pensais pas que tu étais si... enfin... coincée quoique.. d'habitude tu parles librement de ces "chosesé.." 
-JE SUIS JUSTE QUELQU'UNE QUI NE SUPPORTE PAS LES OBSCÉNITÉS QUE JE CONSIDÈRE COMME DES AGRESSIONS SEXUELLES SOFT MAIS DÉGUEULASSES TOUT DE MÊME." 

Clic. Salut Maurice Duveau que j'aimais bien. La prochaine blague de ce type, je mets ton nom véritable, c'est l'Evêque kivapaetrecontent ainsi que le Maire de [...] et le patron de [...] tes meilleurs potes ou relations, parents. Pigé?

vendredi 26 juin 2015

Marina, Dylan, du coté des parents bourreaux



Marina, morte sous les coups ... 

-ses parents tentèrent de faire croire à un enlèvement-



"Il ne pensait pas que ses actes pouvaient le conduire en prison" (!)


(l'avocat du père de Dylan au sujet de son client.)



Sa mère, longanime : "je suis prête à accepter même... un bracelet 

électronique..." (!)




Juste politiquement incorrect

Un peu perverse la dame "Maffre" [la mère du petit Dylan -celui de Saint-Hilaire dans le Gard, mort sans qu'elle ne réagisse sous les coups de son compagnon- pas l'autre Dylan, l'enfant de Millaud qui, lui, a survécu*] : oser en appeler à la "mémoire" de son fils pour réclamer "une peine plus juste" -c'est à dire, dans son esprit, réduite!- il fallait y penser... et une certaine dose de culot ou d'inconscience... tout comme se dire "non responsable des faits mais juste de son silence" [alors que c'est bien ce silence qui a permis les faits] ; une casuistique de jésuite confirmé qui laisse sans voix chez une femme sans instruction à la personnalité -apparente- un peu gommée. Pas mal aussi de se défausser sur son compagnon en se proclamant sous sa coupe... et de se prévaloir d'un "travail qu'elle a fait sur elle-même" -c'est à dire une psychothérapie- pour demander une "juste" réduction de peine.

Il est stupéfiant de voir avec quelle obscène légèreté les parents bourreaux, infantiles, relatant leur crime, le minimisent, se plaignent de ses conséquences -pour eux (!) voire parfois, plus sioux, pour... leurs autres enfants, privés par la justice... de foyer familial !- ou, comme la mère de l'autre Dylan, s'affirment "prêts à assumer, à accepter... même (!) un bracelet électronique"... Même ! comme si c'était le summum de la peine qu'elle pensait mériter ! réflexion ahurissante lorsqu'on sait ce qu'elle a infligé à son enfant... qui montre à l'évidence que, dans sa tête, pour un péché aussi véniel, elle escompte s'en tirer à meilleur prix... -c'est à dire libre.-

* On observe toutefois, ici en la défaveur de la première, une énorme différence dans le quantum des peines attribuées. Celle-ci -dont l'enfant est certes mort- a écopé de plus de 10 ans, tandis que celle-là -dont la victime a survécu, mais non de son fait- est sortie libre du tribunal, ayant déjà accompli six (?) mois de préventive. Autrement dit, si vous êtes jugé à Millaud, vous serez mieux "servi" que si vous tombez à Nîmes. Donc au cas où vous auriez un enfant à massacrer, faites le plutôt dans l'Aveyron, ça coûte moins. Le savent-ils, ces parents ? Non sans doute, mais le fait est qu'ils déménagent beaucoup dès qu'ils se sentent "en danger".

Une parenthèse aussi -pas correct politiquement tant pis- l'impensable incurie des services sociaux : les petites victimes avaient bien été repérées [pour le premier, c'est presque par hasard : sa mère ayant eu un autre enfant, la puéricultrice de PMI venue voir le bébé avait découvert Dylan et s'était inquiétée de son état... sans toutefois pousser la curiosité jusqu'à demander à voir sa "chambre" ou à l'interroger- mais elle avait tout de même rédigé une note... puis était partie en congé de maternité le coeur serein -note qui était bien sûr restée classée dans un tiroir clos, sans doute en attente de son retour, 3-4 mois !-] ... Dans l'autre cas, idem mais les bourreaux avaient brouillé les pistes en déménageant fissa pour la nième fois... Là, il y eut cependant un "suivi" (c'est à dire la transmission par un instit -qui avait eu l'enfant dans sa classe- à son collègue et à la DDASS d'un rapport alarmant à son sujet).. en vain car les services sociaux ne suivirent pas... le "suivi" en quelque sorte (!) ou trop tard.

Dans les deux cas, tous les voyants cependant étaient au rouge, tous les "facteurs" connus de risque clignotaient -enfant non scolarisé à 7 ans ; non suivi médicalement ; famille isolée ; grand-parents absents, passifs, voire, dans le cas de la grand-mère de l'enfant de Millaud, complices ; lignées à l'évidence marquées par la violence ; traces de coups répétés et attestés ; parents en grande détresse ; niveau intellectuel médiocre -l'un des bourreaux se situait à la limite de la débilité mentale- ; chômage, misère sociale, stress, alcoolisme, drogue ; mère très jeune, immature, changeant de partenaire -toujours vers le pire- et enfin, concubins déjà repérés pour des faits similaires envers des enfants de précédentes compagnes ou même les leurs etc...- Tout y était ! Aucune réaction. Et la directrice de la PMI interviewée, droite dans ses bottes, qui assure sans broncher que "les services sociaux ont accompli correctement leur travail"... tandis qu'un autre professionnel mielleux souligne doctement qu'"ils ne sont pas là pour jouer un rôle de répression mais pour aider les familles, toute intrusion violente pouvant parfois bla bla bla.." Aider "les familles"? Et l'enfant, n'en fait-il pas partie ? Si l'aider revient à envoyer ses bourreaux devant un tribunal, faut-il pour autant s'abstenir ? Une injustice vaut-elle mieux qu'un désordre ? Quant à l'indulgence dont bénéficient ou bénéficiaient autrefois les mères, elle est anti féministe, les déresponsabilisant encore davantage ; n'oublions pas que c'est la condamnation assez lourde de Michèle Martin -pour une fois- qui a poussé Monique Olivier à se défausser de Fourniret et à livrer quelques tuyaux... qu'on se le dise, à présent, il y a égalité et (si c'était vrai), cela ferait réfléchir toutes celles qui ont joué la carte faiblesse impuissance victimisation lorsqu'elles étaient complices voire instigatrices.

Et le médecin "expert" qui appuie encore sur le frein avec un rapport contradictoire énonçant que les blessures de l'enfant "ne sont pas incompatibles" avec une chute comme il a été allégué par les parents (deux chutes ? trois chutes ? quatre ?) puis reconnaît une page plus loin que certaines posent question. Le juge l'a-t-il lu jusqu'au bout, ce rapport qui à tout le moins, méritait qu'il exigeât une information complémentaire... voire carrément un autre examen ?

Le mythe, toujours : une mère ne saurait faire "ça"... ce n'est pas possible etc... mythe qui pollue le jugement y compris celui de "pro". Et pourtant ! Qu'on se le dise et se le répète : un parent n'est pas censé aimer son enfant. Pas plus une mère qu'un père. Ce n'est pas automatique. Cela peut même être l'inverse. La mère de Marina par exemple, depuis le début, haïssait sa fille -et celle-ci seulement- ce que tout le monde dans sa famille pouvait voir. D'après ce qui en est dit, elle était jolie, gentille, ne posait aucun problème mais le fait est là : elle la haïssait. On observe ici que seule l'éducation nationale ne s'y est pas trompée : mais que vaut la parole d'un instit, d'une directrice d'école ? Apparemment rien. Ce n'est pas leur rôle. Laissons faire les pro.

