Un article anti féministe ! comme dirait Lénine "seule la vérité est révolutionnaire".. Tant pis si je perds des lecteurs, mais bon..
On est toujours
mal à l'aise devant celles qui -même si c'est relié à l'idéologie dominante à
laquelle en général elles se soumettent sans broncher, la plupart du temps
engagées à droite ou plus exactement du côté où penche la balance-... celles donc
qui cherchent parfois ostensiblement à exploiter ou du moins à se servir
des mecs. Il n'est pas ici question des prostituées qui sont au contraire
exploitées-battues-méprisées mais de femmes dans la norme la plus convenue -et
navrante- parfois même sympa, douces, sans histoires -du moment que l'on ne va
pas contre leur route, sinon aïe.. tous les coups sont permis*-. Les feux de
l'amour? Les feuilletons débiles ? (débiles? c'est à voir, pour celles qui
y sont scotchées, ils semblent fonctionner mais a contrario comme
autrefois les histoires édifiantes des livres de morale pour enfants : de
véritables TP d'apprentissage de l'idéologie dominante d'autant plus
assertoriques et opératoires que leur niveau d'instruction et/ou de culture
-qui seul peut contre balancer la "doxa" de ces machins- est faible,
ce qui est le cas général). Cela peut-il aussi provenir d'une édication, (je
laisse) éducation! ad hoc que l'on retrouve même dans des milieux pauvres?
Ou être acquis individuellement? Le fait est que certaines jeunes femmes
semblent formatées pour "cela": trouver le meilleur parti, le plus
juteux et tout faire pour -se mettre à prix, passer sur d'autres etc..- ce qui
n'exclue pas étrangement l'amour, ou disons une sorte d'"amour" choisi dans une "fourchette" déterminée, et peu dosé. Les féministes, mal à l'aise, n'en parlent jamais
et même lorsque la vie les met devant de tels personnages, shuntent, occultent,
"logifient", fût-ce au prix de grand-écarts intellectuels dignes de
gymnastes olympiques : ce n'est pas de leur faute, c'est l'idéologie qui etc..
Faux ou à moitié vrai seulement. De deux choses l'une : si nous voulons
l'égalité, il faut tordre le cou à ces idées certes... mais aussi à celles
qui les "actent", et nous dérangent toutes, celles dont le
principe de base est "qu'un homme digne de ce nom doit assurer,
"assumer" sa femme et le mieux possible, ce qui veut dire
gagner les plus de fric possible et si j'ose, à n'importe quel prix. Suit le cortège en chapelet : de
poncifs d'abord, d'exigences ensuite -"je" suis en droit d'avoir
mieux, encore mieux, toujours mieux sinon j'en trouverai un plus digne
de moi- etc etc.. On l'enseigne ouvertement dans des familles et dans des
"boîtes" privées catho chics -ou qui se veulent telles-. Ainsi une mère de famille parfaite bourge-trad et au demeurant gentille
reproche-t-elle à sa fille de 8 ans (8 ans!) d'avoir manifesté trop d'enthousiasme
devant un cadeau : "Il ne faut jamais t'extasier de la sorte, surtout
pour si peu, d'abord c'est vulgaire et ensuite cela signifie que tu ne mérites
pas mieux, et celui/celle qui te l'a offert te mésestimera et fera moins la fois
prochaine. Tu te dévalues. Si tu demeures sur la réserve, il s'efforcera de rompre la glace par un meilleur présent."
C'est exactement le principe qui est appliqué ensuite aux prétendants,
durement sélectionnés selon des critères pragmatiques, à savoir le rapport
prestations/profit qu'ils sont susceptibles de fournir. Même actuellement,
cela s'enseigne aux filles -et parfois, mais d'une autre manière et pas dans
les mêmes milieux, aux garçons- et certaines sont de bonnes élèves pour cela,
faute de l'être pour autre chose.
En échange, elles balayeront-cuisineront parfait... -ou, selon les niveaux sociaux, l'exigeront de la "bonne".- Certes, mais est-ce comparable -surtout dans
les milieux pauvres où "assurer" signifie monter sur des chantiers,
travailler dans la pollution au fond d'une mine?- Certains hommes sur ce plan
semblent d'une tolérance qui confine à la puérilité : l'idéologie, souvent,
pour eux aussi. ("C'est normal".) Une femme exigeante -et surtout
inactive et confortablement entretenue- constitue un gonfalon qu'ils sont fiers de
brandir, même s'il est lourd et les épuise. Cela apporte de l'eau au moulin des
anti femmes, mais il n'en demeure pas moins que "cela" existe aussi.
