samedi 28 février 2015

Rêves érotiques à 2 ou 3 ans et théorie du genre

Mes rêves érotiques à 2 ou 3 ans. Contexte : j'avais deux fiancés -ignorant qu'on ne pouvait en avoir qu'un- l'un était un petit espagnol râblé et brun, l'autre un petit polonais fin blond avec des lunettes du dernier chic.. et je rêvais d'eux tous les soirs avant de m'endormir.. -je dirigeais mes rêves-. Au départ, j'étais le chevalier en armure qui allait délivrer la princesse -en fait, Boris- que je prenais en croupe au galop pour échapper à de féroces sicaires -le personnage du cavalier épée au clair me paraissant infiniment plus séduisant que celui de la dormeuse-... mais ensuite il m'arrivait de me "faire" princesse et c'est alors Félipe qui venait me chercher.

Maçon et artiste, une polyvalence !

Rare ? Peut être pas. En tout cas, ça m'a changé du précédent tragique (attente re attente, puis un peu n'importe quoi -aucun souci esthétique*- et enfin quand protestation, coup de boule et KO.) * Ils auront au moins, au bout, pour l'un de ? 40 ans de "carrière" (!) le nombre d'or.


A toute chose malheur est bon, comme dit le dicton ! 
L'article : les machos ou MPN sont parmi nous. http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/12/mpn-ou-assimiles-parmi-nous-au.html

samedi 21 février 2015

Nerf radial compressé, paralysie de la main; la médecine de brousse

Génial, c'est exactement ce qui m'est arrivé ! http://www.medecine-des-arts.com/Paralysie-du-nerf-radial-chez-un.html

Compression du radial suite à un endormissement inopiné sur un fauteuil dans une mauvaise position, de surcroît dans le froid : paralysie =durable!= du releveur de la main. (Aggravée chez moi par une ancienne fracture du poignet due à mon hon de chien.) Une main comme "morte". Angoisse. Hôpital, risque d'AVC?  Jusqu'à ce que je sente à l'avant bras côté externe, vers le milieu, une douleur vive à un endroit précis. L'endroit de la compression. Massage. Petit à petit, c'est revenu. Aucun médecin n'a pensé 
=1: à examiner mon poignet (le petit bout d'os se balade et là il avait changé de place) 
= 2 : à me demander comment c'était arrivé. 

Les appareils ont conduit petit à petit les toubibs à ne plus regarder ni écouter le malade mais, après coup, l'écran de l'ordinateur. Et encore : là, le bout d'os était visible même par un profane, mais pas le nerf radial compressé. Une simple palpation eût suffit pourtant à détecter la douleur et un simple interrogatoire à comprendre d'où provenait la paralysie -déjà réduite, mais pas totalement.- Je suis passée à côté d'investigations intrusive et éprouvantes -j'ai refusé d'être hospitalisée, malgré le pronostic pessimiste de l'un d'eux.-

Concours. Election de "sa majesté Bitissime 1er".. Un vainqueur potentiel.


Viendrait-on du cosmos? Créés par une civilisation supérieure? C'est raté en tout cas.

Bon : on serait donc un "élevage" expérimental initié par une espèce et civilisation lointaines qui ont voulu voir ce qu'on ferait? OK. Ils ont vu. La merde. Maintenant, il faudrait arrêter ça. Peut-être envoient-ils d'autres sphères avec d'autres ADN mieux agencés pour nous remplacer? OK.

http://www.slate.fr/story/98219/spheres-metal-microscopiques-adn-vie-terre

L'art politique, occuper la place

Éprouvante, l'attitude de certains qui, devant un public restreint -dans des troquets, dans la rue par exemple- éclatent en revendications -justifiées- agressives mais sensées... et qui devant les décideurs, se comportent en enfants.. Normal : tout est fait pour abaisser le public, séparer en deux catégories étanches les quidams et les décideurs. 

