... "Une .. cause du mal de dos serait le stress. (Ndlr, les auteurs et poètes l'avaient subodoré depuis longtemps.. ainsi que le sens commun dans l'expression "j’en ai plein le dos"!) le stress, la tension nerveuse, l’anxiété, s'additionnent aux causes précédentes, amplifiant la douleur et la chronicisant. (Ndlr, dans certaines situations particulières précises, j' "attrape" -si l'on peut dire- un lumbago, soit tout de suite soit le lendemain. Hasard? Oui, une fois. Pas cinq*.)
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*Tout est intriqué cependant : des situations particulières s'accompagnant aussi d'événements particuliers qui en découlent, ce sont peut-être ceux-ci les "vrais" responsables des lumbagos : exemples, ballades -même fatiguée, on n'ose pas refuser -ce serait interprété comme un rejet-; services, même minimes -idem-; hâte -il ne supporte pas d'attendre-; inquiétude intense pour un détail anodin qui dans ces circonstances, devient dramatique -la voiture ne démarre pas, roule mal, le trafic est ralenti-.. et hop ! Lumbago => ce n'est peut-être pas directement la simple présence d'un individu que je qualifierais de "lumbadogène", mais l'ensemble des événements qui "vont avec" qui sont déclencheurs. On est ou on se croit en faute, le désir exacerbé que "tout aille bien", , de ne pas décevoir, omniprésent, obssessionnel.. nous fonde à inverser les priorités vitales -on prend des risques, on roule trop vite, on oublie ses chaussures spéciales, de régler le siège de la voiture, on s'habille à la hâte trop serré etc..- et le mal de dos survient... ou le drame.- Derrière un accident de voiture même minime, même si la police ne reconnait aucun tort à l'accidenté A -la moto de B, de grosse cylindrée, roulant à vive allure, l'a littéralement embouti sans qu'il ne la voit même arriver- si on approfondit, on s'aperçoit que celui-ci n'avait pas dormi depuis deux jours à la suite d'un stress intense relié à des retrouvailles avec un individu particulier..
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*Tout est intriqué cependant : des situations particulières s'accompagnant aussi d'événements particuliers qui en découlent, ce sont peut-être ceux-ci les "vrais" responsables des lumbagos : exemples, ballades -même fatiguée, on n'ose pas refuser -ce serait interprété comme un rejet-; services, même minimes -idem-; hâte -il ne supporte pas d'attendre-; inquiétude intense pour un détail anodin qui dans ces circonstances, devient dramatique -la voiture ne démarre pas, roule mal, le trafic est ralenti-.. et hop ! Lumbago => ce n'est peut-être pas directement la simple présence d'un individu que je qualifierais de "lumbadogène", mais l'ensemble des événements qui "vont avec" qui sont déclencheurs. On est ou on se croit en faute, le désir exacerbé que "tout aille bien", , de ne pas décevoir, omniprésent, obssessionnel.. nous fonde à inverser les priorités vitales -on prend des risques, on roule trop vite, on oublie ses chaussures spéciales, de régler le siège de la voiture, on s'habille à la hâte trop serré etc..- et le mal de dos survient... ou le drame.- Derrière un accident de voiture même minime, même si la police ne reconnait aucun tort à l'accidenté A -la moto de B, de grosse cylindrée, roulant à vive allure, l'a littéralement embouti sans qu'il ne la voit même arriver- si on approfondit, on s'aperçoit que celui-ci n'avait pas dormi depuis deux jours à la suite d'un stress intense relié à des retrouvailles avec un individu particulier..
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Des concepts de base erronés…
En fait, c'est récemment que l’on commence à comprendre pourquoi, si longtemps, la prise en charge de la lombalgie fut un échec. La seule thérapie proposée était le repos total.. et on cherchait systématiquement des anomalies anatomiques.*
*Un artefact de la technique médicale : la super machine inventée doit servir et c'est finalement celle ci qui va faire diagnostic. Le médecin est devenu cybernétique.
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*Un artefact de la technique médicale : la super machine inventée doit servir et c'est finalement celle ci qui va faire diagnostic. Le médecin est devenu cybernétique.
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Or l’expérience clinique montre que ce ne sont pas nécessairement des anomalies qui sont la cause des lombalgies: à l'IRM, sur 98 personnes ne souffrant d’aucun problème de dos, 74% avaient pourtant des hernies discales ou tout autres problème connu pour le provoquer. En clair, rares sont ceux qui n’ont pas un dos déglingué mais le fait d’avoir un dos déglingué n'implique pas forcement un mal de dos. De même, des personnes souffrant d’un grave handicap lié à des douleurs lombaires, pour la plupart ne présentaient aucune lésion anatomique particulière. Cela explique l'échec des thérapies basées sur le postulat d'une cause physiologique et mécanique. Autrement dit, on a charcuté des gens pour rien et on les a parfois aggravés.