Et pour se justifier, les pros allèguent... les lenteurs administratives : les dossiers se balladant d'un département à l'autre au gré des déménagements -pas si idiots, les parents- c'était juste une affaire de mois voire de semaines (!)... pour qu'ils retrouvent la trace de la famille et réagissent. Dommage que Dylan soit mort avant [et qu'apparemment la DDASS n'ait ni téléphone ni le net.] Quelques mois ! Quelques mois de torture, trois fois rien, il n'en est pas à une râclée près, depuis le temps que cela dure ! Un détail : la plupart de ces familles percevant allocations APL, RSA etc sans lesquels elles ne peuvent vivre, elles sont faciles à pister : dès qu'elles emménagent, les CAF et ANPE sont obligatoirement averties pour le transfert des prestations- dont l'allocation-logement pour laquelle il faut fournir une adresse valide-. Alors? Ont-ils bien cherché ? Ou ils ne sont vraiment pas dégourdis, ou un élément ici nous échappe.

Observons toutefois que l'éducation nationale n'est pas toujours aussi perspicace et consciencieuse, même si pour Dylan ce fut en vain. Pour l'affaire de l'instituteur pédophile (dit Lechien), ce n'est celle-ci qui a réagi... mais un simple père de famille (Jean-Yves Cendray, au demeurant écrivain remarquable -compagnon de Marie Ndiaye-) qui a foncé à l'école, pris le violeur par la peau du cou et, au culot -car tout cela, notons-le, était parfaitement illégal-... l'a conduit à la gendarmerie où, devant le tour imprévu que prenait l'affaire, en état de choc, le bonhomme a tout avoué. Tout le monde savait et se taisait. Sans Jean-Yves Cendray, il est probable qu'il sévirait encore.

Vent d'est, vent d'ouest, (prémonitoire?), les pieds bandés

Image


pieds bandes






http://drquinn.forumprod.com/la-tradition-chinoise-des-pieds-bandes-t479.html

http://afrikraneuse.blogspot.fr/2012/02/belle-mourir-tour-du-monde-de-la.html

"Vent d'est, vent d'ouest" (Pearl Buck), retrouvé en rangeant et relu d'un trait, m'a bouleversée, bien plus que la première fois que je l'avais lu il y a des lustres (je l'avais alors trouvé par certains cotés qui m'avait agacés presque du genre roman "rose")... 

Une impression poignante de reviviscence, des scènes à peu de choses près identiques*... tout se passe comme si ma vie avait été ainsi "tracée" sans que je ne m'en souvienne par ce livre lu à ? 13 ans ? c'est à dire qu'elle fut en partie copiée sur celle de la jeune américaine amoureuse d'un homme d'une autre culture rencontré aux USA où il était venu faire ses études (un chinois en le cas, certes occidentalisé mais ligoté par les liens indénouables d'un clan traditionnel)... Mary qui naïvement tente en vain de s'intégrer dans sa famille... jusqu'à leur fuite lorsqu'il s'avère que ce ne sera jamais le cas, racisme oblige : elle n'a finalement été "acceptée" ou plus exactement tolérée que par la force des choses (il est fils unique), la volonté imployable de son mari qui y avait cru, et provisoirement, dans l'espoir qu'il se lasse enfin d'elle... (c'est à dire "acceptée" comme "petite femme", concubine)... Avec en prime quelques regards concupiscents des hommes étonnés -elle est exotique-, parfois la jalousie des femmes supplantées par une étrangère qui de surcroît n'a rien fait pour cela, et des sous-entendus égrillards de la part du chef de clan, (le père, grand "amateur" de femmes qui la lorgne ouvertement**, certes elle est belle, mais en plus, que peut-elle bien posséder de savoir-faire sexuel pour que son fils s'y soit tellement attaché, lui qui pouvait disposer à l'envi des plus habiles courtisanes?) Elle croit à de la compassion vis à vis sa dramatique situation de rejet (et ne comprendra qu'après.)  

Jusqu'à la "catastrophe" qui va coûter la vie de la terrible matriarche désespérée qui en mourra de chagrin : Mary devient enceinte ... (le mari est promis depuis toujours à une jeune fille idoine, même milieu, même fortune etc!) Le père exige alors tout simplement de son fils qu'il la renvoie chez elle, mais avec une grosse somme d'argent pour la "dédommager" et la payer pour l'enfant. [Par parenthèse, dans ces familles au strict moralisme, avec esclaves, meurtre de petites filles en cas de "nécessité" (besoin de nourrice par exemple), "achat" de jeunes concubines au fur et à mesure que les maternités ont abîmé la précédente... celles-ci, lorsque le maître passe une nuit avec elles selon ses préférences et leur savoir-faire, souvent la dernière, la plus fraîche, (et les rivalités qui vont fréquemment jusqu'au suicide, entre ces malheureuses méprisées par tous sont épouvantables et sordides).. celle-ci est payée, ce qui les réduit à la situation de  prisonnières prostituées permanentes à temps plein avec un seul client et renforce l'ostracisme dont elles et leurs enfants sont victimes de la part de tous, de l'épouse en titre et des enfants "légitimes" en premier.]   

C'est comme si je m'étais ensuite astreinte à rejouer le scénar, juste un peu plus soft, en endossant son rôle. 

* Celle notamment où le jeune mari exaspéré enfin reçu chez "lui" impose sa femme en la prenant par la main et la conduisant vers sa mère (qui cependant à l'instant vient de refuser de la voir -en chinois-) sans que celle-ci ne comprenne le geste inouï qu'il vient d'accomplir et qu'il lui a fait accomplir.

** Idem.

__________________________

Idem me revient l'histoire de Léa (Pearl Buck toujours, je crois?) la fille juive rejetée par sa famille parce qu'ils ne parviennent pas à la marier, réduite au rang de servante.. qui tue par accident son frère odieux se moquant d'elle et son dernier espoir déçu. A vérifier. La même histoire -vraie en ce cas- m'a été racontée.. Étrange ! Est-elle banale ? Les jeunes filles juives maltraitées/méprisées au bénéfice d'un frère unique mis sur piédestal... qui les tyrannise comme tous en toute impunité auraient-elles tendance à s'en débarrasser de la sorte? (Un coup de couteau en les deux cas.) Ma foi... Profit et pertes d'une culture de merde. 

jeudi 25 juin 2015

Auschwitz commence lorsque quelqu'un regarde un abattoir et se dit : ce ne sont que des animaux



Auschwitz commence lorsque quelqu'un regarde un abattoir et se dit : ce ne sont que des animaux.

Adorno : "L'exploitation des animaux par l'homme est une des origines de la violence." Le résumé de sa pensée "Auschwitz commence partout où quelqu’un regarde un abattoir et pense : ce ne sont que des animaux" est de Charles Patterson dans Eternal Treblinka.
http://bibliodroitsanimaux.voila.net/adornominimamoralia.html

https://fr.wikipedia.org/wiki/Theodor_W._Adorno

mercredi 24 juin 2015

Cévennes 4. Les chiennes de Pavlov

... suite de http://femmesavenir.blogspot.com/2015/06/laffaire-3-misere-animale-misere.html

Les femmes en certains endroits conditionnées au machisme au point de l'accepter sans même s'en rendre compte.  

