dimanche 13 avril 2014

Le cas Agnelet père et fils, les familles de pervers ou les familles photoshop. LE grand vainqueur au jeu de massacre de femmes

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En quelques images, l'épilogue. Les familles "photoshop" version Agnelet  http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/blog-post_13.html
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Les familles photoshop version prolo en 4 images. Ce qui advient lorsqu'on viole l'omerta.




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Ce qui advient lorsqu’on brise l’omerta

Celui qui a osé parler, Guillaume Agnelet, 45 ans



Agnelet à l'époque de sa "splendeur"




 Une ressemblance étonnante.. avec un autre prédateur, Fourniret

 Celle qui l'a traqué 30 ans

La richissime nième épouse qui lui a servi d'alibi,
entravant la justice en sa faveur.. sans dommages pour elle

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"Guillaume Agnelet dégage une force, une sérénité que l'on voit parfois aux rescapés des grandes catastrophes. Il est un survivant. De son père." (Le Figaro). Un grand pervers dont une des épouses dit "il vous ferait croire qu'il fait nuit en plein jour".. et "qu'avec lui, il faut s'éloigner au plus vite, rien qu'en lui disant bonjour, on a déjà le doigt dans l'engrenage". Note : trois épouses -presque toutes riches-, quatre tentatives de suicide et une morte -pour ce qui est de sa maîtresse, Agnès-. Cela nous renvoie au violences psychologiques, au cas Kristina Rady, Anita etc..



 

Un suicide est parfois un assassinat 

Pourquoi a-t-il attendu si longtemps pour parler lui demande-t-on. La question devrait plutôt être: pourquoi les autres, et même lui jusqu'à ce jour, n’ont-ils rien dit ? L’omerta, clef de voûte de ces familles "photoshop" où les faits, clivés sous des couches de calques, sont floutés, coupés, collés ou renforcés par endroits, par tous, selon les ordres, le moment, les utilités, la peur ou l’intérêt (il y a gros à parier que Guillaume verra sa part d’héritage considérablement réduite.. et son frère, celui "qui ne se souvient plus", accrue !).. l'omerta donc a fonctionné. Dans ces familles, il n'y a en principe qu'UN seul créateur de l'image falsifiée -mais secondé par plusieurs kapos- entraînant le troupeau tout entier dans un système psychotique délirant où le terme même de vérité n’a aucun sens.


 

Le voilà donc à la barre. De Chambéry, il a accusé son père d'être l'assassin d'Agnès Le Roux -après qu'il l'ait consciencieusement plumée- un crime sans cadavre datant de 30  ans et il est venu répéter aux jurés de Rennes ce qui mine sa conscience depuis qu'il a 16 ans : son père lui aurait fait comprendre -ce que tout le monde sait- qu'il était bien l'assassin -malgré un alibi qui lui fut complaisamment fourni par celle à qui il transféra l'argent d'Agnès (!) et qu'il épousa par la suite-... et qui avoua longtemps après avoir menti.. aïe.. au moment de leur divorce.

Il explique d'abord qu'il n'est en guerre ni contre sa mère ni contre son frère.. Notons ici que c’est LUI  qui se sent coupable (!) de trahir et qui se justifie… selon l’inversion classique des valeurs dans les familles "photoshop" où la vérité est ce qui profite à un seul (censé profiter par ricochet à tous) et où ce qui est dit et répété par celui-ci, à force d’être martelé, finit par devenir… devenir quoi? vrai? question de définition : si, pour eux "vrai" signifie, utile, profitable, alors oui on peut dire "vrai". S’en persuadent-ils eux-mêmes ? Dans ces familles de pervers, devant un exhibitionniste en pleine action, on peut tout à fait s’exclamer (s'il est un de leurs membres ou le chef) "voyez donc comme il est pudique, on vous l’avait bien dit". Et celui qui osera dire "mais n'est-il pas en train de montrer sa..." passera pour fou halluciné. Le déni érigé au rang de bel art ; le réel, au rang de fantasme de psychotique, ça roule !
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Ceux qui "ne se souviennent pas" (!!) que leur père a avoué avoir tué Agnès, un trou de mémoire!