Des exceptions montées en neige et placardées par des masculinistes? peut-être mais aucune
étude n'est faite là dessus -à ma connaissance-. Une sorte de tabou. Même dans des milieux
bourges, certains hommes se tuent au travail pour "assurer", certes,
là, pas sur des chantiers, mais dans des activités parfois tout aussi malsaines d'une autre manière, affaires, rendez-vous enchaînés, voyages, stress permanent, 4 heures
de sommeil par nuit et ça recommence.. en s'aidant de quelques toxiques
-cocaïne, alcool, médoc-.. De fait, ils mourront assez tôt -infarctus, maladies
cardio pulmonaires- et elles survivront, veuves, la vie continue, avec ses aléas, "il faut
a-van-cer", être courageuses -car sous les femmes-poupées
dépendantes hypersensibles larmes à l’œil couvent souvent des pragmatistes fortes et parfaitement organisées.- Politiquement incorrect? je sais. Un mois
que j'hésite à l'écrire.. ET MÊME A LE PENSER. Il y a des femmes qui exploitent
les mecs.
Débat:
GT: "Je ne vois pas en quoi ces femmes exploitent les mecs: elles jouent le jeu de la bonne épouse en échange de certains avantages qu'elles obtiennent -et qui peuvent se terminer à tout moment si l'homme décide d'aller voir ailleurs. Les femmes de droite (lire le livre de Dworkin) ont une vue réaliste des hommes, pensent qu'ils sont dangereux, profiteurs, que toute la société fonctionne à leur profit et qu'ils ne changeront jamais. Partant de cette constatation, elles essayent de mettre en œuvre une stratégie de survie... Si elles ne tombent pas dans l'escroquerie pure et simple, je ne les blâme pas : elles sont lucides sur la société, saisissent les seules chances qu'elles ont de s'en sortir: c'est de la reprise individuelle de bonne guerre, ce sont les hommes qui créent les conditions pour l'existence de ces femmes: en recherchant les femmes trophées et en ne laissant à des femmes bosseuses que très peu de chances d'arriver au top par des moyens professionnels."
GT: "Je ne vois pas en quoi ces femmes exploitent les mecs: elles jouent le jeu de la bonne épouse en échange de certains avantages qu'elles obtiennent -et qui peuvent se terminer à tout moment si l'homme décide d'aller voir ailleurs. Les femmes de droite (lire le livre de Dworkin) ont une vue réaliste des hommes, pensent qu'ils sont dangereux, profiteurs, que toute la société fonctionne à leur profit et qu'ils ne changeront jamais. Partant de cette constatation, elles essayent de mettre en œuvre une stratégie de survie... Si elles ne tombent pas dans l'escroquerie pure et simple, je ne les blâme pas : elles sont lucides sur la société, saisissent les seules chances qu'elles ont de s'en sortir: c'est de la reprise individuelle de bonne guerre, ce sont les hommes qui créent les conditions pour l'existence de ces femmes: en recherchant les femmes trophées et en ne laissant à des femmes bosseuses que très peu de chances d'arriver au top par des moyens professionnels."
HL: "Oui. C'est la théorie à laquelle
j'adhère a priori, mais comme toute théorie, elle est un peu... théorique !
Partir du principe que "les hommes -sous entendu profiteurs, machos et vaniteux- ne
changeront jamais" c'est aussi les
créer ou les renforcer "tels" quand par hasard ils ne le sont pas! C'est faire le jeu de l'idéologie dominante.Tout comme
les ouvriers qui ne font jamais grève, partant du même principe ("ça ne
changera jamais")… mais qui profitent des acquis de ceux qui ont plongé...
parfois en les dézinguant. Et en certains cas, le bénéfice n'est pas
petit, les kapos sont indispensables au système. Que ces avantages puissent se terminer à tout instant si l'homme le
décide est à la fois vrai -théoriquement- et faux -celles qui sont bien
organisées et c'est évidemment celles-là dont je parle, se débrouillent
pour se rétablir avec une pension-.. et de surcroît, c'est malsain car
générateur de comportements pervers, jalousie, intrigues glauques et comploquées
-je laisse!- pour défendre âprement la place*.. et en un sens, c'est pire.
*Tenter par exemple -pour la réduire et/ou la chasser de chez elle- de faire passer une
"rivale" -ou supposée telle- pour folle, hé oui ça n'existe pas
seulement dans les romans de gare! en utilisant un ex avec qui elle est en
termes moyens.. afin que, mieux pourvu, il mène, lui, l'expulsion .. Les armes ? la faiblesse, les pleurs, la feinte soumission, l'appel à l'aide, les hommes adorent jouer les Lancelot. De fait, à cause de
leur extrême tolérance vis à vis de tels comportements, les féministes parfois
creusent carrément leur tombe."