... Car les femmes qui y vivent de toujours (dans les Cévennes), les INDIGÈNES pur jus, par une sorte de réflexe conditionné de survie, s'écrasent [devant le machisme même violent] spontanément sans qu'il soit nécessaire de le leur recommander et ceci quelque soit leur niveau intellectuel. LES CHIENNES DE PAVLOV en somme. Ainsi Nicole ne m'avait-elle pas dit sans rire de cet intéressant personnage (peut-être un asp?)... qu'au fond, il était sympa? (?!!) "SI, JE T'ASSURE, QUAND ON LE CONNAIT"... à quoi j'avais rétorqué, agacée, que je préférais les gens sympa MÊME QUAND ON NE LES CONNAISSAIT PAS. -"Oui évidement IL FAUT SAVOIR LE PRENDRE, il va vite à péter les plombs, mais à présent, avec moi, ça va." (!!) Et il s'agit d'une CLIENTE, et d'une femme intelligente, non démunie, une battante hors pair. Que dire alors des autres? Que dire si la situation était inversée ? Voilà de fait où en sont réduites les femmes ici : à solliciter en courtisanes les bonnes grâces d'un abruti mal embouché et violent au machisme totalement décomplexé.. que PAR LEUR PRATIQUE, ELLES FONT VIVRE. Le sexisme, (ainsi que la pénurie, il n'y a pas d'autres pompes avant Intermachin), c'est là, au quotidien, QU'IL NOUS DÉMOLIT... SANS QUE NOUS NE NOUS EN APERCEVIONS.

De fait, c'est la DEUXIÈME FOIS EN MÊME PAS UN AN que ce genre de choses m'arrive, je trouve que ça y va fort dans les statistiques, d'où mon exaspération.
 http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/12/mpn-ou-assimiles-parmi-nous-au.html


C'est cette soumission "automatique" des femmes qui n'en ont même pas conscience qui est le plus grave car de fait, ces mecs se permettent tout... c'est naturel, et toute attitude normale de la part d'une femme sera automatiquement perçue comme un insulte.. avec la réaction que l'on a vu. (Comme pour le voile.) Cette soumission automatique semble adhésion et renforce les machos ou le système qui font des nous des ombres de sorte que la seule femme ou la minorité qui réagit normalement c'est à dire .. qui n'accepte ni les insultes ni les gestes de mépris en général (ou dans l'autre cas ne se voile pas) sera une dissidente à abattre*. De même une seule femme non voilée dans un groupe de femmes toutes bâchées perçue comme une pute n'osera pas bouger. A la limite, ce sont des attitudes comme celle de Nicole qui fondent ensuite des types comme notre héros à insulter voire bousculer ou cogner celles qui lui répondent comme il convient : en "hommes" si l'on peut dire.

L'affaire
http://femmesavenir.blogspot.com/2015/06/laffaire-cevennes-de-merde-1.html

Le dossier
http://femmesavenir.blogspot.com/2015/06/cevennes-de-m-le-dossier.html

Cévennes 4 Combat de chiens, combats d'hommes/femmes

Je sais, je sais : la misère animale et la misère.. {comment dire? féminine? Non. Féministe? Surtout pas. Féminale? Là, ça va, mais il faut créer le mot}, la misère animale et la misère FÉMINALE donc sont d'abord la misère humaine en général, or nous détenons le record de la région la plus pauvre de France -après la Seine Saint Denis- et, dans cette région, celui de l'endroit le plus défavorisé (!) un sans-faute avec félicitations du jury, ce qui peut expliquer l'impensable brutalité ici des rapports improprement dits humains 
sous des dehors souriants sucrés, mais MEEERRRDE.

Rapports humains mon cul, comme dirait Zazie, il faudrait dire ANIMAUX et inverser : Yok hier soir, pour la première fois, (l'angoisse après l'histoire du pompiste?) s'est battu et il a fait fort : ni plus ni moins... avec un Pitt, un vrai de vrai  que son maître, alcoolisé après la fête de la musique, ne pouvait tenir (du reste, il n'essayait même pas !), moi si pour ce qui est du mien, par la queue ! mais ça le mettait en situation d'infériorité. Quelques secondes mais assez effrayantes. Heureusement deux jeunes dont une fille ont bondi et se sont interposés, mais, même soulevé par le garçon, le pitt ne lâchait pas Yok que je tirais de toutes mes forces et qui hurlait, j'ai vu le moment où il emportait le morceau.. Puis je ne sais ce qu'a fait le gars ou la fille (génial !) mais il l'a tout de même lâché*.

Eh bien lorsque je l'ai ensuite examiné, sûre qu'il devait avoir la babine en lambeaux, il n'avait en réalité STRICTEMENT AUCUNE BLESSURE, NI MÊME DE MARQUE. C'ÉTAIT DU FLAN ! Alors, question : QUI EST "HUMAIN" ? les animaux, y compris ceux considérés comme  DANGEREUX, ou les hommes? Et encore là, les deux bêtes, pardon, HOMMES, étaient-elles de force à peu près égale, Yok, plus vif et de plus lourd gabarit mais le Pitt, doté d'un mordant plus puissant ... alors que dans le cas humain, pardon, ANIMAL, on a un gros mâle aux yeux glauques de 47 ans environ, 1,90 m, 100 kg ou davantage (le Pompiste Buraliste) et une vieille femelle -certes assez endurante-, 67 ans, 1,60, 58 kg, (moi.)

Alors, question : QUI DES DEUX EST L'ANIMAL, DE YOK, DU PITT OU DU POMPISTE?

*Renseignements pris, le jeune mec -un costaud !-connaissait le chien, ça aide ! du reste un très bon chien, en principe pas agressif du tout, et il lui a simplement asséné plusieurs coups mais très violents sur le museau. Tous les pitts n'auraient pas lâché mais celui-là était un bon. Et le pauvre chien, lui, a été (mais très légèrement) mordu.Tous les torts sont donc du coté de York si ce n'est que, en principe, le Pitt aurait dû être muselé.

Suite : http://femmesavenir.blogspot.com/2015/06/les-chiennes-de-pavlov.html

Dossier http://femmesavenir.blogspot.com/2015/06/cevennes-de-m-le-dossier.html

Hélène Larrivé

L'affaire 3 Misère animale, misère féminale, agressivité humaine, agressivité animale

Suite de : http://femmesavenir.blogspot.com/2015/06/laffaire-cevennes-de-merde-2-lettre.html

Le mépris violent envers les femmes est identique à celui envers les animaux et souvent va de pair. 

MISÈRE ANIMALE, MISÈRE FEMINALE

Je sais, je sais : la misère animale et la misère.. {comment dire? féminine? Non. Féministe? Surtout pas. Féminale? Là, ça va, mais il faut créer le mot}, la misère animale et la misère FÉMINALE donc sont d'abord la misère humaine en général, or nous détenons le record de la région la plus pauvre de France -après la Seine Saint Denis- et, dans cette région, celui de l'endroit le plus défavorisé (!) un sans-faute avec félicitations du jury, ce qui peut expliquer l'impensable brutalité ici des rapports improprement dits humains sous des dehors souriants sucrés, mais MEEERRRDE.

