Lettre ouverte à nos cellules... loufoque? peut être pas tant que ça

Extraits d'un livre de Masaru Emoto (?) "Le miracle de l’eau" via Paula S. et F.B. Titre racoleur certes mais bon..
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Résumé : nous souffrons tous de maux reliés à notre passé.. ET À CELUI DE NOS PARENTS, ENVIRONNEMENT ET PAR RICOCHET, ANCÊTRES. PAR CULPABILITÉ OU RECONNAISSANCE, NOUS "COPIONS", NOUS NOUS INFLIGEONS LEURS PROPRES SOUFFRANCES. (Cela a à voir avec la notion jungienne d'archétype sans doute,) Pour y remédier, il propose de s'adresser à nos cellules et de leur "ordonner" de se libérer et de se reprogrammer.  (!)

Sauf que cela advient... juste au moment où je viens d'écrire ceci (lien avec mon texte) ! Et que cela résonne forcément en moi : c'est comme si Paula avait "répondu" au poème par l'intermédiaire de l'auteur et ce, au moment même où je l'écrivais... Voici.

"Chères cellules,

Je vous ai réunies aujourd’hui pour vous dire que nous allons désormais changer de trajectoire : jusqu’ici, nous nous sommes laissés aller à suivre un programme désastreux, rester fidèle à la mémoire de nos ancêtres et prendre un peu de leurs maladies, leurs faiblesses, leurs émotions, leurs souffrances, leurs limitations. Il eût paru indigne de s’octroyer une vie de bonheur quand tous ceux grâce auxquels nous sommes avaient souffert, transpiré, vécu tant de manques avant de nous transmettre ce bien si précieux.

De toutes ces vies antérieures, nous avons ramené des programmes, des mémoires, de la culpabilité, des limitations, des handicaps, parfois mentaux, (sans compter les entités qui partagent nos vies avec lesquelles nous faisons parfois un long bout de chemin..) ? et nous faisons nôtres tous leurs fonctionnements négatifs.

Les difficultés dans lesquelles nous avons baigné depuis la vie intra-utérine, les émotions irrémédiables vécues par notre mère avant et pendant la conception, nous concernant ou des tiers, les événements plus ou moins douloureux qui ont nourri cette période de sa vie nous reléguident. Et que dire de la façon parfois désastreuse avec laquelle nous avons géré les émotions de cette vie, et tout ce que nous avons accumulé de colères, haines, angoisses, chagrins, culpabilités, et peurs.

Si je vous ai réunies aujourd’hui, mes chères cellules, c’est pour vous dire que nous avons les moyens de changer ces données. Nous allons mettre en route le programme annulation pour chacun des points cités. A partir d’aujourd’hui chaque cellule est investie du pouvoir d’annuler tout programme négatif lui appartenant en propre ou appartenant aux générations précédentes. Chaque cellule a déjà aussi reçu les informations positives contraires aux programmes négatifs. Il est demandé à chacune de se repasser entièrement le film contenu dans sa mémoire, d’annuler le programme négatif et de recréer un programme de santé absolue et de joie intégrale.

CHAQUE CELLULE CRÉE
MAINTENANT LE BIEN-ÊTRE.
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Vous en êtes toutes capables. Il suffit de vous faire confiance et de recréer le programme de base que toutes vous avez en mémoire, je vous le répète. Aucun échec n’est possible. Chaque cellule recrée maintenant un programme de perfection et de jeunesse. Chacune de vous va retourner maintenant au moment où toute trace de dysfonctionnement ou de maladie était encore absente.
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On y retourne maintenant ; c’est très bien. On se réapproprie le message de perfection ; c’est très bien… Ce schéma devient désormais la réalité de chaque cellule. Chacune de vous va maintenant repartir avec ces nouvelles injonctions. Soit le travail est déjà fait, soit il est en route et va se concrétiser, devenir la réalité dans les jours, les semaines ou les quelques mois qui suivent, pour celles des cellules qui ont besoin d’un temps d’intégration plus long.
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Je vous remercie de votre écoute, mes chères cellules et de l’excellent travail que vous avez ou que vous allez fournir dans un très court délai.."

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Extrait de "La cloche de détresse", texte -écrit quelques instants avant!-
 http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/06/la-cloche-de-detresse.html
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...
"Ratée dis-tu ? Oh oui.. mais c'est un dû !
Volontaire. Mains écartelées, toujours,
Je laisse glisser la manne et même l’amour
Offerts.. et cours à la chimère qui navre..
Le bonheur indécent, la joie honteuse,
Je fuis le réel qui me conduit au havre.
Pour la folie qui me livre à la gueuse,
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Après le Puits dont je suis née
Lydie ne me voulait pas heureuse:
Pardon Gustau, j'eusse préféré
Ne pas vivre et que tu fusses encore
Mais je n'ai pas choisi le spore
Au vent qui par défaut m'a lancée..
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Dégât collatéral de la guerre je suis..
"Et si beau" d'après l'archevêque ému..
Amoureux ? Ça manquait à la statue
Je suis éclectique. Un fantôme aussi.

Un dégât jeté pour cause de joie..
Indécente. Combien de fois?
Un caillou promu tsunami..
Burlesque Hélène de Troie..
Mais c'est ce qu'ils firent de moi.
Ceux qui s'appellent "tiens" et moi "aléas"
(Vaut mieux que deux "tu l'auras"!)
Jetée dans la mare aux canards
[Promue Univers d’Élus Portefaix!]
Sous les cacards des jars
[Promus Saigneurs de la Loi!]
Notre Iliade, notre pauvre Odyssée.."