Tout donne l'impression qu'on se trouve dans une salle de classe : les tribunes, éloignées du "bas", plus hautes -du moins par rapport aux premiers rangs- ; les micros ; la disposition même de la pièce avec le rideau qui évoque une scène de théâtre -or on ne parle pas pendant la représentation ni en cours-. La politique est un art, au fond assez simple qui requiert de :
 1 Savoir parler pour ne rien dire, longuement -sans que cela ne s'aperçoive trop si possible- sinon tant pis.. 
 2 détourner du sujet de ce qui vous dérange -par quelques artefacts faciles, un langage abscons, des séries de sigles, une technicité qui en impose, des termes qui sonnent chic ("remailler le tissus social" par exemple passe bien).. 
3 Et surtout laisser couler le temps afin de donner l'impression qu'il se passe quelque chose, que l'on FAIT quelque chose (lorsqu'on ne fait que donner l'impression que l'on fait quelque chose..) La seule chose que l'on fait, c'est tenter d'accrocher quelques voix éventuelles. Pour cela, renvoyer la balle de l'un à l'autre lorsqu'on sent que quelqu'un -de non prévu dans le scénar- risque d'intervenir, pas tout à fait comme il faut.. Tout est question de patience, de nerf : au bout d'un moment, les gens, lassés, exaspérés, vont sans doute partir d'eux mêmes.. 

Si toutefois on ne peut éviter le "débat", vers la fin, le plus tard possible, annoncez d'emblée, pour bien poser les requisits -et mettre mal à l'aise- en faisant mine de le découvrir -alors que depuis le début vous avez l’œil fixé sur l'horloge- qu'il se fait tard et qu'il faudra être aussi bref que possible par égard pour... mettons le personnel de nettoyage, ça fait bien, ou trouvez quelque prétexte honorable qui vous dédouane et culpabilise le trublion vocatif. Choquant certes lorsque vous avez laissé les avertis en tribune s'auto congratuler et longuement gloser sur des sujets parfois sans rapport, mais qui va le remarquer? 

Naïf? Oui mais ça marche : la preuve : celui-là même, le verbe haut, qui dans un troquet ne laisse parler personne, ne bronchera pas une oreille. Il se défoulera sitôt arrivé dehors, exposant avec parfois une grande pertinence tout ce qu'il n'a pas pu pointer durant trois ou quatre heures... se justifiant benoîtement lorsqu'on le lui reproche "mais c'est parce qu'ils ne nous ont pas laissé parler.."   




 

Une réunion type d'une pré campagne électorale... ou l'art d'empêcher les gens de s'exprimer












L'article
http://femmesavenir.blogspot.com/2015/02/la-ligne-de-train-ales-besseges.html

Le dossier



 

vendredi 20 février 2015

La ligne de train Alès Bessèges




... fermée depuis presque 3 ans.. Jusqu'en Juillet selon le protocole. Et des réunions initiées par des Mairies -élections obligent? peut-être-, des politiques mais aussi l'association qui depuis des années tente désespérément de la faire rétablir (PC semble-t-il). L'isolement des villes et villages -Molières, Robiac, Bessèges..) est poignant. 

 D'abord on a droit à quelques congratulations inévitables des éluites -élites- organisatrices.. longuettes, vraiment, puis une sorte de ? disons cours simplifié d'urbanisme par diapo, un peu roboratif -quoique par moments intéressant- qui nous "apprend" (!) que nous sommes une des régions les plus pauvres de France et de surcroît sis dans la zone la plus pauvre de cette région... (!) ce qu'on savait déjà et dont on souffre tant et plus. D'où la nécessité de ce train.. Idem. Cet exposé qui adressé à un autre public aurait pu être intéressant ici sonne d'une manière particulièrement cruelle. On nous explique qu'il faut resserrer le "tissus social", lutter contre l'isolement des gens, -faire en sorte par exemple que les recherches d'emploi soient facilitées, 19% de chômeurs à Molières- etc... c'est A DIRE EXACTEMENT L'INVERSE DE CE QUI SE PRATIQUE RÉELLEMENT ! Une heure environ. Insupportable. C'est une "érude" (je laisse) censée démontrer la nécessité du train... devant un public qui en principe est justement là pour le réclamer ! 

