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Les religions -dites "cultures"- levain
de l'exclusion et du racisme
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RACISME ET UNIONS "CIS-TRANS"
Lettre -entr'ouverte- à quelqu'un/e dont la famille "n'est absolument pas raciste"... sauf que le mariage du Fils avec une Trans fut l'équivalent d'un tsunami ou d'un séisme de magnitude 8 dont les secousses ébranlèrent au delà des océans trois continents. Aucun détail sur la "catégorie" des protagonistes, cela peut se lire dans tous les sens (noir-blanc, musulman-chrétien, juif-goy etc.. et vice versa, avec toutes les inépuisables variations sur le thème). On dira donc "Cis" pour les membres du Klan et "Trans" pour tous les "autres", -les "non-Cis"-. Le pire est la mémoire en pointillés et le déni qui, inversant les termes du rapport, font du racisé/e une espèce de monstre historique : on l'a dézingué, non pas parce que Trans, mais parce que trop -ou pas assez- azerty.. Tous les racisés sont ainsi contraints à une bagarre permanente qui les corrode, les épuise et les détruit, sans exception. Que faire ? Ici rien, le mal est fait, sauf dénoncer car c'est le silence [qui semble tolérer, justifier et corroborer] qui permet que ces affaires perdurent en toute bonne conscience, voilure hissée gonflée au vent poussant joyeusement le navire bien armé vers d'autres victimes. Sociologiquement, ça s'appelle l'endogamie stricte. Biologiquement, l'épuisement des gênes. Philosophiquement, le racisme. Et au sens commun, la connerie.
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- Je n'oublierai pas ce que tu m'as fait quand j'étais au B..
- Tu en oublies juste les raisons : le racisme de ta famille qui t'avait fondé à m'interdire (m'interdire!) de t'y accompagner.
- Ma famille n'est absolument pas raciste! tu délires.
(Fuite rapide, la discussion est close.. Triple zut, mon dos en ce moment m'empêche de suivre. Mais, merci google, vivent les mails..)
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- Pas racistes, ceux qui, à l'époque de leur splendeur déniaient le massacre des indiens -les indiens qui étaient, comme tu ne l'ignores pas, tirés à vue comme du gibier pour leurs terres?- Pas raciste, celle qui croyait sincèrement que les noirs avaient une queue? Pas raciste, celui qui m'a traitée d'usurpatrice (!) quand je me suis présentée comme "Madame B"? Pas racistes, ceux qui refusèrent de me saluer lors de la réception de.. "bienvenue" (non, ce n'est pas un gag !) etc.. ? Si cela n'est pas du racisme, alors, qu'on me montre ce qu'est le racisme.
Oui, j'ai "suivi" Bernoud [mon psy, certes pas sans reproches par certains côtés mais bon..] : "si vous acceptez d'être ainsi traitée, vous le méritez : réagissez, divorcez immédiatement .. sinon la cure, c'est fini, pas question de vous réparer à l'infini pour que, aussitôt rafistolée vous sautiez avec votre attelle dans la mare".. et oui, ça m'a libérée et même fait rire, Bernoud était épaté "je vois que ça va mieux rien qu'à votre sourire". Rien que pour ce soulagement, ce poids en moins sur le coeur, ça valait le coup. Même pour toi. Aurais-tu aimé une serpillère? (Quoique..) Oui, je VOULAIS QUE TU ME VOIES, NE ME RACCROCHES PAS AU NEZ QUAND J'APPELAIS COMME CHAQUE FOIS. Oui, là, tu m'as vue... et n'as pas raccroché -c'est moi qui ai coupé-. Et non, je n'ai pas à me justifier -bien que je le fasse ici plus ou moins-. Oui, je croyais t'avoir retrouvé à Toulouse et non, tu n'en as pas "profité". Oui, tu laisses glisser la vie devant toi et oui, tu traînes dans ton sillage un parfum de lassitude, d'égotisme et de désespoir, involontairement (?) cruel*. [Oui, tu m'as laissé affronter le viol quand un mot de toi me l'aurait épargné. Oui, tu n'as eu ensuite qu'une femme abîmée qui se remet à peine des années après.] Et oui, tu sembles mépriser et détester les femmes parce qu'on t'a formaté avec l'idée qu'elles étaient futiles, idiotes, dangereuses, volages, vénales et minables... et non, tu n'as rien compris : oui, tu me navrais et me terrorisais en m'imposant ces humiliations et non, à présent, ce n'est plus le cas : de tels propos, je ne les accepte plus. Pour que je puisse exister, être digne, j'ai dû m'arracher l'amour que j'ai de toi, redevenir moi. Tu es (...) et tu oses me reprocher des foutaises pour te débarrasser tête haute de moi ou plutôt -car je me suis "débarrassée" toute seule- réécrire l'histoire en préservant ton image, occultant juste ses prémisses et quelques détails y afférent c'est à dire l'essentiel, la base et les fondations de l'édifice, faisant ainsi de moi une garce. Pas très "fair", isn'it?...
