Des questions, ici résumées en vrac pour les "pressé/es".
Une condamnation assez faible -quoique?…- pour un meurtre commis de telle manière ? Une Cécile Brossard peut-être moins simple qu'il n'y parait.. ou très perturbée par sa liaison en dents de scie.. .. Brossard donc qui va rencontrer l'ex compagne de Stern, Julia, une femme indépendante, fille de Colonel, autrefois Miss URSS.. qui a fondé à Paris une entreprise de cosmétiques -devenue lesbienne à présent et compagne de Navrátilová-.. Brossard donc, qui, pour l'approcher, se fait passer pour une certaine "Laura", avocate.. et lui propose des infos sur la mort de son enfant contre d'autres sur sa liaison avec Stern, et sur Stern lui-même.. N'oublions pas, c'est l'époque où Stern, qui fait tout pour reconquérir Cécile, reprend en cachette contact avec son ex, lui demandant de "donner une autre chance à leur amour"... Julia l'éconduit ou plus exactement lui tire tout de même quelques maigres biscuits lancés comme appâts (?) à savoir que, évoquant cette mort -il se trouvait avec l'enfant à l'hôpital Necker-, il serait devenu blême et tout tremblant, ce qui n'était pas dans ses habitudes.. (Peu significatif)... Brossard qui ensuite, devant le juge -après le meurtre, lorsque l'affaire ressort- se rétracte, prétend ne rien savoir et avoir -par jalousie- inventé ces "infos" pour en obtenir de Julia sur l'état de leur liaison..
Des lettres troublantes de Maya, la nounou bulgare, l'"arlésienne" du scénar, lettres retrouvées.. alors qu'elles avaient disparues lors de l'enquête (!) visiblement bâclée -Stern, précisons le, est un ami de Sarko et de quelques uns du même acabit- des lettres donc dans laquelle, pour l'une, elle laisse entendre qu'elle a peur et sent l'enfant en danger et pour l'autre, que c'est elle qui lui a administré les médicaments -sur ordre? Sous menaces?- et "qu'elle ne veut plus se souvenir jamais de cette affreuse période de sa vie à Paris".. une nounou engagée par Stern pendant les périodes où il avait la garde du bébé.. dont cependant les avocats de la famille nient ou affectent de douter qu'il ait été le père.. Maya qui aurait "disparu" elle aussi.. mais qu'on n'aurait pas trop cherché à retrouver..
Autre chose sur laquelle il a été peu référé : quid de l'arsenal découvert dans la cave de Stern? Il n'y avait pas seulement un revolver chargé dans l'appartement, mais .. bien plus. Caché. Alors? Trafic d'armes ? Ses voyages-tueries en jet privé en Afrique ? Chasseur, plus exactement viandard? Oui. Mais encore ? Eaux troubles.. Bien que cela n'ait peut-être rien à voir. Par contre, ont à voir les requêtes dudit.. de lui procurer du "gibier frais" sous la forme d'une amie pour une partie à trois.. Au cours de laquelle il leur demande de se déguiser en écolières, jupe courte.. !
Il y a aussi le curieux "deal" au procès de Brossard où tout le monde s'accorde à ne pas parler de cul "pour ne pas salir la mémoire de la victime" ? Voire.. ou celle du haut gratin impliqué dans des partouzes très sécurisées sur lesquelles Brossard savait beaucoup.. une Brossard plus intelligente ou plus organisée qu'il n'y paraissait, bien introduite et sachant en jouer -conseillée?- dans le milieu "médias".. propriétaire d'une maison dans l'Oise dont elle veut faire un atelier-salle d'expo.. n'hésitant pas à commanditer des travaux non autorisés qui déplaisent aux riverains.. et qui o stupeur.. entretient avec son avocat une relation, d'après un site -lien à la fin-, "torride".. d'où cet autre deal, plus étonnant, encore, entre les deux parties : on ne dira rien de cet amour qui jette une ombre sur une Cécile inconsolable mais en revanche -toujours pour la mémoire de Stern!- on ne parlera ni ne fera témoigner Julia.. -Julia à qui il proposait de renouer au moment même où "désespéré" (!) par la fuite de Cécile, il promettait à celle-ci de l'épouser-.. Julia bien sûr y consent, plutôt soulagée, après tout ce n'est plus son affaire..