Rapports humains mon cul, comme dirait Zazie, il faudrait dire ANIMAUX et inverser : Yok hier soir, pour la première fois, (l'angoisse après l'histoire du pompiste?) s'est battu et il a fait fort : ni plus ni moins... avec un Pitt, un vrai de vrai  que son maître, alcoolisé après la fête de la musique, ne pouvait tenir (du reste, il n'essayait même pas !), moi si pour ce qui est du mien, par la queue ! mais ça le mettait en situation d'infériorité. Quelques secondes mais assez effrayantes. Heureusement deux jeunes dont une fille ont bondi et se sont interposés, mais, même soulevé par le garçon, le pitt ne lâchait pas Yok que je tirais de toutes mes forces et qui hurlait, j'ai vu le moment où il emportait le morceau.. Puis je ne sais ce qu'a fait le gars ou la fille (génial !) mais il l'a tout de même lâché*.

Eh bien lorsque je l'ai ensuite examiné, sûre qu'il devait avoir la babine en lambeaux, il n'avait en réalité STRICTEMENT AUCUNE BLESSURE, NI MÊME DE MARQUE. C'ÉTAIT DU FLAN ! Alors, question : QUI EST "HUMAIN" ? les animaux, y compris ceux considérés comme  DANGEREUX, ou les hommes? Et encore là, les deux bêtes, pardon, HOMMES, étaient-elles de force à peu près égale, Yok, plus vif et de plus lourd gabarit mais le Pitt, doté d'un mordant plus puissant ... alors que dans le cas humain, pardon, ANIMAL, on a un gros mâle aux yeux glauques de 47 ans environ, 1,90 m, 100 kg ou davantage (le Pompiste Buraliste) et une vieille femelle -certes assez endurante-, 67 ans, 1,60, 58 kg, (moi.)
Alors, question : QUI DES DEUX EST L'ANIMAL, DE YOK, DU PITT OU DU POMPISTE?


*Renseignements pris, le jeune mec -un costaud!-connaissait le chien, ça aide ! du reste un très bon chien, en principe pas agressif du tout, et il lui a simplement asséné plusieurs coups mais très violents sur le museau. Tous les pitts n'auraient pas lâché mais celui-là était un bon. Et le pauvre chien, lui, a été (mais très légèrement) mordu.Tous les torts sont donc du coté de York si ce n'est que, en principe, le Pitt aurait dû être muselé.
Hélène Larrivé


Suite: http://femmesavenir.blogspot.com/2015/06/les-chiennes-de-pavlov.html

Dossier http://femmesavenir.blogspot.com/2015/06/cevennes-de-m-le-dossier.html

L'affaire Cévennes de merde 2 lettre ouverte aux gendarmes


Ce que devraient avouer aux femmes et aux faibles en général les gendarmes qui savent parfaitement ne pas pouvoir leur venir en aide, ce qui conforte et accroît le machisme violent impuni qui décomplexé s'exprime partout.  

Lettre ouverte aux gendarmes

CON DIGNES.. CONSIGNES EN CAS D'AGRESSION
Messieurs, étant donné ce qu'on appelle l'évolution des mœurs et conjointement la diminution drastique de vos effectifs en des endroits reculés comme le nôtre, (vous ne pouvez en effet être partout, je vous l'accorde, et traitez d'abord les urgences) votre tache étant devenue de plus en plus difficile voire impossible, je vous propose le modèle, (à modifier selon les situations), de ce que doivent être propos et comportement des victimes potentielles vis à vis de tout agresseur vocatif afin de prévenir des dérives coûteuses et dangereuses pour elles et pour la société. À distribuer à toutes les femmes (ainsi qu'aux fragiles de tous genres) nouvellement venues dans nos contrées (1) et non touristes, (ce qui aggrave le cas) pour leur éviter insultes, coups et plus si affinités (2) que DE VOTRE PROPRE AVEU, VOUS NE POURREZ NI PALIER, NI MÊME TRAITER. 
Voici donc à l'intention des victimes, une lettre-type leur indiquant la conduite à tenir devant une agression pour éviter que celle-ci ne dégénère... que je vous invite à apposer chez vous à coté des affichettes destinées aux femmes battues, avis de recherche etc..
PAR EXEMPLE VOILÀ CE QU'IL EÛT FALLU QUE JE DISSE HIER :
"Excusez-moi, Monsieur le Buraliste Pompiste de Meuranes sur Cebiou que je salue ici avec tout le respect dû à vos cent kilos et votre mètre quatre vingt dix, mais mon pauvre chien que voici, qui a fait sept kilomètres à pied depuis Saint-Ambroix a vraiment très chaud et soif et, eût égards à l'immense bonté que je devine dans votre regard amène et à votre allure si sympathique, vous serait-il possible DE ME VENDRE UNE BOUTEILLE D'EAU et... de le laisser entrer... euh, pardon, pas "entrer", non, non non, veuillez excuser cette divagation due au soleil, L'HYGIÈNE d'une pompe à essence évidemment, ou d'un bureau de tabac, bien sur, bien sur... mais de me permettre de l'attacher à L'OMBRE de votre superbe officine rouge et verte décorée Total, un endroit qui éventuellement pourrait être considéré comme public... mais, non, je m'égare, je ne saurais discuter vos droits, les Droits Inaliénables du Pompiste que vous m'exposez si clairement, aïe mes cervicales : devant chez vous, c'est chez vous, je vous le concède bien volontiers, sinon on ne pourrait pas entrer, logique imparable et même je vais plus loin, la route aussi finalement, sinon on ne pourrait pas.. mais calmez-vous, Monsieur le Pompiste brutaliste, je ne voulais pas altérer votre belle humeur de l'instant, les points que comme moi vous doulevez.. soulevez m'instruisent, et d'ailleurs je vais encore plus loin : même l'ombre devant l'entrée, gracieusement fournie par vos soins, qui est celle de la magnifique boutique (que vous louez si cher, sans compter les impôts je sais je sais) en ce sens, vous appartient aussi, c'est pourquoi mon humble requête car dehors, Monsieur le Pompiste Brutaliste, ça cogne trop fort. (Ici aussi ? La porte que, maladroitement, par trois fois, violemment, vous lançâtes, sur mes petites pattes? Mes graciles poignets que, à les rompre, longuement vous secouâtes, et moi avec, comme sac de patates ? Mais ce léger mouvement d'humeur est déjà oublié, voyons!) ... car il marche depuis une demi-heure et est épuisé, merci infiniment, je vous en serai éternellement reconnaissante.."
A genoux si possible, c'est mieux...
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(1) Car celles qui y vivent de toujours, les INDIGÈNES pur jus, par une sorte de réflexe conditionné de survie, s'écrasent spontanément  sans qu'il soit nécessaire de le leur recommander et ceci quelque soit leur niveau intellectuel. LES CHIENNES DE PAVLOV en somme. Ainsi Nicole ne m'avait-elle pas dit sans rire de cet intéressant personnage   (peut-être un asp?)... qu'au fond, il était sympa? (?!!) "SI, JE T'ASSURE, QUAND ON LE CONNAIT"... à quoi j'avais rétorqué, agacée, que je préférais les gens sympa MÊME QUAND ON NE LES CONNAISSAIT PAS. -"Oui évidement, IL FAUT SAVOIR LE PRENDRE, il va vite à péter les plombs, mais à présent, avec moi, ça va." (!!) Et il s'agit d'une CLIENTE ! Et d'une femme intelligente, non démunie, une battante hors pair. Que dire alors des autres? Que dire si la situation était inversée ? Voilà de fait où en sont réduites les femmes ici : à solliciter en courtisanes les bonnes grâces d'un abruti odieux, mal embouché et violent, au machisme totalement décomplexé..  que PAR LEUR PRATIQUE, ELLES FONT VIVRE. Le sexisme, (ainsi que la pénurie, il n'y a pas d'autres pompes avant Intermachin), c'est là, au quotidien, QU'IL NOUS DÉMOLIT... SANS QUE NOUS NE NOUS EN APERCEVIONS.
.
(2) Surtout que c'est la DEUXIÈME FOIS EN MÊME PAS UN AN, je trouve que ça y va fort dans les statistiques. http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/12/mpn-ou-assimiles-parmi-nous-au.html 