- Tu en oublies juste les raisons : le racisme de ta famille qui t'avait fondé à m'interdire (m'interdire!) de t'y accompagner.
- Ma famille n'est absolument pas raciste! tu délires.
(Fuite rapide, la discussion est close.. Triple zut, mon dos en ce moment m'empêche de suivre. Mais, merci google, vivent les mails..)
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- Pas racistes, ceux qui, à l'époque de leur splendeur déniaient le massacre des indiens -les indiens qui étaient, comme tu ne l'ignores pas, tirés à vue comme du gibier pour leurs terres?- Pas raciste, celle qui croyait sincèrement que les noirs avaient une queue? Pas raciste, celui qui m'a traitée d'usurpatrice (!) quand je me suis présentée comme "Madame B"? Pas racistes, ceux qui refusèrent de me saluer lors de la réception de.. "bienvenue" (non, ce n'est pas un gag !) etc.. ? Si cela n'est pas du racisme, alors, qu'on me montre ce qu'est le racisme.
Oui, j'ai "suivi" Bernoud [mon psy, certes pas sans reproches par certains côtés mais bon..] : "si vous acceptez d'être ainsi traitée, vous le méritez : réagissez, divorcez immédiatement .. sinon la cure, c'est fini, pas question de vous réparer à l'infini pour que, aussitôt rafistolée vous sautiez avec votre attelle dans la mare".. et oui, ça m'a libérée et même fait rire, Bernoud était épaté "je vois que ça va mieux rien qu'à votre sourire". Rien que pour ce soulagement, ce poids en moins sur le coeur, ça valait le coup. Même pour toi. Aurais-tu aimé une serpillère? (Quoique..) Oui, je VOULAIS QUE TU ME VOIES, NE ME RACCROCHES PAS AU NEZ QUAND J'APPELAIS COMME CHAQUE FOIS. Oui, là, tu m'as vue... et n'as pas raccroché -c'est moi qui ai coupé-. Et non, je n'ai pas à me justifier -bien que je le fasse ici plus ou moins-. Oui, je croyais t'avoir retrouvé à Toulouse et non, tu n'en as pas "profité". Oui, tu laisses glisser la vie devant toi et oui, tu traînes dans ton sillage un parfum de lassitude, d'égotisme et de désespoir, involontairement (?) cruel*. [Oui, tu m'as laissé affronter le viol quand un mot de toi me l'aurait épargné. Oui, tu n'as eu ensuite qu'une femme abîmée qui se remet à peine des années après.] Et oui, tu sembles mépriser et détester les femmes parce qu'on t'a formaté avec l'idée qu'elles étaient futiles, idiotes, dangereuses, volages, vénales et minables... et non, tu n'as rien compris : oui, tu me navrais et me terrorisais en m'imposant ces humiliations et non, à présent, ce n'est plus le cas : de tels propos, je ne les accepte plus. Pour que je puisse exister, être digne, j'ai dû m'arracher l'amour que j'ai de toi, redevenir moi. Tu es (...) et tu oses me reprocher des foutaises pour te débarrasser tête haute de moi ou plutôt -car je me suis "débarrassée" toute seule- réécrire l'histoire en préservant ton image, occultant juste ses prémisses et quelques détails y afférent c'est à dire l'essentiel, la base et les fondations de l'édifice, faisant ainsi de moi une garce. Pas très "fair", isn'it?...