Il s'agit probablement d'occuper le temps, le terrain. Viennent encore des interventions qui sont pour la plupart, soit des professions de foi, soit des justifications, par exemple celle du Conseil Régional représenté par une dame un peu ennuyée.. le conseil Régional donc qui refuse (?) de donner sa part dans les travaux. Il faut dit-elle un audit, -je résume-. [Par la suite le Président de l'Association pour la remise en circulation du train observera qu'avec tous les audits qui ont été demandés et exécutés, on aurait déjà pu faire les travaux.] La dame a dit-elle été missionnée par un certain (?) Navaro -mais ce n'est pas le Commissaire- qui semble-t-il -je l'apprends ensuite de cheminots sortis comme moi agacés fumer leur clop- est mis en examen pour détournement de fonds -des frais de "bouche" pharamineux.- Sans commentaires. (!) 

Une technique de base pour éviter le débat apprise par tout militant qui brigue un avenir, quelqu'il soit. Des gens cependant étaient venus pour protester contre l'absence de cars -hors des périodes scolaires- et l’impossibilité pour eux de se rendre à Alès à des rendez vous parfois fixés le matin à 9 heures (!) quitte à risquer de se faire radier, des gens qui en public, dans les troquets, gesticulent mais qui là se sont comportés en soumis qui écoutent et ne démentent pas même les "erreurs" ou les mensonges les plus flagrants ("il y a 4 ou 5 cars par jour Alès Bessèges"..*) Partie gagnée donc pour les politiques : ils ont fait "quelque chose" (on est en période pré électorale) mais n'est-ce pas, c'est tellement difficile qu'on n'a pas pu... céléfota etc..

ON COMPLEXIFIE INTENTIONNELLEMENT UNE SITUATION POUR ENSUITE PRÉTENDRE NE PAS PARVENIR A LA RÉGLER MALGRÉ TOUT LA BONNE VOLONTÉ QU'ON Y MET ETC ETC... 

La cause? Économies -de bouts de chandelle?- Indifférence? Ou qui sait, si on va plus loin, machiavélisme : des gens isolés, dépendants, dans une misère noire, sont plus faciles à manier.

Le dossier


jeudi 19 février 2015

Les femmes et les juges, à propos de la femme à moitié assassinée par son ex en prison à laquelle on demande de lui donner des nouvelles de leurs jumeaux!



http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/lemonde/archives/2015/02/20150218-112155.html#.VOWT_KpjwDo.facebook

Son avocat a juste demandé des DI? Pige pas : IL FAUT QU'IL RETOURNE A L'ENVOYEUR, merde ! Classique hélas, ça me rappelle des trucs : lorsque j'ai porté plainte, d’abord pour harcèlement -contre un ex qui ne comprenait pas le sens du mot "fin", par ailleurs ancien guérilléro (!) d'où le danger MAJEUR- .. Rien ! Puis il y a eu les coups qui ne m'étaient pas destinés mais à mon ex mari, -je m'étais interposée et c'est moi qui avais pris-, re plainte.. cette fois c'est plus sérieux mais... rien ne suit -"ça prend du temps" me dit-on-. 

Mais "ça" se calme, ouf, merveille, plus d'état de siège toute la nuit, lui posté devant chez moi -armé? sans doute-, de tentatives de fracturer ma porte, de faire exploser la chaudière etc.. je revis.. sauf que 6 mois après, j'ai une convocation au tribunal pour le procès. Je n'y croyais plus. 