Suite : http://femmesavenir.blogspot.com/2015/06/laffaire-3-misere-animale-misere.html



L'affaire "Cévennes de merde" (1)

Un grand mec baraqué, pompiste de son état
Il a le droit,
Et buraliste aussi.
C'est bien utile
Pour avoir de l'essence..
Sept kilomètres avec le chien,
Ce n'est rien...
Mais le soleil de Satan,
Ça, ce n'est pas rien !
Presque plus d'arbres,
A quoi bon, la clim n'est pas faite pour...
Justement, les chiens.. 
Ni pour les piétons,
D'ailleurs de piétons, il n'y en a presque plus
Survivant, 
Forcément..
La route de mon enfance,
Celle que Marguerite faisait Tout le temps.
On arrive dégoulinants,
Je veux dire langue à terre
On entre dans la boutique
La climatisation, de l'air,
Et frais, enfin.
Mais soudain..
Des hurlements du Monsieur,
Pompiste de son état etc..
Non, des cris d'abord, hurlements après
"SORTEZ ! Rentrer avec un chien, TOUT DE MÊME!!!"
Yeux au ciel, méprisant. Pourquoi?
Dans un bureau 
.. De tabac? lui aussi a chaud.
Cette question le met en colère
Et même l'exaspère :
ATTACHEZ LE DEHORS. Soit. 
Devant la porte, pas d'autre endroit.
Sagement il attend.
Il n'est pas méchant.
Je parle du chien, évidemment.
Je ressors. Avant de reprendre route, 
Nous attendons sur le coté,
Sagement,
A l'ombre, assis, fatigués,
Que le soleil soit un peu tombé.
Il a soif. Après tout, ils vendent de l'eau?
Je l'attache à nouveau.
Le Monsieur baraqué, pompiste de son état etc..
Sort, mais en fureur cette fois.
QUE FAITES-VOUS ENCORE LÀ?
Ça commence à chauffer..
"Là", un, c'est un lieu public,
Et deux, je veux acheter de l'eau,
Tout simplement..
Puisque vous en vendez.
MAIS LE CHIEN, LÀ !
Et de me désigner du doigt,
Un endroit éloigné,
EN PLEIN SOLEIL !!
Pas question,
Faites-moi passer 
Une bouteille, je paierai ici.
NON ET NON ! SI.
JE VEUX DE L'EAU.
Hurlements accentués,
Cette fois mâtinés,
Sous mon nez joli.. 
De moulinets
D'éolienne emballée.
Pour qui vous prenez-vous de me parler ainsi?
Je vous parlerai comme j'ai envie,
Un point c'est tout.. j'ai dit,
Et votre bouteille, pas question.
Et me referme la porte dessus, 
M'envoyant bouler
Par la même occasion
Sur ce cri de tragédie :
MERDE, ET MA CLIII !!
Je la réouvre aussitôt, ça fait en peu de frais.
VOUS ALLEZ LAISSER CETTE PORTE?
Non, et je veux de l'eau.
Il est emmerdé, 
Des clients arrivent,
Pour payer, toujours,
C'est important !
La referme, je la réouvre,
Et alors me saisit aux poignets 
Et me secoue
A peu près comme un sac de blé.
Yok n'a pas bronché. 
Au moins sais-je à présent
Qu'il n'est pas méchant.
(Mais parfois rancunier)
Je la réouvre lorsqu'il rentre, De ses pompes à encaisser,
Il revient. Hurlements. Moi aussi.
Vous êtes un grossier macho et pire..
MAIS JE VEUX DE L'EAU..
Je sais on me le dit,
Tout le temps, et ça me plait bien,
Maintenant DÉGAGEZ,
Et vite. Sans eau, avec votre chien.
A ce point vous devriez
Peut-être être changer de boulot.
Et je réouvre la porte aussitôt,
Cette fois il s'avance d'un air ... un air.. ?
De vouloir tuer, tout simplement..
Me prend de toutes ses forces,
Par les poignets pour la refermer.
Je hurle. Survient heureusement,
Un client qui veut payer,
Il me lâche évidemment
Soudain calmé.
J'appelle les gendarmes,
Vous avez cassé ma porte!
Mais faites donc, moi aussi..
On est partis sous la cagne,
Yok et moi. Sans eau. 
Pas vraiment mal aux poignets..
Juste à l'âme..
Les gendrames..  Gendarmes ! me proposent,
Demain d'aller porter plainte
Merci, pour ça, j'ai déjà donné.
Un bouquet de roses!
Pas de témoins, sauf sa femme, qui m'abreuvait
Hélas pas d'eau !!
Mais d'histoires d'animaux, Maltraités (!)
Car elle AIIIIME les bêtes,
La belette,
Qui n'avait pas bronché,
Terrorisée.
Je me vengerai autrement.
Je crois savoir comment..
On s'est baignés, non,
JETÉS À L'EAU habillés,
(Enfin moi) en arrivant.
Il n'est vraiment pas méchant.
Je parle du chien, Évidemment.
Il parait que la Cèze est dépolluée..
Un détail tout de même,
Belette et Pompée éolienne
Sont des "bouts rapportés"
De nos Cévennes
Accueillantes inspirés.
Ici c'est plus facile, 
D'être décomplexé,
Et ça rapporte assez.
CÉVENNES DE MERDE.

mardi 23 juin 2015

Cévennes de m, le dossier

Les meilleures images de FB

La soumission, risque pervers, le voile

Suite de http://femmesavenir.blogspot.fr/2015/06/cevennes-de-merde.html (et de tous les articles glorieusement titrés Cévennes de merde, précédents.)



C'est cette soumission "automatique" des femmes (sans en avoir conscience) qui est le plus grave car de fait, les mecs ou du moins ceux-là se permettent tout... c'est naturel, et toute attitude normale de la part d'une femme est automatiquement perçue comme un insulte.. avec la réaction violente que l'on a vu. C'est comme pour le voile : cette soumission automatique semble adhésion et renforce les machos ou le système qui fait des nous des ombres, de sorte que la seule femme (ou la minorité) qui réagit normalement (qui n'accepte pas les insultes et les gestes de mépris en général, ou ne se voile pas) sera perçue comme à abattre. De même une seule femme non voilée dans un groupe de femmes toutes voilées sera perçue comme une pute et n'osera pas sortir. A la limite, ce sont des attitudes comme celle de Nicole qui fondent ensuite des types comme le pompiste à insulter voire bousculer ou cogner celles qui lui répondent comme il convient.

Une volière de rêve pour mon pigeon !

L'homme a été retrouvé pendu dans sa cellule.