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Non. Mais ta famille -du moins ceux que j'ai cités-, si. Elle baigne dans la mare : ceux comme toi qui disent s'en être démarqués, lorsque l'orage menace, se taisent, plongent et font semblant de chercher des vers dans la vase. C'est même un principe fondateur clairement énoncé : il y a "les nôtres" -les humains- et "les autres". Tu tentes de noyer le poisson, on partait de mon humiliation lorsque tu as refusé (!) que je t'accompagnasse au B. et de ce qui s'en est suivi. Je t'ai répondu -ce que tu savais fort bien- qu'il s'agissait d'une riposte au racisme que tu avais fait tien [certes, en te soumettant à celui d'autres, mais cela revient au même car eux aussi peut-être se soumettaient à d'autres etc..] c'est même pire car d'eux, je me foutais, pas de toi : ça m'a littéralement déchirée. Et je le maintiens ; tu m'as alors lancé -hier- que "ta famille n'était pas raciste" (!!) et, bien que tu ne pusses l'ignorer, je t'ai fourni quelques exemples au sujet desquels, il m'en souvient, toi même avais protesté à l'époque.
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Épuisant de ressasser qu'il fait jour à midi : tu les connais mieux que moi mais ta mémoire sélective (comme tous mais là, c'est géant) le requiert ; il y a un progrès cependant : après avoir tenté quelques diversions, tu reconnais tout de même leur racisme.. mais en essayant de l'excuser : ils ne sont pas aussi cultivés que moi (!) Foutaises, 1 ce n'est pas une raison et 2 cela n'a rien à voir : c'est à Clé, tout enfant, que j'ai appris ce que je suis, des mineurs -de charbon- dont mon père fut -certes brièvement-. Toi, comme les tiens, as appris ce que tu es aux Champs Élysées ou l'équivalent.. donc si c'est une question de culture -au sens de connaissances, ce que je ne crois pas-, ayant eu toutes les possibilités de l'acquérir, leurs "lacunes" si l'on peut dire, sont révélatrices. Ne me la joue pas "pauvre petit/e paysan/ne", le personnage va comme des lunettes à un canard à ceux auquel tu le fais endosser.
Non. Mais ta famille -du moins ceux que j'ai cités-, si. Elle baigne dans la mare : ceux comme toi qui disent s'en être démarqués, lorsque l'orage menace, se taisent, plongent et font semblant de chercher des vers dans la vase. C'est même un principe fondateur clairement énoncé : il y a "les nôtres" -les humains- et "les autres". Tu tentes de noyer le poisson, on partait de mon humiliation lorsque tu as refusé (!) que je t'accompagnasse au B. et de ce qui s'en est suivi. Je t'ai répondu -ce que tu savais fort bien- qu'il s'agissait d'une riposte au racisme que tu avais fait tien [certes, en te soumettant à celui d'autres, mais cela revient au même car eux aussi peut-être se soumettaient à d'autres etc..] c'est même pire car d'eux, je me foutais, pas de toi : ça m'a littéralement déchirée. Et je le maintiens ; tu m'as alors lancé -hier- que "ta famille n'était pas raciste" (!!) et, bien que tu ne pusses l'ignorer, je t'ai fourni quelques exemples au sujet desquels, il m'en souvient, toi même avais protesté à l'époque.
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Épuisant de ressasser qu'il fait jour à midi : tu les connais mieux que moi mais ta mémoire sélective (comme tous mais là, c'est géant) le requiert ; il y a un progrès cependant : après avoir tenté quelques diversions, tu reconnais tout de même leur racisme.. mais en essayant de l'excuser : ils ne sont pas aussi cultivés que moi (!) Foutaises, 1 ce n'est pas une raison et 2 cela n'a rien à voir : c'est à Clé, tout enfant, que j'ai appris ce que je suis, des mineurs -de charbon- dont mon père fut -certes brièvement-. Toi, comme les tiens, as appris ce que tu es aux Champs Élysées ou l'équivalent.. donc si c'est une question de culture -au sens de connaissances, ce que je ne crois pas-, ayant eu toutes les possibilités de l'acquérir, leurs "lacunes" si l'on peut dire, sont révélatrices. Ne me la joue pas "pauvre petit/e paysan/ne", le personnage va comme des lunettes à un canard à ceux auquel tu le fais endosser.