.. jusqu'au moment dit-elle où, par le procès -même s'il fut très soft, dépositions parfaitement toilettées- ... elle découvre avec horreur un tout autre Stern que celui avec lequel elle avait entretenu trois ans une liaison romantique amoureuse où l'argent ne jouait aucun rôle.. "Il était drôle, agréable, beau.. mais chez lui, malgré tout, tout était calculé" observe-t-elle à présent... Julia qui dès lors, mise devant une toute autre facette de l'homme qu'elle a aimé -depuis que j'ai appris certaines choses, je crois tout possible-.. s'interroge sur la mort de son enfant, cet enfant qu'il ne voulait pas a priori -elle avait refusé d'avorter, malgré ses requêtes : "ce sera une bêtise pour toi et pour lui".. qui à présent résonnent étrangement- ... un enfant qu'il avait pourtant accepté.. sans toutefois le reconnaître.. Par la suite, devant les couacs de l'enquête, il l'avait, comme bien d'autres, découragé de poursuivre : "il te faut passer à autre chose".. et elle s'était alignée. Mais tout est différent à présent. Malgré dit-elle les menaces qu'elle a subies -au sujet de ses deux autres enfants-, elle a tenu bon.. Et elle a gagné la première manche : l'enquête est réouverte.
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/06/quand-deux-hommes-se-battent-pour-une.html
Une condamnation assez faible -quoique?…- pour un meurtre commis de telle manière ? Une Cécile Brossard peut-être moins simple qu'il n'y parait.. ou très perturbée par sa liaison en dents de scie.. .. Brossard donc qui va rencontrer l'ex compagne de Stern, Julia, une femme indépendante, fille de Colonel, autrefois Miss URSS.. qui a fondé à Paris une entreprise de cosmétiques -devenue lesbienne à présent et compagne de Navrátilová-.. Brossard donc, qui, pour l'approcher, se fait passer pour une certaine "Laura", avocate.. et lui propose des infos sur la mort de son enfant contre d'autres sur sa liaison avec Stern, et sur Stern lui-même.. N'oublions pas, c'est l'époque où Stern, qui fait tout pour reconquérir Cécile, reprend en cachette contact avec son ex, lui demandant de "donner une autre chance à leur amour"... Julia l'éconduit ou plus exactement lui tire tout de même quelques maigres biscuits lancés comme appâts (?) à savoir que, évoquant cette mort -il se trouvait avec l'enfant à l'hôpital Necker-, il serait devenu blême et tout tremblant, ce qui n'était pas dans ses habitudes.. (Peu significatif)... Brossard qui ensuite, devant le juge -après le meurtre, lorsque l'affaire ressort- se rétracte, prétend ne rien savoir et avoir -par jalousie- inventé ces "infos" pour en obtenir de Julia sur l'état de leur liaison..
Des lettres troublantes de Maya, la nounou bulgare, l'"arlésienne" du scénar, lettres retrouvées.. alors qu'elles avaient disparues lors de l'enquête (!) visiblement bâclée -Stern, précisons le, est un ami de Sarko et de quelques uns du même acabit- des lettres donc dans laquelle, pour l'une, elle laisse entendre qu'elle a peur et sent l'enfant en danger et pour l'autre, que c'est elle qui lui a administré les médicaments -sur ordre? Sous menaces?- et "qu'elle ne veut plus se souvenir jamais de cette affreuse période de sa vie à Paris".. une nounou engagée par Stern pendant les périodes où il avait la garde du bébé.. dont cependant les avocats de la famille nient ou affectent de douter qu'il ait été le père.. Maya qui aurait "disparu" elle aussi.. mais qu'on n'aurait pas trop cherché à retrouver..