Lettre ouverte aux gendarmes

Cévennes de merde, 3. Lettre ouverte aux gendarmes
Suite de :
http://femmesavenir.blogspot.com/2015/06/cevennes-de-merde.html...

CON DIGNES.. CONSIGNES EN CAS D'AGRESSION

... Adoncques Messieurs les Gendarmes, voici, à l'intention des victimes, une lettre-type leur indiquant la conduite à tenir devant une agression pour éviter que celle-ci ne dégénère... que je vous invite à apposer dans toutes les gendarmeries et commissariats à coté des affichettes destinées aux femmes battues, avis de recherche etc..

Étant donné ce qu'on appelle l'évolution des mœurs, et conjointement la diminution drastique de vos effectifs en des endroits reculés comme le nôtre, (vous ne pouvez en effet être partout, je vous l'accorde, et traitez d'abord les urgences) votre travail étant devenu de plus en plus difficile voire impossible, je vous propose le modèle, (à modifier selon les situations), de ce que doivent être propos et comportement des victimes potentielles vis à vis de tout agresseur vocatif afin de prévenir des dérives coûteuses et dangereuses pour elles et pour la société. À distribuer à toutes les femmes (ainsi qu'aux hommes pas trop costauds et aux fragiles en général) nouvellement venues dans nos contrées (1) et non touristes, ce qui aggrave le cas) pour leur éviter insultes, coups et plus si affinités (2) que DE VOTRE PROPRE AVEU, VOUS NE POURREZ PALIER, NI MÊME TRAITER. VOICI PAR EXEMPLE CE QU'IL EÛT FALLU QUE JE DISE HIER :

"Excusez-moi, Monsieur le Buraliste Pompiste de Meuranes sur Cèze, que je salue ici avec tout le respect dû à vos cent kilos et votre mètre quatre vingt dix, mais mon pauvre chien que voici, qui a fait sept kilomètres à pied depuis Saint-Ambroix a vraiment très chaud et soif et, eût égards à l'immense bonté que je devine dans votre regard amène et à votre sympathique allure, vous serait-il possible DE ME VENDRE UNE BOUTEILLE D'EAU et... de le laisser entrer... euh, pardon, pas "entrer", non, non non, veuillez excuser cette impertinence, L'HYGIÈNE d'une pompe à essence évidemment, ou d'un bureau de tabac, bien sur, bien sur... mais de me permettre de l'attacher à L'OMBRE de votre superbe officine rouge et verte décorée Total, un endroit qui éventuellement pourrait être considéré comme un lieu public... mais, non, non, je m'égare, je ne saurais discuter vos droits, les droits inaliénables du Pompiste que vous m'exposez si clairement, aïe mes cervicales : devant chez vous, c'est chez vous, je vous le concède bien volontiers, sinon on ne pourrait pas entrer, logique imparable et même je vais plus loin, la route aussi finalement, sinon on ne pourrait pas.. mais calmez-vous, Monsieur le Pompiste brutaliste, je ne voulais pas altérer votre belle humeur de l'instant, vos remarques sont pertinentes et je vais même encore plus loin : même l'ombre, gratuitement fournie, qui est celle de la magnifique boutique (que vous louez si cher, sans compter les impôts je sais je sais) en ce sens vous appartient aussi, c'est pourquoi mon humble requête car dehors, Monsieur le Pompiste Brutaliste, ça cogne trop fort. Ici aussi ? La porte que, maladroitement, par trois fois, violemment, vous lançâtes, sur mes petites pattes? Mes poignets que, à les rompre, vous secouâtes, et moi avec, comme un sac de patates ? Mais ce léger mouvement d'humeur est déjà oublié, voyons! car il marche depuis une demi-heure, et est épuisé, merci infiniment, je vous en serais éternellement reconnaissante.."

A genoux si possible, c'est mieux...
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(1) Car celles qui y vivent de toujours, les INDIGÈNES pur jus, par une sorte de réflexe conditionné de survie, s'écrasent spontanément comme des carpettes sans qu'il soit nécessaire de le leur recommander et ceci quelque soit leur niveau intellectuel. LES CHIENNES DE PAVLOV. Ainsi Nicole me disait-elle de ce gus, à l'évidence un infect macho comme du reste il s'en fait gloire (voire perturbé, peut-être un asp?) terrorisant visiblement sa triste jeune femme, ne m'avait-elle pas assuré sans rire qu'au fond, il était sympa? (?!!) "SI, JE T'ASSURE, QUAND ON LE CONNAIT"... à quoi j'avais rétorqué, agacée, que je préférais les gens sympa MÊME QUAND ON NE LES CONNAISSAIT PAS. -"Oui évidement, IL FAUT SAVOIR LE PRENDRE, il va vite à péter les plombs, mais à présent, avec moi, ça va." (!!) Et il s'agit d'une CLIENTE ! Et d'une femme intelligente, non démunie, une battante hors pair. Que dire alors des autres? Que dire si la situation était inversée ? Voilà de fait où en sont réduites les femmes ici : à solliciter les bonnes grâces d'un commerçant abruti, odieux, mal embouché et violent.. (et qui s'en targue fièrement) .. et que PAR LEUR PRATIQUE, ELLES FONT VIVRE. Le sexisme, (ainsi que la pénurie, il n'y a pas d'autres pompes avant Alès), c'est là, au quotidien, qu'IL NOUS DÉMOLIT... SANS QUE NOUS NE NOUS EN APERCEVIONS.

(2) Surtout que c'est la DEUXIÈME FOIS EN MÊME PAS UN AN, je trouve que ça y va fort dans les statistiques. http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/12/mpn-ou-assimiles-parmi-nous-au.html

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MISÈRE ANIMALE, MISÈRE FEMINALE

Je sais, je sais : la misère animale et la misère.. {comment dire? féminine? Non. Féministe? Surtout pas. Féminale? Là, ça va, mais il faut créer le mot}, la misère animale et la misère FÉMINALE donc, sont d'abord la misère humaine en général, or nous détenons le record de la région la plus pauvre de France -après la Seine Saint Denis- et, dans cette région, celui de l'endroit le plus défavorisé (!) un sans-faute avec félicitations du jury, ce qui peut expliquer l'impensable brutalité ici des rapports improprement dits humains (1) sous des dehors souriants sucrés, mais MEEERRRDE.

(1) Rapports humains mon cul, comme dirait Zazie, il faudrait dire ANIMAUX et inverser : Yok hier soir, pour la première fois, (l'angoisse après l'histoire du pompiste?) s'est battu et il a fait fort : ni plus ni moins... avec un Pitt, un vrai de vrai que son maître, alcoolisé après la fête de la musique, ne pouvait tenir (du reste, il n'essayait même pas !), moi si pour ce qui est du mien, par la queue ! mais ça le mettait en situation d'infériorité. Quelques secondes mais assez effrayantes. Heureusement deux jeunes dont une fille ont bondi et se sont interposés, mais, même soulevé par le garçon, le pitt ne lâchait pas la lèvre de Yok que je tirais de toutes mes forces et qui hurlait, j'ai vu le moment où il emportait le morceau.. Puis je ne sais ce qu'a fait le gars ou la fille (génial !) mais il l'a tout de même lâché*.