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"A mon avis, il faut distinguer le produit de la culture, les mots véhiculés par le langage qui a certes une raison idéologique mais ne permet de faire une transposition directe avec l'adjectif. Celui ci doit être conscient et voulu ainsi. La plupart du temps ce n'est pas le cas."
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? Je ne pige rien. Clair comme du jus de chique.
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"Parce que tu as fait des études et tu passes ton temps à réfléchir sur l'écriture et la signification des mots tu accuses facilement."
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Et re belotte! Penser c'est se positionner, juger, je ne vois pas comment il pourrait en être autrement. Penser, c'est dire "non" ou "oui mais". Le signe d'opiner est souvent celui d'un homme qui s'endort.
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"C'est le droit dit "supérieur" de la culture. Tu peux dénoncer facilement. C'est plus facile que de chercher à comprendre et d'aider à changer. Tu es sur ton piédestal, c'est tellement plus commode."
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Penser c'est justement chercher à comprendre et à changer les choses, ne serait-ce qu'en les publiant ensuite, ce que je fais. Mais comprendre s'entend de deux manières : parfois il revêt un sens plus affectif que philosophique et signifie être d'accord, adhérer, (par exemple dans l'expression "je vous comprends") voire compatir (je
vous "prends" avec -moi-).. L'autre sens est "analyser", chercher ; il est vrai que, pris dans le premier, presque inévitable, je ne cherche pas plus à
"comprendre" Hitler que tous ceux faits de la même farine -par contre, à analyser, oui car c'est opératoire et universel-. Se fourvoyer dans ces eaux troubles de la compréhension psychologique est vain et suspect : à trop se pencher sur la mare, on risque d'y glisser et de faire de la victime un coupable. Qu'Hitler ait subi d'infinies humiliations, fils unique d'une mère seule, pauvre et de surcroît malade -qu'il dut soigner jusqu'à la fin, l'horreur-, réussissant mal, malgré ses efforts, à l'école où on se moquait de lui... importe peu, ce qui importe, ce sont les victimes qui elles aussi peut-être avaient subi etc.. et de chercher comment détecter et vaincre le fascisme. Nous n'avons pas 2000 ans de vie..
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"N'est ce pas une autre forme de racisme ?"
? La pensée? Pige pas.
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"Désolé M. n'a pas fait d'études; ses croyances sur les noirs sont preuves plutôt de manque de réflexion, d'intelligence peut-être et sont plutôt risibles. Elle n'a fait de mal à personne. Ce n'est pas un racisme conscient."
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!! Redite : ne me la joue pas "pauvre petite analphabète".
1 : Si, et tu ne l'ignores pas, elle avait fait des études et était relativement cultivée. 2 : non, elle n'était pas idiote ni ne manquait de réflexion sur les domaines qui l'intéressaient et 3 : non, qu'elle ait cru que les noirs avaient une queue ne me fait pas plus rire que l'antisémitisme qui exsude du "Juif Süss", qui, dans le film, est, comme tous, représenté comme hideux, taré, aux pieds plats, en canard, palmés, aux oreilles en chou fleur.. car ce fut les prémisses de la Shoah. Et oui, par ces croyances et attitudes afférentes, elle a fait du mal ; à beaucoup ; à d'autres Trans, à tous et même à toi. Le racisme tue : les gens (J-M) et l'amour. Faudrait-il excuser les auteurs du film parce qu'ils ont eu une terrible enfance? On commence par démolir, avilir un groupe de gens, de manière hallucinatoire -laideur physique, difformités, queue!- et puis, si on en a le pouvoir et si c'est rentable -une simple question de hasard- on les tue : ça ne sera pas une grande perte, bien au contraire. Les mots tuent.