Et c’est donc Guillaume qui se justifie ! C’est toujours celui qui va à contre courant du roman familial (ou d’un consensus auquel tous se soumettent quel qu'il soit) qui doit se justifier.. encore davantage dans ces familles photoshop faites de décor, de mensonges et de lacunes qui brouillent tout. Il n’est pas en guerre dit-il contre son frère Thomas qui, comme leur mère, nie et l'accable.. bien qu'il ait été lui aussi l'objet de confidences de la part de leur père. (On observe ici que dans cette famille, le "chef" a une telle confiance en sa troupe qu'il ne se gêne même pas pour parler, à mots -à peine- couverts, de son crime! et c'est in fine ce qui va le faire tomber. Classique : un assassin non "pris" finit par éprouver une sorte d'ivresse mégalomaniaque -terreau de récidives-.. et presque toujours par se lâcher, comme si, fier d'avoir roulé tout le monde, il ne pouvait s'empêcher d'en faire état, au moins dans un cercle de fidèles -bénéfice secondaire, cela renforce son pouvoir-. A quoi bon une œuvre d'art si elle demeure dans un carton?) L'aveu avait eu lieu pendant un séjour à Paris, rue de l'Ouest, dans l'appartement qu'un ami leur prêtait.. et fut réitéré plusieurs fois, par exemple lors d'un épisode à l'aéroport de Genève au cours duquel leur père, de retour du Panama, aurait à nouveau admis devant ses deux fils avoir tué Agnès.
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"Thomas ne s'en souvient pas? Tant mieux pour lui, j'aimerais être à sa place", lance Guillaume. Idem pour sa mère qui elle même lui aurait confirmé -mais cette fois avec des détails intéressants- que leur père avait tué Agnès en Italie, près de Monte Cassino où, après le transfert de son argent (!) ils étaient allés faire une virée en amoureux, campant dans la nature, loin de tout (une enquête préliminaire vient d'être ouverte).. Elle aussi a tout oublié*. Du coup, les deux larrons s'entendent pour faire passer Guillaume pour fou halluciné ou débile mental, classique aussi. "Il n’a pas les mêmes compétences intellectuelles que moi" dit froidement de lui son frère, sans rire (!!) Un "pas futé", malade psychique.. fragile, sous anti dépresseurs ajoute sa mère (!) Malade? dans un tel environnement, être en bonne santé psychique serait pathologique.. Et dans la foulée de tout pervers/e qui se respecte, elle ne manque pas de proclamer "mais il reste mon fils et je l'aime" (on voit ici les mêmes formules exactement d'Adèle à l'encontre de Léna -qui elle aussi dénonce une maltraitance infantile gravissime dans la famille d'Adèle- comme si les pervers dans leur ensemble, tout milieux et cultures confondus -ici on est le prolétariat immigré inculte et "nature"- se ressemblent comme des calques.)


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LE DOSSIER "pervers dits narcissiques"
http://femmesavenir.blogspot.com/2014/02/pervers-narcissiques-le-dossier.html

Devant un dialogue surréaliste comme celui qui va suivre, on peut s’interroger sur l’art et la manière de rendre quelqu’un -surtout un enfant- fou ou, s'il est solide, de le déséquilibrer de manière durable. Guillaume cite :
Guillaume: --Tu m'avais bien dit qu'il était coupable?
La mère : --Ce n'est pas parce que je te l'avais dit qu'il l'est. (!)