Eh bien lorsque je l'ai ensuite examiné, sûre qu'il devait avoir la babine en lambeaux, il n'avait en réalité STRICTEMENT AUCUNE BLESSURE, NI MÊME DE MARQUE. C'ÉTAIT DU FLAN ! Alors, question : QUI EST "HUMAIN" ? les animaux, y compris ceux considérés comme DANGEREUX, ou les hommes? Et encore là, les deux bêtes, pardon, HOMMES, étaient-elles de force à peu près égale, Yok, plus vif et de plus lourd gabarit mais le Pitt, doté d'un mordant plus puissant ... alors que dans le cas humain, pardon, ANIMAL, on a un gros mâle aux yeux glauques de 47 ans environ, 1,90 m, 100 kg ou davantage (le Pompiste Buraliste) et une vieille femelle -certes assez endurante-, 67 ans, 1,60, 58 kg, (moi.)

Alors, question : QUI DES DEUX EST L'ANIMAL, DE YOK, DU PITT OU DU POMPISTE?

*Renseignements pris, le jeune mec -un costaud !-connaissait le chien, ça aide ! du reste un très bon chien, en principe pas agressif du tout, et il lui a simplement asséné plusieurs coups mais très violents sur le museau. Tous les pitts n'auraient pas lâché mais celui-là était un bon. Et le pauvre chien, lui, a été (mais très légèrement) mordu. Tous les torts sont donc du coté de York.

Hélène Larrivé

lundi 22 juin 2015

Cévennes de merde 3 Lettre ouverte aux gendarmes




Suite de :
http://femmesavenir.blogspot.com/2015/06/cevennes-de-merde.html
... 
Aussi, Messieurs les Gendarmes, voici, à l'intention des victimes, une lettre-type leur indiquant la conduite à tenir devant une agression pour éviter que celle-ci ne dégénère... que je vous invite à apposer dans toutes les gendarmeries, à coté des affichettes destinées aux femmes battues, avis de recherche etc..

Étant donné ce que je n'ose appeler l'évolution des mœurs, et conjointement la diminution drastique de vos effectifs en des endroits reculés comme le nôtre, (vous ne pouvez en effet être partout, je vous le concède, et traitez d'abord les urgences, c'est à dire évidement, en premier les mortes ) votre travail étant devenu de plus en plus difficile voire impossible, je vous propose le modèle, (à modifer selon les situations), de ce que doivent être propos et comportement des victimes potentielles vis à vis de tout agresseur vocatif, afin de prévenir des dérives coûteuses et dangereuses pour elles et pour la société. À distribuer à toutes les femmes (ainsi qu'aux hommes pas trop costauds) nouvellement venues dans nos belles contrées (et non touristes pour autant, ce qui aggrave leur cas) pour leur éviter coups et emmerdes diverses* que DE VOTRE PROPRE AVEU, VOUS NE POURREZ PALIER, NI MÊME TRAITER. VOICI PAR EXEMPLE CE QU'IL EÛT FALLU QUE JE DISE HIER :

"Excusez moi Monsieur le Buraliste Pompiste de cette belle ville de Meuranes sur Cèze que je salue ici avec tout le respect dû à vos cent kilos et votre mètre quatre vingt, mais mon pauvre chien que voici, qui a fait sept kilomètres à pied depuis Saint Ambroix a vraiment très chaud et soif et, eût égard à l'immense bonté que je devine à votre regard amène et à votre allure avenante, vous serait-il possible DE ME VENDRE UNE BOUTEILLE D'EAU et... de le laisser entrer... euh, pardon, pas "entrer", non, non non, pardonnez cette stupide requête, L'HYGIÈNE d'une pompe à essence évidemment, ou d'un bureau de tabac, bien sur, bien sur... mais de me permettre de l'attacher à l'ombre de la superbe officine rouge et verte décorée Total, un endroit qui éventuellement pourrait être considéré comme un lieu public... non, non, je retire, je ne saurais discuter vos droits, du reste indiscutables, que vous m'exposez si clairement, aïe mes cervicales : devant chez vous, c'est chez vous, oui, je vous le concède bien volontiers, sinon on ne pourrait pas rentrer, logique imparable, et même je vais plus loin, la route aussi finalement, sinon on ne pourrait pas.. mais calmez-vous, Monsieur le Pompiste brutaliste, je ne voulais pas vous blesser, vos remarques sont légitimes et je vais même encore plus loin : même l'ombre gratuitement fournie qui est celle de votre magnifique boutique que vous louez si cher, sans compter les impôts je sais je sais, en ce sens vous appartient aussi.... c'est pourquoi mon humble requête car dehors, Monsieur le Pompiste Brutaliste, ça cogne trop fort (ici aussi, non je ne voulais pas dire cela) : il marche depuis une demi-heure et est épuisé, merci je vous en serais éternellement reconnaissante.."
A genoux si possible, c'est mieux..."
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[Je sais, je sais : la misère animale et la misère.. {comment dire? féminine? Non. Féministe? Surtout pas. Féminale? Là, ça va, mais il faut créer le mot}, la misère animale et FÉMINALE donc, sont d'abord la misère humaine en général, or nous détenons le record de la région la plus pauvre de France -après la Seine Saint Denis- et, dans cette région, celui de l'endroit le plus défavorisé (!) un sans-faute avec félicitations du jury, ce qui peut expliquer l'impensable brutalité ici des rapports improprement dits humains* sous des dehors souriants sucrés, mais MEEERRRDE.]

* Rapports "humains" mon cul comme dirait Zazie, il faudrait dire ANIMAUX et inverser : Yok hier soir, pour la première fois, (l'angoisse après l'histoire du pompiste?) s'est battu et il a fait fort : ni plus ni moins... avec un Pitt, un vrai de vrai et pas commode, que son maître, après la fête de la musique, abruti par l'alcool, ne pouvait tenir, (du reste, il n'essayait même pas !) moi si pour ce qui est du mien, par la queue mais ça le mettait en situation d'infériorité. Quelques secondes mais assez effrayantes. Heureusement deux jeunes dont une fille ont bondi et se sont interposés, mais, même soulevé par le garçon, le pitt ne lâchait pas la lèvre de Yok, que je tirais de toutes mes forces et qui hurlait, j'ai vu le moment où il emportait le morceau.. Puis je ne sais ce qu'a fait le gars ou la fille (génial !) mais il l'a tout de même lâché !!

Eh bien lorsque je l'ai ensuite examiné, sûre qu'il devait avoir la moitié de la lèvre en lambeaux, il n'avait en réalité STRICTEMENT AUCUNE BLESSURE, NI MÊME DE MARQUE. C'ÉTAIT DU FLAN ! Alors, question : QUI EST "HUMAIN" ? les animaux, y compris ceux considérés comme TRÈS DANGEREUX ou les hommes? Et encore là, les deux animaux, pardon, HOMMES, étaient-ils de force à peu près égale, Yok, de plus fort gabarit, élancé et plus vif mais le Pitt, doté d'un mordant plus puissant ... alors que dans le cas "humain" pardon, ANIMAL, on a un gros mâle de 47 ans environ 1,80 m, 100 kg ou davantage (le Pompiste Buraliste) et une femelle, 67 ans, 1,60, 58 kg, (moi.) Alors, question : QUI DES DEUX EST L'ANIMAL, DE YOK, DU PITT OU DU POMPISTE?