Autre chose sur laquelle il a été peu référé : quid de l'arsenal découvert dans la cave de Stern? Il n'y avait pas seulement un revolver chargé dans l'appartement, mais .. bien plus. Caché. Alors? Trafic d'armes ? Ses voyages-tueries en jet privé en Afrique ? Chasseur, plus exactement viandard? Oui. Mais encore ? Eaux troubles.. Bien que cela n'ait peut-être rien à voir. Par contre, ont à voir les requêtes dudit.. de lui procurer du "gibier frais" sous la forme d'une amie pour une partie à trois.. Au cours de laquelle il leur demande de se déguiser en écolières, jupe courte.. !
Il y a aussi le curieux "deal" au procès de Brossard où tout le monde s'accorde à ne pas parler de cul "pour ne pas salir la mémoire de la victime" ? Voire.. ou celle du haut gratin impliqué dans des partouzes très sécurisées sur lesquelles Brossard savait beaucoup.. une Brossard plus intelligente ou plus organisée qu'il n'y paraissait, bien introduite et sachant en jouer -conseillée?- dans le milieu "médias".. propriétaire d'une maison dans l'Oise dont elle veut faire un atelier-salle d'expo.. n'hésitant pas à commanditer des travaux non autorisés qui déplaisent aux riverains.. et qui o stupeur.. entretient avec son avocat une relation, d'après un site -lien à la fin-, "torride".. d'où cet autre deal, plus étonnant, encore, entre les deux parties : on ne dira rien de cet amour qui jette une ombre sur une Cécile inconsolable mais en revanche -toujours pour la mémoire de Stern!- on ne parlera ni ne fera témoigner Julia.. -Julia à qui il proposait de renouer au moment même où "désespéré" (!) par la fuite de Cécile, il promettait à celle-ci de l'épouser-.. Julia bien sûr y consent, plutôt soulagée, après tout ce n'est plus son affaire..
.. jusqu'au moment dit-elle où, par le procès -même s'il fut très soft, dépositions parfaitement toilettées- ... elle découvre avec horreur un tout autre Stern que celui avec lequel elle avait entretenu trois ans une liaison romantique amoureuse où l'argent ne jouait aucun rôle.. "Il était drôle, agréable, beau.. mais chez lui, malgré tout, tout était calculé" observe-t-elle à présent... Julia qui dès lors, mise devant une toute autre facette de l'homme qu'elle a aimé -depuis que j'ai appris certaines choses, je crois tout possible-.. s'interroge sur la mort de son enfant, cet enfant qu'il ne voulait pas a priori -elle avait refusé d'avorter, malgré ses requêtes : "ce sera une bêtise pour toi et pour lui".. qui à présent résonnent étrangement- ... un enfant qu'il avait pourtant accepté.. sans toutefois le reconnaître.. Par la suite, devant les couacs de l'enquête, il l'avait, comme bien d'autres, découragé de poursuivre : "il te faut passer à autre chose".. et elle s'était alignée. Mais tout est différent à présent. Malgré dit-elle les menaces qu'elle a subies -au sujet de ses deux autres enfants-, elle a tenu bon.. Et elle a gagné la première manche : l'enquête est réouverte.
L'article-base :
l'homme qui se croyait Dieu ou un raté. Un amour de Stern. Des
"casseroles" en série -partout où je passe, je sème la terreur.-
L'homme qui se prenait pour un raté. Pour un million de dollars.. ou 7000 Euros
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LE DOSSIER "deux enfants/jour"
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/le-dossier-des-insultes-aux-coups-et.html
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LE DOSSIER "LE COMPLEXE DE DOM JUAN"
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/le-dossier-des-insultes-aux-coups-et.html
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LE DOSSIER "LE COMPLEXE DE DOM JUAN"
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