1 : Si, et tu ne l'ignores pas, elle avait fait des études et était relativement cultivée. 2 : non, elle n'était pas idiote ni ne manquait de réflexion sur les domaines qui l'intéressaient et 3 : non, qu'elle ait cru que les noirs avaient une queue ne me fait pas plus rire que l'antisémitisme qui exsude du "Juif Süss", qui, dans le film, est, comme tous, représenté comme hideux, taré, aux pieds plats, en canard, palmés, aux oreilles en chou fleur.. car ce fut les prémisses de la Shoah. Et oui, par ces croyances et attitudes afférentes, elle a fait du mal ; à beaucoup ; à d'autres Trans, à tous et même à toi. Le racisme tue : les gens (J-M) et l'amour. Faudrait-il excuser les auteurs du film parce qu'ils ont eu une terrible enfance? On commence par démolir, avilir un groupe de gens, de manière hallucinatoire -laideur physique, difformités, queue!- et puis, si on en a le pouvoir et si c'est rentable -une simple question de hasard- on les tue : ça ne sera pas une grande perte, bien au contraire. Les mots tuent.
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"Mais cela tu ne veux pas le comprendre car tu ne pourrais plus te mettre dans la position du procureur de la moralité condamnant ou du justicier la glaive à la main. Tu aurais du descendre de ton piédestal et lui expliquer le sens des mots. C'était ton devoir ! Tu ne l'as pas fait. Tu as préféré l'habit de l'accusateur**, c'est plus valorisant socialement."
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Bien sûr que je l'ai fait et tu ne l'ignores pas : elle ne m'a pas crue puisque j'ai dû te demander arbitrage !! D'autre part, je ne vois pas pourquoi j'aurais dû m'instituer la prof attitrée d'anti racisme (!!?) de quelqu'un qui me mettait dans la charrette. Demande-t-on à un lapin d'enseigner la protection animale à des chasseurs? Le fait est que ça n'a pas marché. As-tu saisi -j'imagine que oui- qu'elle les assimilait ainsi à des singes ou à des sous-hommes? Ça ne te rappelle rien? Rigolo, vraiment? Qu'est-ce qu'on se marre, dis donc! Jean, s'il t'entendait, se marrerait aussi beaucoup, j'imagine.
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* Réaction saine et sincère? Oui, sans doute : un beau jour, dans la fougue de ta jeunesse folle, tu as décidé de fuir la mare aux canards -et je représentais en ce sens l'idéal-.. Loin, tout allait bien, une année de bonheur.. Mais la mare est venue à nous avec tout l'équipage... et tu t'es soudain aperçu que la position de révolté -contre un troupeau bien achalandé- outrepassait largement tes forces: en somme tu avais eu, comme la grenouille, les yeux plus gros que le ventre => vertiges, trouillomètre à zéro.. La solution ? Virer de bord à 180° et tel Clovis, briser l'idole que tu avais adorée.. [Tout en la gardant si possible: congelée était l'idéal.] Mais il fallait un prétexte qui sauvât l'honneur. J'étais trop azerty, voilà -alors qu'avant cela te plaisait infiniment-. C'est comme, pour se rassurer, si on brisait le voyant rouge clignotant d'une bagnole qui manque d'huile au lieu d'en rajouter. La bielle coule, forcément. Je fus ce voyant rouge clignotant.
** Étonnant, ce terme, que j'ai mis en italiques est exactement celui de Pillet contre moi dans une lettre relativement insultante que le malheureux n'avait certainement pas écrite tout seul mais fait rédiger par sa secrétaire administrative. Tu as de bien curieuses références dis donc.
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"Quand on ne cherche pas à comprendre et que l'on se précipite à condamner, c'est souvent parce que l'on est pas clair soit même, qu'on a quelque chose à se reprocher. Condamner c'est changer pour un statut plus valorisant : "Je suis supérieure à vous tous, je vous méprise" mais parfois c'est aussi se racheter une virginité à bon compte."