* Surtout que c'est la deuxième fois en même pas un an, je trouve que ça y va fort dans les statistiques. http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/12/mpn-ou-assimiles-parmi-nous-au.html 
Hélène Larrivé

dimanche 21 juin 2015

Cévennes de merde 2

Suite de http://femmesavenir.blogspot.com/2015/06/cevennes-de-merde.html


Cévennes de merde.. on a beau dire, désolée, mais la gendarmerie, ce n'est pas la police. Ici mes ami/es, on peut se faire bousculer, assez fort, et rien ne se passe. "Il ne vous suit pas ?"..."Ben non, il garde sa boutique".."Alors on ne peut rien, c'est pas une urgence". Quand un gus de 1 m 80 ou plus à la louche et ? 100 kg à l'estime vous secoue comme un sac de patates, évidemment c'est pas une urgence. Puisqu'il a fini par vous lâcher (quand un -autre- client est entré.) La preuve, j'écris, j'écoute la musique et j'ai à peine mal aux cervicales, du reste ce n'est peut-être même pas pour ça. Je réfléchis. Des brigades genre internationales? Il me vient des idées terroristes, c'est ça le problème quand les flics ne peuvent faire leur boulot (trop d'appels, ils sélectionnent, les mortes en premier évidemment, on n'est pas des sauvages.)

Juste envie de prendre un flingue quoi... ma conscience morale en prend un sacré coup, car ça fait deux fois. Une femme sans mec, ici, c'est chasse ouverte A TOUS POINTS DE VUE... ou alors elle s'écrase. "Excusez moi Monsieur le Buraliste Pompiste de son état de la belle ville de Meurannes sur Cèze mais mon pauvre chien a vraiment très chaud et soif et serait-il possible, eût égard à l'immense bonté que je devine à votre regard amène et à votre allure avenante, de me vendre une bouteille d'eau et surtout de le laisser entrer ou me permettre de l'attacher à l'ombre de votre superbe officine rouge et verte décorée Total (un endroit qui pourrait éventuellement être considéré comme un lieu public mais je n'irai pas jusque là, rassurez vous et ne saurais discuter les droits que vous m'exposez si aimablement, aïe mes cervicales, devant chez vous c'est chez vous, oui oui et même l'ombre, comme elle est celle que fournit gratuitement votre magnifique boutique que vous louez si cher, sans compter les impôts je sais je sais, en un sens elle vous appartient aussi).. car dehors ça cogne trop fort et il marche depuis une demi heure, merci je vous en serai éternellement reconnaissante.. A genoux si possible, c'est mieux. 

MEEEERRRDEEE..

Je sais je sais : la misère animale (et machiste) est d'abord la misère humaine (nous détenons le record de la région la plus pauvre de France -après la Seine St Denis- et dans cette région, celui de l'endroit le plus défavorisé, un sans-faute quoi) mais zut.

http://femmesavenir.blogspot.com/2015/06/lettre-ouverte-aux-gendarmes.html

Cévennes de merde !!

Un grand mec baraqué, pompiste de son état
Il a le droit,
Et buraliste aussi.
C'est bien utile
Pour avoir de l'essence..
Sept kilomètres avec le chien
Ce n'est rien...
Mais le soleil de Satan,
Ça c'est quelque chose !

Presque plus d'arbres,
A quoi bon, la clim n'est pas faite pour...
Justement, les chiens.. ni pour les piétons
D'ailleurs de piétons il n'y en a presque plus
Forcément..

La route de mon enfance,
Celle que Marguerite faisait tout le temps
Pour moi. On arrive dégoulinants,
Je veux dire langue au sol
On rentre dans la boutique

Le bonheur de la clim,
Hurlements du Monsieur,
Pompiste de son état etc..
Non, cris d'abord, hurlements après
"Sortez ! Rentrer avec un chien!!!"
Yeux au ciel, méprisant. Pourquoi?
Dans un bureau de tabac?
Lui aussi a chaud.

Cette seule question le met en colère:
Et même l'exaspère
Attachez le dehors.
OK. Devant la porte, pas d'autre endroit.
Sagement il attend.
Il n'est pas méchant.
Je parle du chien, évidemment.

Je ressors et avant de reprendre route
Nous attendons sur le coté,
A l'ombre, assis dos à dos
Que le soleil soit un peu tombé
Il a soif. Après tout, ils vendent de l'eau?
Je l'attache à nouveau.

Le Monsieur baraqué, pompiste de son état etc..
Sort, mais en fureur cette fois.
C'en est trop ! Que faites-vous encore là?
Ça commence à chauffer..
"Là", un, c'est un lieu public.
Et deux, je veux acheter de l'eau,
Tout simplement!

OK mais pas le chien
Ici mais là : un endroit, impossible, il n'y a rien
Et.. en plein soleil !!
"Pas question ! Faites moi passer une bouteille
Et je vous paierai dehors, c'est tout."
Je le laisse. Hurlements accentués,
Cette fois mâtinés,
De gesticulations menaçantes.

Pour qui vous prenez-vous de me parler ainsi?
Je vous parlerai comme j'ai envie un point c'est tout..
Et votre bouteille d'eau vous ne l'aurez pas.
Et me referme la porte dessus avec un cri :
ET MA CLIM MERDE !!

Je la réouvre aussitôt, ça fait en peu de frais.
VOUS ALLEZ LAISSER CETTE PORTE?
Non, je ne la laisserai pas. Et je veux de l'eau.
Il est emmerdé, des clients arrivent
Un peu étonnés. La referme, je la réouvre
Et alors me saisit aux poignets et me secoue

A peu près comme un sac de blé.
Yok n'a pas bronché. (Au moins je sais à présent
Qu'il n'est pas méchant).
Je la réouvre lorsqu'il rentre, (servir, qui sait?)
Hurlements. Moi aussi.

Vous êtes un grossier macho..
Mais je veux de l'eau..
Je sais on me le dit tout le temps
Et j'en suis très fier. Maintenant dégagez
Et vite. Sans eau.
A ce point vous devriez
Changer de boulot.
Et je réouvre la porte.

Cette fois il s'avance d'un air ... un air.. ?
De vouloir tuer, tout simplement..
Me re secoue de toutes ses forces
Par les poignets pour la fermer. Je hurle.
Un client arrive, Il me lâche. A peine gêné.

Je vais appeler les gendarmes,
Vous avez cassé ma porte (?)
Mais faites donc..

Voilà. On est partis sous la cagne,
Yok et moi. Sans eau. Et les poignets..
Les gendrames.. euh gendarmes me disent
D'aller porter plainte demain.
Merci, pour ça j'ai déjà donné
Pas de témoins, sauf sa femme..
Terrorisée, qui n'avait pas bronché.

Je me vengerai autrement.
Je crois savoir comment..
On s'est baignés, non, jetés à l'eau!
En arrivant.
Il n'est vraiment pas méchant.

Cévennes de merde.

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Intuition..

Ce mec, je l'avais déjà détecté,
Sa triste jeune femme, amicale,
-Même lorsqu'on ne la connaissait pas!-
M'abreuvait de ses histoires de bêtes,
Et moi aussi. Mais parfois, imprévisiblement,
Changeait.
"Comment va votre nouveau chat" ?
"Très bien" (sec).
Son gus était derrière,
Que je n'avais pas vu.

Par la suite, juste à sa manière
De me dire bonjour, je savais
Et n'insistais pas.

Un malade, un syndrome...
De quelque chose? Michou m'avait dit :
Non en fait, il est sympa...
LORSQU'ON LE CONNAIT.
Je lui avais répondu que je détestais
les gens sympa quand on les connaissait 
Et préférais les gens sympa
Quand on ne les connait pas..