Suite de : http://femmesavenir.blogspot.com/2015/05/face-book-et-le-gourouisme-virtuel.html
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Chassez le gourou, il revient au galop (c'est à dire qu'un autre se propose pour le job.) Le "gourouisme", comme le pouvoir, a horreur du vide. Lorsqu'un est déchu, un autre se présente. Leur champs de recrutement : ceux/celles QUI ONT DÉJÀ SUBI UN GOUROU, justement, et ont fini par le virer ou s'en détacher. (Car le gourou n'a pas de limites, il en veut toujours plus et il arrive tout de même que ses victimes épuisées le fuient). La clientèle est toute trouvée, le boulot est mâché. Question : les ficelles sont parfois énormes* : comment des gens (souvent des femmes) intelligent/es, talentueux/ses, créatifs/ves se laissent-elles leurrer par exemple par qui d'évidence n'a aucune surface intellectuelle et cherche à les manipuler, les ABSORBER (c'est à dire le pouvoir, du moins sur elles) ? Même sans bénéfices autres à la clef ? Avons-nous (ou certaine/es d'entre nous ont-elles) besoin de gourou ? Comme d'hommes politiques, de foi, de croyances ? d'être exploitées? Méprisées? On le croirait: des gens fragilisés et hop le gourou (vocatif) s'offre, s'engouffre. Chaque fois le même, chaque fois différent..
* Par exemple un "voyant/e" remplaçant un "psy" (un faux psy) etc.etc.. le second pouvant être potentiellement plus dangereux (car soi disant en hot ligne avec Jésus ou autre personnalité remarquable). Un moyen radical de les détecter (du moins les pas-futés) : ils refusent toujours le débat, même un débat soft, soit directement (agressivité inappropriée) soit pour les plus malins, indirectement (bottage en touche).. voire toute critique ou ce qu'ils prennent pour telle et toute tentative de recherche ou seulement d'étude sur un sujet qu'ils ont eux mêmes lancé et qui est leur cheval de bataille. L'autre est là POUR LA CLAQUE, pour opiner, c'est tout. Leurs "interrogations" (pour les plus intellos) sont de fausses interrogations et toute réponse ou rebond réels les insupporte et se trouve taclée sec. Car ils sont sur leurs gardes, eux qui évidemment cherchent des gens qui ne le sont pas. Un avare recherche un dispendieux ; un exploiteur, un candide ; un égoïste, un généreux etc.. Et une seule personne observant "le roi est nu" démolit leur construction souvent rudimentaire. Tous vont le voir tel qu'il est.. et rire. Astuces grossières mais qui fonctionnent -sur le net surtout- : susciter des baron/nes (comme font les pubs : lettres, messages dithyrambiques de satisfaction, de remerciement.. qui sont parfois reconnaissables justement par leur outrance.)
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Chassez le gourou, il revient au galop (c'est à dire qu'un autre se propose pour le job.) Le "gourouisme", comme le pouvoir, a horreur du vide. Lorsqu'un est déchu, un autre se présente. Leur champs de recrutement : ceux/celles QUI ONT DÉJÀ SUBI UN GOUROU, justement, et ont fini par le virer ou s'en détacher. (Car le gourou n'a pas de limites, il en veut toujours plus et il arrive tout de même que ses victimes épuisées le fuient). La clientèle est toute trouvée, le boulot est mâché. Question : les ficelles sont parfois énormes* : comment des gens (souvent des femmes) intelligent/es, talentueux/ses, créatifs/ves se laissent-elles leurrer par exemple par qui d'évidence n'a aucune surface intellectuelle et cherche à les manipuler, les ABSORBER (c'est à dire le pouvoir, du moins sur elles) ? Même sans bénéfices autres à la clef ? Avons-nous (ou certaine/es d'entre nous ont-elles) besoin de gourou ? Comme d'hommes politiques, de foi, de croyances ? d'être exploitées? Méprisées? On le croirait: des gens fragilisés et hop le gourou (vocatif) s'offre, s'engouffre. Chaque fois le même, chaque fois différent..
* Par exemple un "voyant/e" remplaçant un "psy" (un faux psy) etc.etc.. le second pouvant être potentiellement plus dangereux (car soi disant en hot ligne avec Jésus ou autre personnalité remarquable). Un moyen radical de les détecter (du moins les pas-futés) : ils refusent toujours le débat, même un débat soft, soit directement (agressivité inappropriée) soit pour les plus malins, indirectement (bottage en touche).. voire toute critique ou ce qu'ils prennent pour telle et toute tentative de recherche ou seulement d'étude sur un sujet qu'ils ont eux mêmes lancé et qui est leur cheval de bataille. L'autre est là POUR LA CLAQUE, pour opiner, c'est tout. Leurs "interrogations" (pour les plus intellos) sont de fausses interrogations et toute réponse ou rebond réels les insupporte et se trouve taclée sec. Car ils sont sur leurs gardes, eux qui évidemment cherchent des gens qui ne le sont pas. Un avare recherche un dispendieux ; un exploiteur, un candide ; un égoïste, un généreux etc.. Et une seule personne observant "le roi est nu" démolit leur construction souvent rudimentaire. Tous vont le voir tel qu'il est.. et rire. Astuces grossières mais qui fonctionnent -sur le net surtout- : susciter des baron/nes (comme font les pubs : lettres, messages dithyrambiques de satisfaction, de remerciement.. qui sont parfois reconnaissables justement par leur outrance.)
Moralité :
Donc si vous avez été victime de pervers (le pervers est une sorte de gourou privé, à son compte qui oeuvre dans un umwelt restreint) méfiez vous, y compris de ceux qui veulent vous en sortir, individuels ou collectifs. Vous êtes leur zone de nidification, leur lieu de prédilection. Vous en virez un et vous en trouvez un autre, idoine OU PIRE* ; vous quittez un groupe... et suscitez sur un autre des vocations semblables etc.. Interrogez-vous : pourquoi cette personne que parfois vous connaissez déjà a-t-elle surgi devant vous, insistante, juste à ce moment? PARCE QU'ELLE ÉTAIT A L’AFFÛT, simplement. D'un manque chez vous, d'un stress, d'une faiblesse.. Depuis longtemps parfois.
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DES CAS .. PARTICULIERS. RASPOUTINE, GURDJIEFF
bien du coté de Youssoupov que de sa victime!- ; Gurdjef, -le "mage" brillant, hyper cultivé, séduisant, mais complètement allumé qui drainait pourtant autour de lui une bonne part de l'aristocratie intellectuelle en vue, notamment Katerine Mansfield, probablement Pauwels quoiqu'il en ait dit ensuite-.. etc..
*http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/12/mpn-ou-assimiles-parmi-nous-au.html
** Il réussit à soulager -voire faire totalement cesser- les douleurs du tsarévitch à trois reprises, l'enfant étant déclaré perdu par les médecins pour l'une de ces trois fois, d'où la foi inébranlable en lui de la tsarine et du tsar qu'il appelait "petit père" et "petite mère" et qui exécutaient -presque- tous ses ordres.
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