* Réaction saine et sincère? Oui, sans doute : un beau jour, dans la fougue de ta jeunesse folle, tu as décidé de fuir la mare aux canards -et je représentais en ce sens l'idéal-.. Loin, tout allait bien, une année de bonheur.. Mais la mare est venue à nous avec tout l'équipage... et tu t'es soudain aperçu que la position de révolté -contre un troupeau bien achalandé- outrepassait largement tes forces: en somme tu avais eu, comme la grenouille, les yeux plus gros que le ventre => vertiges, trouillomètre à zéro.. La solution ? Virer de bord à 180° et tel Clovis, briser l'idole que tu avais adorée.. [Tout en la gardant si possible: congelée était l'idéal.] Mais il fallait un prétexte qui sauvât l'honneur. J'étais trop azerty, voilà -alors qu'avant cela te plaisait infiniment-. C'est comme, pour se rassurer, si on brisait le voyant rouge clignotant d'une bagnole qui manque d'huile au lieu d'en rajouter. La bielle coule, forcément. Je fus ce voyant rouge clignotant.
** Étonnant, ce terme, que j'ai mis en italiques est exactement celui de Pillet contre moi dans une lettre relativement insultante que le malheureux n'avait certainement pas écrite tout seul mais fait rédiger par sa secrétaire administrative. Tu as de bien curieuses références dis donc.
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"Quand on ne cherche pas à comprendre et que l'on se précipite à condamner, c'est souvent parce que l'on est pas clair soit même, qu'on a quelque chose à se reprocher. Condamner c'est changer pour un statut plus valorisant : "Je suis supérieure à vous tous, je vous méprise" mais parfois c'est aussi se racheter une virginité à bon compte."
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? [C'est toujours du "Pillet" décidément, il faut croire qu'il t'inspire littérairement.] Je ne fais justement que chercher à comprendre philosophiquement c'est à dire à analyser. Pige pas. C'est toi qui, englué dans tes affects, tires de tous côtés pour dévier et occulter la contre-vérité que tu m'as lancée et à laquelle j'ai tordu le cou. Oui, une grande partie de ta famille est raciste et oui ils nous ont (donc m'ont) fait du mal et oui, cela a généré ta haine par moments puis la mienne, et oui, j'ai compris les causes, a minima [je n'étais qu'une Trans qui sans doute n'en voulait qu'à ton argent (!) .. que j'ignorasse tout -au départ- de votre supposée prestigieuse position -car tu ne m'avais jamais parlé d'eux, pas fou le minou- n'entrant pas en ligne de compte, il fallait un cliché et m'y caser fût-ce à coups de marteau-] et oui, tu as fini par t'aligner, consciemment ou non, et par me haïr. Et oui, ils ont gagné. Et ce n'est pas si mal en un sens car ça m'a libérée moi aussi de la torture que représentait un amour sans cesse humilié... mais pour en arriver là, que de douleur inutile et contre productive! Pour toi comme pour moi. Cette douleur, on la leur doit : c'est leur racisme qui en est comptable. [Mais sans cela, je serais sans doute restée une femme presqu'au foyer bossant à mi temps => c'est la souffrance d'avoir été contrainte de lutter -et de te perdre pourtant car je savais que je ne vaincrais pas- durant toutes ces années qui m'a poussée, entre autres, à agir, à écrire.] Tu vois, Roméo et Juliette, ça finit toujours mal.. Nous, ça a pris 20 ans mais ils nous ont "eus" tout de même. Qu'importe : une autre est née, peut-être meilleure et plus efficace qui sait? comme dirait Anna Politkovskaïa.
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Illustration (humour) "le silence des canards"
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/06/je-ne-suis-pas-raciste-moi-ils.html
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"Tasse de thé et chaise électrique, je ne suis pas raciste mais ce qui me gêne, c'est leur queue." (images)
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/06/je-ne-suis-pas-raciste-mais.html
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Image (religions, prisons de femmes)
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/06/les-religions-prison-des-femmes.html
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LE DOSSIER "Quand on me parle de culture.."
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/05/cultures-et-racisme.html
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Illustration (humour) "le silence des canards"
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"Tasse de thé et chaise électrique, je ne suis pas raciste mais ce qui me gêne, c'est leur queue." (images)
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Image (religions, prisons de femmes)
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LE DOSSIER "Quand on me parle de culture.."
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