La polémique sur une princesse..

"QUAND ON PENSE A CELLES EN FRANCE QUI NOUS EM. AVEC LEURS VOILES, LEURS MASQUES ET AUTRES ÂNERIES.." selon un internaute.. Mmmm.. qui trop embrasse mal étreint. {Par ailleurs on observe la présence de gardes du corps en nombre, dont la plus "rapprochée", une jeune femme qui elle n'est certainement pas là pour faire les boutiques..}

Réponse: peut-être n'est-elle pas tout à fait un exemple significatif. Ce n'est pas elle en tout cas que je citerais comme image édifiante pour les "sottes" comme vous dites, de Paris ou sa banlieue.  
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Mais tout de même, (réponse à un autre) dire qu'elle ne "risque rien, elle" et que "le haut se permet ce que le bas ne peut pas" n'est pas tout à fait exact. Il est arrivé que des filles d'émir (la nièce du roi très exactement, nommée "Mikhal" dans le livre qui lui a été consacré par une infirmière -puéricultrice? nounou?- française employée d'une des nombreuses sœurs de celui-ci, dont à été tiré un film "La mort d'une princesse"*) soient elles aussi lapidées, mais plus discrètement. La jeune femme avait 18 (?) ans et voulait divorcer d'un cousin (un mariage de pure forme mais bien qu'ils se voyaient peu voire pas et que lui enchaînât les aventures au su et au vu de tous, photos.. il refusait)... Bref, ayant découvert l'amour, elle tenta de s'enfuir avec son ami, déguisée en garçon mais fut reconnue à l'aéroport.. le gars a été décapité au sabre illico, elle lapidée le lendemain dans un parking. 

Une autre observation : l'érotisme affiché de certaines femmes arabes n'est pas incompatible avec le port du voile! Et celle ci, dans son pays, le porte certainement. Il me souvient d'une amie marocaine très belle, très sexy dans le genre que l'on voit ici, qui chez elle se vêtait à peu près de la sorte (où cependant venaient de nombreux visiteurs)... et qui dehors se voilait (sans excès, élégamment.) Voir lien à la fin.

Note : d'après l'auteure, parmi les expatriés français ou européens, en général de haut vol, installés à la cour et payés à prix d'or (architectes, hommes d'affaires, médecins, infirmières, enseignants, artistes) aucun ne s'est mêlé de l'affaire ou pire, ils ont tous à mi mot pris le parti du père assassin.. et si l'auteure dit vrai, elle même qui se serait insurgée et qui était soudain devenue persona non grata auprès d'eux, -relations cordiales de la veille-, aurait couru un risque.. Elle dût et put fuir fissa aidée de sa patronne qui lui aurait su gré d'avoir contribué à la guérison de son bébé, était malade lorsqu'elle était arrivée.

Par ailleurs, je ne recommanderais pas le livre* qui n'est pas dénué d'un certain racisme narcissique style "Alice chez les sauvages ou l'apprentissage de la civilisation par des barbares dangereux".. comme celui de Betty Mahmoudy.. mais cela ne signifie pas que tout ce qu'elle dit soit faux. C'est justement son total désengagement éidétique qui confère à son brûlot tout son poids.

 *Après réflexion, si, je le recommande.. parce qu'il a disparu ! introuvable et même sur le net, aucune trace : le film qui en a été tiré a même été déprogrammé sur les pressions de l'Arabie Saoudite (la jeune femme lapidée est la nièce du roi, qui du reste, paraît-il, se serait opposé à l'exécution mais n'aurait pas pu persuader son frère de faire "grâce" à Mikhal) puis il a fini par passer mais quasiment en catimini, une seule fois et longtemps après.. ce qui a valu à l'Angleterre la perte de marché importants et le rappel de son ambassadeur.. Quant au livre, PLUS AUCUNE TRACE donc. Il est probable que l'éditeur a reçu les mêmes pressions et l'a retiré de la vente ou ne l'a plus réédité. Paradoxalement, je le recommande au moment où il n'est que très difficilement disponible -peut-être d'occasion?- Un des très rares site à en parler (et lisez en quels termes prudents jusqu'au comique, quasi pinailleurs -mais sans doute l'auteure n'a-t-elle pas le choix..) est ici (lien) http://forum.mejliss.com/polemique-mort-de-princesse-mashail-bint-fahd-al-saud. Quant aux liens auxquels elle renvoie, inutile de les tenter : AUCUN NE FONCTIONNE, PAS PLUS QUE LA VIDÉO. Merci qui ?