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Et si le mal de dos était l’expression d’un conflit intérieur ? L'hypothèse de John Sarno
Les tâches pénibles et les travaux de force qui cassaient le dos des travailleurs sont de moins en moins fréquents, les industries se sont modernisées, automatisées, et pourtant il y a trois fois plus de personnes souffrant de mal de dos aujourd’hui qu’il y a 30 ans. Pour John Sarno, professeur de médecine et auteur de plusieurs livres sur les traitements du mal de dos, les médecins se trompent.. C’est le stress, la tension, les angoisses, bref, notre psychisme qui déclenche les douleurs de dos. Pourquoi ? Pour nous éviter trop de souffrances mentales, le cerveau crée de la douleur physique afin de nous en protéger. Il suffirait de prendre conscience de ce conflit intérieur pour faire disparaître la douleur. (Ndlr, plus discutable.)
La douleur, conséquence d’une baisse de l’approvisionnement d'une zone en oxygène
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Détail troublant : il constate d’abord que parmi les traitement conventionnels qu’il prescrit, trois sont plus efficaces que les autres : la chaleur à l’aide d’ultrasons, les massages profonds et l’exercice physique. Trois remèdes qui activent la circulation sanguine. Or, la douleur peut provenir d’une diminution même légère de l’approvisionnement en oxygène d’un muscle, d’un nerf ou d’un tendon. Et le cerveau est capable de contrôler le flux sanguin dans une zone du corps bien délimitée dinc -je laisse, donc- d’engendrer de la douleur à cet endroit précis. Il appelle ce syndrome le syndrome de tension musculaire. ‘‘c’est probablement ce mécanisme qu’utilise le cerveau pour produire de la douleur."*
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* Un exemple stupéfiant : souffrant assez régulièrement de lumbagos... que parfois rien ne peut expliquer de manière logique, mécanique -par exemple un grand effort physique intempestif.. dont par ailleurs je suis parfaitement capable, le plus souvent sans aucune conséquence douloureuse, au contraire, par exemple sculpter de la pierre.. et relever la sculpture pour la poser sur plot!-. Et hier, en me frictionnant d'orties.. J'AI TOTALEMENT ARRÊTÉ LA DOULEUR, ET DURABLEMENT !! C'est donc en effet l'afflux de sang dans l'endroit douloureux qui a sans doute stoppé le phénomène. Héroïque? Même pas, les piqures sont infiniment moins douloureuses que la douleur du lumbago et ne durent que 5 minutes!
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* Un exemple stupéfiant : souffrant assez régulièrement de lumbagos... que parfois rien ne peut expliquer de manière logique, mécanique -par exemple un grand effort physique intempestif.. dont par ailleurs je suis parfaitement capable, le plus souvent sans aucune conséquence douloureuse, au contraire, par exemple sculpter de la pierre.. et relever la sculpture pour la poser sur plot!-. Et hier, en me frictionnant d'orties.. J'AI TOTALEMENT ARRÊTÉ LA DOULEUR, ET DURABLEMENT !! C'est donc en effet l'afflux de sang dans l'endroit douloureux qui a sans doute stoppé le phénomène. Héroïque? Même pas, les piqures sont infiniment moins douloureuses que la douleur du lumbago et ne durent que 5 minutes!
Il note que les patients qui viennent le voir pour des problèmes de dos sont des gens qui ont tendance à se mettre sous pression. Profils : ceux qui sont particulièrement motivés, travailleurs, consciencieux, ambitieux, ceux qui cherchent à plaire, être aimés, être approuvés et les anxieux qui, dans leur enfance, ont manqué de réassurance émotionnelle*.
* Génial : j'ai les trois, comme beaucoup.
* Génial : j'ai les trois, comme beaucoup.
C’est le cerveau qui produirait les symptômes douloureux pour protéger le patient de certains traumatismes, une douleur physique étant plus acceptable qu’une douleur morale. "C’est cette pression que l’on s’impose soi-même qui est une des sources du mal de dos. A celle-ci viennent s'ajouter les pressions que la vie en général nous met sur les épaule."
Cela expliquerait pourquoi tant de personnes souffrent de lombalgie dans les pays industrialisés : le stress y est extrêmement fréquent, pourquoi dans la plupart des cas, on ne comprend pas d’où viennent ces douleurs et pourquoi les traitements conventionnels sont globalement inefficaces et le fait que la plupart les anomalies anatomiques détectées par les techniques d’imagerie (radio, IRM) ne sont pas responsables.
En encourageant ses patients à parler de leur vie personnelle et de leur stress, John Sarno constate que leurs douleurs disparaissent. Une bonne piste.
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Dans "The Mind Body Prescription", son deuxième ouvrage sorti en 1998 il explique qu'il n’y a pas que les douleurs lombaires et cervicales qui ont pour origine le stress. Les douleurs des genoux, des pieds, très courantes dans nos sociétés depuis une trentaine d’années, relèvent aussi de désordres liés au stress tout comme la fibromyalgie, un syndrome caractérisé par des douleurs musculaires chroniques et un sommeil non réparateur qui serait une forme sévère de TMS.
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En poème!! "La cloche de détresse"
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Quand la peine est trop lourde, c'est le dos qui en
prend la moitié. Roméo et Juliette, amours "cis- trans",
racisme.*
* Comme tout stress infligé inacceptable et particulièrement cruel, le racisme subi serait "lumbagogène" (!) Expérience -perso-.
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