DSK : l'affaire du Carlton a mis en évidence un type de viol assez peu qualifié (car ses victimes, souvent des prostituées, ne portent en général pas plainte), que j'appellerais le viol par abus de pouvoir ou "extension abusive de prestations tarifées consenties" (voire escroquerie si celles-ci correspondent à une spécialité de "services", si j'ose le terme, mieux tarifée mais non acceptée par la victime*.) DSK en ce sens semble avoir été un pro puisque beaucoup de prostituées le refusaient comme client en raison justement de ces "escroqueries", de sa brutalité -qui ici confine à des actes de torture-.. et de ses fréquents dépassement d'honoraires, pardon, de prestations.
* Exemples : relations sado masochistes ; rapports non protégées ; sodomies violentes ; ou tout type de scénars -souvent répugnants- hors "normes" refusés d'emblée [autrefois, au cours d'une réunion -c'était pendant la grève des prostituées lorsqu'elles occupaient l'église de Montparnasse-, les non prostituées -moi du moins- découvrirent avec effarement l'imagination inépuisable et sans bornes de certains en apparence bien sous tout rapports -défécation sur la prestataire ou l'inverse, selon le client, grand prêtre mystagogue ordonnateur de la cérémonie, exigences qu'elle défèque ou au minimum urine sur lui, sous menaces etc-..] CELA PART DU PRINCIPE QUE, VIS À VIS D'UNE FEMME QUI SE VEND OU SE LOUE -PARTIELLEMENT-, ON PEUT TOUT EXIGER : ELLE N'EXISTE PLUS EN TANT QU'ÊTRE HUMAIN.
Http://bitissime.blogspot.com
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Le syndrome Anne Sinclair, la victime -collatérale - qui minimise des actes de délinquance extra muros
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/anne-sinclair-de-la-minimisation-des.html
dans cette affaire les actes décrits sont non seulement"mieux tarifés mais non acceptés", mais clairement refusés et explicitement dits lors des faits et revendiqués ultérieurement comme tels.
RépondreSupprimerIls décrivent précisément ce qu'est la prostitution quelque "luxueuses" que soient les rétributions.
vous le relatez parfaitement.
ils dénoncent des viols qualifiés. ils ne peuvent l'être réellement que par suite de dépôt de plainte avec constitution de partie civile.
cela pose le problème des menaces et de violences possibles, voire meurtre des plaignante.
cela pose le problème de l'attitude des associations, invariante durant le procès.
cela pose le problème de la protection nécessaire et de l'engagement en ce sens des soutiens.
je pense que le courage affiché par toutes mérite que l'on poursuive et que l'on dégage les voies et les manières de mise en forme des suites de cet immonde procédure.