La mère admet donc dans une même mouvement l’avoir dit.. et avoir -peut-être- menti.. et se targue précisément de son propre mensonge pour le tacler, lui qui y a cru.  (!) En général, on croit sa mère (!).. et ici précisément, que celle-ci ait pu "inventer" une telle affaire ne peut s'imaginer. Ça s'appelle le double bind (reprocher à une victime ce qu'on l'a obligée ou conduite à faire.. lui donner deux ordres contradictoires) et c'est une manière de rendre l'autre fou. Pervers, Maurice Agnelet ? oui, mais elle ne l’est pas moins : cela confirme, la perversion dans un groupe familial se transmet...


elle se tait donc.. soit par intérêt -Agnelet est riche- soit par peur -s’il a tué Agnès, elle peut tout redouter de quelqu'un fort introduit auprès de la maffia à laquelle il a rendu un sacré service-.. soit même sans aucun intérêt [le syndrome de Stockholm ? Adèle par exemple n’a aucun intérêt à défendre son père contre sa sœur qui est sa victime, surtout pas devant Léna –le rapport de forces étant sur ce coup largement en sa défaveur, elle joue gros- mais il n’empêche qu'elle va se lancer à l’attaque avec une virulence qui finira par l’emporter.] Les pervers déteignent sur leur groupe : l’omerta, la peur de l’extérieur perçu comme menaçant.. les conduisent à se taire et au sacrifice de celui qui a parlé, "trahi". [Dans le cas Adèle, Anita-Iphigénie lorsqu’elle revient et dénonce son grand père, est sacrifiée sans le moindre état d’âme.] Les familles photoshop sont aussi des familles –maffias. 

Lui :  Mais tu me l'as dit!
Elle: Tu n'en as pas la preuve.
Elle le menace -à mots couverts- cette fois... Et il s’agit d’un dialogue intime entre mère et fils ! elle pose tout de suite les marques : si tu parles, je nierai -ce sera ma parole contre la tienne-! et je te ferai passer pour fou.. (Et on se demande pourquoi il a mis si longtemps à parler !) C’est exactement ce qui advint.. mais ça a raté. Bravo aux jurés et à Guillaume.

Note: se taire n'est-il pas justiciable? N'est-ce pas faire en pochoir comme un faux témoignage, mentir par omission? Et mentir carrément (comme Françoise Lesseure lorsqu'elle assure être avec Agnelet au moment supposé du meurtre)? Il semble que non.

* Ses dénégations cependant sont emberlificotées, légèrement décalées et peu convaincantes. "Je trouve ça totalement irréaliste et rocambolesque... (oui, mais ce n'est pas la question). Je n’ai jamais prononcé ces propos.. (étrange formule, on dirait un rapport de police). Je suis sa mère et je le resterai toujours (ça n'a rien à voir.. et ça peut s'entendre de manière ambiguë) mais je suis totalement démunie face à ses déclarations (démunie? Terme impropre -elle est prof cependant- et de toutes manières cela ne dit rien sur leur véracité). Je ne comprends pas. Je n’aurais jamais imaginé qu’il puisse faire de telles déclarations.. (est-ce à dire "si j'avais su, je ne lui aurais rien dit." "?)
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TOUS LES ARTICLES  AGNÈS LEROUX/ AGNELET 


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Cet article-ci
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En images
Pervers sans frontières -en images, le cas Adèle..
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Dossiers annexes : presque tous ! -mais à propos du cas Adèle, celui-ci-


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NOTE HILARANTE AU SUJET D'UN TEXTE QUI NE L'EST PAS !!
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Cet article offre la particularité unique de pouvoir renvoyer à presque tous les dossiers de ce blog féministe.. et s'adapter comme un gant à chacun. Agnelet, au jeu de massacre de femmes, est donc LE grand vainqueur.

DOSSIER MALTRAITANCE INTRA FAMILIALES (celui qui ose braver l'omerta)


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DOSSIER VIOLENCES PSYCHOLOGIQUES (parfois des suicides au bout)
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/02/les-dossiers-violences-psychologiques.html
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DOSSIER DÉLINQUANCE MARITALE (vol, manip et escroqueries en tout genres
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DOSSIER PERVERS DITS NARCISSIQUES

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DOSSIER PSYCHIATRIE, LES "ENCOMBRANT/ES" (ceux qui dérangent et "parlent")
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DOSSIER KRISTINA RADY (les suicides induits)
http://femmesavenir.blogspot.fr/2013/09/laffaire-kristina-rady-le-dossier.html

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