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GT : - Lorsque ça prend ces proportions de perversion, il faut tirer la ligne jaune en effet ; cela dit, c'est bien connu que les hommes sont attirés par les garces, les femmes qui "tiennent leur mec" qui s'en tirent en général bien mieux que les féministes et les trop gentilles."
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GT : - Lorsque ça prend ces proportions de perversion, il faut tirer la ligne jaune en effet ; cela dit, c'est bien connu que les hommes sont attirés par les garces, les femmes qui "tiennent leur mec" qui s'en tirent en général bien mieux que les féministes et les trop gentilles."
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LES HOMMES PRÉFÈRENT LES GARCES
HL : - Exact. Mais ces proportions de perversion, ça les prend toujours, tout dépend simplement des enjeux -plus ils sont importants, plus la bagarre est rude- et de la fermeté de ceux ou celles qui se sont mis en travers de leur route. De telles manips -réussies sans problème- dont on se demande parfois comment elles furent possibles s'expliquent justement parce qu'elles font exactement le jeu de l'idéologie dominante et malgré les quelques exigences lourdes qu'elles leur imposent, ne remettent pas les hommes en cause comme le font les féministes, bien au contraire : ils préfèrent se tuer à la tâche, vivre dans le stress permanent, des intrigues voire dans les cas les pires des spoliations -mais toujours soft, voire mielleuses, qui préservent leur ego mâle.. sauf lorsqu'il y a du divorce dans l'air*- qu'être mis devant le logos féministe acté qui cependant les libère aussi.. mais les effraie. "Les hommes se battent pour leur esclavage comme s'il s'agissait de leur liberté" (Spinoza) cela vaut aussi pour les mâles. Le commandeur aime que l'on polisse sa statue même si ça lui écorche le nez au sang, mais déteste qu'on affouille son socle. Et sur ce plan, il est incontestable que leur candeur est parfois aussi immense que l'âpreté à se "défendre" -des dits "masculinistes"-... Question : sont-ce les mêmes ?! Où est la cause où est l'effet? Ont-ils été suscités ou renforcés par ces femmes, comme dit Dworkin, de droite et moi, "idéologiquement collaboratrices"? Donc, qu'elles fassent des émules parmi les jeunes filles, et c'est cela qui est grave, est normal : elles séduisent en priorité et avec "prestige" et comme tu l'as dit, en général s'en sortent mieux.. C'est pourquoi ce tabou doit lui aussi être pulvérisé. CQFD
*Là, il peut se faire en effet que pour la femme la bataille soit perdue ou moins gagnée qu'espéré - quand l'amour ou ce que l'on nomme tel se délite, tous les coups sont permis- si l'homme, avec un bon avocat -ou une autre femme de la même farine qui va le poloter.. euh, piloter!!- s'est bel et bien réveillé : le système, impitoyable, se referme et détruit parfois ses collaboratrices elles-mêmes, surtout si elles ont pris de l'âge, (syndrome Anne Boleyn) c'est banal, la concurrence est là. Mais quant à parler de femmes-trophées ou "donfalons", je laisse, gonfalons! goddamned, c'est un cliché presque risible parfois -il suffit de voir les procès d'assise de celles qui sont allées un peu trop loin en tenant compte que celles qui ont fait les "unes" les plus retentissantes sont aussi les plus rock'd roll, les plus "vendeuses", ce qui fausse l'image que l'on en a, pour être édifié/es-.
*Là, il peut se faire en effet que pour la femme la bataille soit perdue ou moins gagnée qu'espéré - quand l'amour ou ce que l'on nomme tel se délite, tous les coups sont permis- si l'homme, avec un bon avocat -ou une autre femme de la même farine qui va le poloter.. euh, piloter!!- s'est bel et bien réveillé : le système, impitoyable, se referme et détruit parfois ses collaboratrices elles-mêmes, surtout si elles ont pris de l'âge, (syndrome Anne Boleyn) c'est banal, la concurrence est là. Mais quant à parler de femmes-trophées ou "donfalons", je laisse, gonfalons! goddamned, c'est un cliché presque risible parfois -il suffit de voir les procès d'assise de celles qui sont allées un peu trop loin en tenant compte que celles qui ont fait les "unes" les plus retentissantes sont aussi les plus rock'd roll, les plus "vendeuses", ce qui fausse l'image que l'on en a, pour être édifié/es-.
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LE DOSSIER "Pervers dits narcissiques"
http://femmesavenir.blogspot.com/2014/02/pervers-narcissiques-le-dossier.html
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