Propos de troquet -un peu perdu dans la montagne certes- :
"Les femmes, c'est plus sournois, ça fait ses coups en dessous. D'ailleurs, j'ai pas d'ami es, mais des ami is, si, quelques uns. Si je voulais, j'en connais qui seraient plus mariés par ici surtout marié es mais je dis rien. Au fond je m'en fous, les cancans, moi, c'est pas mon truc, comme certaines, j'ai toujours été garçon manqué, bosseuse, droite, comme un homme. Seulement faut pas qu'on m'embête parce que moi c'est direct, je leur fais bien comprendre. Je suis comme ça, point. A prendre ou à laisser. C'est que je déteste l'hypocrisie, moi et quand je les vois bisouiller et gan gnan gnan, gnan gnan... des gens qu'ils et surtout elles dézinguent ou bafouent par derrière, ça me fout les boules. Et ici tout se sait. C'est ça les femmes."
La "jalousie" (? quel mot employer?) même sans objet (car la tanante -euh, tenante- de ces propos n'est ni vraiment laide ni handicapée ou complètement idiote, pas davantage très pauvre voire célibataire sans enfants).. la "jalousie" donc est prégnante chez certaines, exercée prioritairement contre leur propre* genre, contre qui, arrivant en out sider semble -peut-être?- plus apprécié/e, plus sympa, mieux foutue... ? ou au contraire moins bien, -mal fringuée, crade- de toutes manières cela aussi lui sera reproché. Dans des lieux clos où règnent des ou UNE femelle dominante sur un Cour de messieurs parfois un peu courts, malheur à celle qui survient et de fait capte sans le vouloir l'attention des client/es comme toute nouveauté venant égayer l’atmosphère. Triste ? Oui.
* Elle est pire chez les hommes cela va sans dire mais souvent moins subtile.
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