O stupeur !! Il est déjà en prison mais pas pour moi, pour harcèlement et coups -sur une autre- ce qui correspond d'ailleurs exactement au moment où il m'a enfin foutu la paix!! J'arrive -après une nuit blanche- à 9 heures pétantes comme il m'a été demandé. Et là, j'attends... TOUTE LA MATINÉE, il n'a pas d'avocat il lui en faut un/e, on la lui trouve et elle est du genre sérieux, elle veut "étudier le dossier" avec lui. Moi je ne sais rien, on ne me dit rien, je n'en peux plus, l'avoir revu -enchaîné- m'a bouleversée. Ses regards se tournent vers moi tout le temps. Vers midi (!) ça y est enfin, l'avocate est prête. Je suis appelée à la barre et dois m'installer.. à ses cotés, on dirait un procès en divorce (!!) je tremble de tous mes membres...  

On lui demande -fort gentiment- de s'expliquer. Moi je n'ai pratiquement pas le droit de dire quoi que ce soit.. et pas d'avocat, je n'ai pas pensé qu'il m'en fallait un, erreur. Il se défend fort bien, usant de son charme -réel- sur le thème de la passion amoureuse, son avocate appuie à fond, c'est un jeune homme amoureux fou qui s'y est cru et a été rejeté -comme une serpillière? Ce n'est pas dit mais largement sous entendu- lorsque le mari est revenu... bla bla.. (faux, archi faux évidemment, la rupture avec le cogneur datait d'avant et je n'avais plus de relations avec mon ex depuis longtemps) : qu'importe, une femme fatale je suis devenue. Je sors écœurée -j'avais voulu intervenir, indignée par ce roman rose totalement inventé, le juge m'avait plus ou moins tancée, et écouter encore était au dessus de mes forces-. Je reviens lorsqu'elle a fini. Résultat : 6 mois fermes.. Bien, c'est correct... mais.. CONFONDUS avec sa "première peine" jugée en flag... DONC RIEN. Il n'est même pas considéré comme récidiviste CAR IL EST ENCORE DANS LE DÉLAI DE L'APPEL pour sa première condamnation. 

Je me permets tout de même de signaler aux juges que s'ils avaient tenu compte de mes dires sur son extrême dangerosité, s'ils l'avaient immédiatement jugé pour les faits commis à mon/notre encontre, il n'y aurait jamais eu de seconde affaire, apparemment plus grave.. -j'en ignore le détail sauf que les coups cette fois ont été portés sur la femme et devant son enfant-. (On m'envoie plus ou moins sur les roses.) 

Ouf ! me voilà tranquille tout de même à présent pour.. disons un certain temps, crois-je. Erreur. NON , pas du tout! ! Je reçois depuis la prison une lettre sur la même veine que les habituelles : menaces vis à vis de moi, de mon ex et surtout de mes enfants.. ET IL EST EN TAULE JUSTEMENT POUR HARCÈLEMENT !! Un gag. J'appelle aussitôt le tribunal : "ne quittez pas".. et j'obtiens enfin la bonne personne qui me certifie que "ça ne se reproduira plus". Dans la foulée, je lui demande, je la supplie plutôt ! de me prévenir lorsqu'il sortira -car il risque d'être libéré à mi peine. "Bien sûr, n'ayez crainte, ça va de soi.."-

Et peu après, en rentrant chez moi un soir, JE LE VOIS DEVANT MA PORTE, M'ATTENDANT!! par chance, souriant, d'humeur charmante, tout content d'être dehors... Il a finalement "renoncé à me tuer" m'annonce-t-il gentiment (et entre nous ça peut peut-être reprendre -note, c'est moi qui l'ai quitté !- car il "m'a pardonné" -sic!!- "j'ai surement été téléguidée par mon salaud d'ex" etc... etc...) Burlesque, si l’on veut. Donc il avait changé d'avis -sinon je ne serais pas là!- La justice? Une question : que vaut la peau d'une femme?