samedi 14 juin 2014

La peur des femmes, de l'es-croqueuse à l'ogresse au vagin denté, les "putifieurs"

Suite de "débat avec une féministe "systémique"
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/06/blog-post_15.html
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Il y a un nom pour dire prostituée, il y a un nom pour paranoïa, il n'y en a pas pour dire "celui qui voit des prostituées partout" ou qui transdorme -je laisse- toute femme en "pute" virtuelle. Mettons donc "putifieur".

Dans le dossier "le complexe de Dom Juan", l'article qui suit en lien traite du rapport de Dom Juan à l'argent à propos du cas Stern. Un rapport pathologique ici ? C'est évident. Mais dans ... d'autres? Mystère! Mais sur quelques uns de mon échantillon perso -certes pas de quoi en faire une statistique- tous pouvaient, certes à des degrés infiniment moindres et différents, être des sortes de "Stern"* -qui, lui, pousse la paranoïa à son point extrême d'abjection et de cassure-. Question : pourquoi? une éducation machiste? Reliée à un "milieu" particulier? Non, pas forcément ou pas pour tous. Une problématique sexuelle? Peut-être, pas sûr -reliée à l'homosexualité-? Pas facile de le détecter. Une tendance mâle en soi? Bigre! Portée par le chromosome y ? Je délire -quoique..- Un archétype éternel -la femme exploiteuse qui se met à prix pour le profit et dévore le mâle, la mante religieuse etc..-? C'est certain mais ça ne fait que reculer le problème : d'où vient-il, cet archétype ? Du passé enfoui de nos pépés cromagnons qui, en raison de leurs dures conditions de vie, devaient subir une sélection rigoureuse de la part des femelles désireuses de produire les meilleurs petits? Non puisque cette sélection était réciproque et que les femmes, même affectées du complexe de Célimène, ne l'associent pas semble-t-il, ou beaucoup plus rarement, à un tel dysfonctionnement : un Édouard Stern ne se conçoit pas au féminin, on ne peut même pas l'imaginer. Alors? Un transfert? Selon la formule : c'est pas moi qui suis comme ça, ce sont "elles" -les salopes!- ? Peut-être ; un cercle vicieux mais cela ne fait pas avancer le schmilblick, le problème de son origine reste intact. Une étude reste à faire mais il est surprenant que personne, même parmi des féministes top -à ma connaissance du moins- n'ait pointé cette problématique qui en apparence n'a rien à voir avec le donjuanisme voire même semble antagoniste de l'archétpe [dans la littérature, dans le fantasme -dans la vie?- Harpagon le grigou est laid, vieux, hors sexué et ridicule, et Dom Juan au contraire, sexy, enviable, élégant et flambeur].. mais qui cependant, répétée, interpelle. Dom Juan et Harpagon, deux archétypes que l'on croit opposés, réunis en un même syndrome? L'obsession parano du profit, sordide, peu romanesque -et cachée- serait.. incluse, reliée voire à l'origine et prévaudrait sur celle affichée et plus glorieuse, du sexe ?
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* Précision: parmi ces Dom Juan vocatifs ou réels, qu'ils soient riches ou fauchés comme blés -à dire vrai, ils appartenaient quasiment tous à la seconde catégorie- tous redoutaient, sans l'exprimer haut et clair, que "les" femmes en aient surtout à l'argent.. qu'ils n'avaient pas et n'auraient vraisemblablement jamais, étant donné.. mais bon, stop. Étonnant, isn'it?
http://femmesavenir.blogspot.com/2014/06/don-juan-son-rapport-largent.html
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LE DOSSIER
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/06/quand-deux-hommes-se-battent-pour-une.html

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