"Autrefois, je détestais les riches, mais c’était avant de connaitre les
pauvres."
"La sagesse populaire, on connaît. C’est elle qui a élu Hitler en 33."
"J'aime le peuple, je déteste ses oppresseurs, mais ce serait pour moi un supplice que de vivre avec."
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"J'aime le peuple, je déteste ses oppresseurs, mais ce serait pour moi un supplice que de vivre avec."
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Le penchant
naturel du peuple ignorant tend à lui faire soupçonner celui qui l'aime et à
lui donner confiance envers celui qui le trompe.
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Il y a une chose dont je suis certain c’est qu’il y a autant
de misogynes femmes qu’hommes. Ce n’est pas un
truc de mecs, la misogynie.
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Une femme sans homme, c’est comme un poisson sans
bicyclette.
Les animaux sont moins intolérants que nous : un cochon affamé mangera du musulman.
Il se dessine de façon tangible, dans la génération qui monte, une espèce d’ambition glacée d’arriver par le fric et un mépris cynique de tous les idéaux assez peu compatible avec l’idée qu’on se fait de la jeunesse éternelle génératrice de fougues irréfléchies et de colères gratuites.
Dans notre édition d’hier, une légère erreur technique nous a fait imprimer les noms de champignons vénéneux sous les photos des champignons comestibles et vice versa. Nos lecteurs survivants auront rectifié d’eux-mêmes.
Dans "Une journée particulière" d’Ettore Scola, Mastroianni, poursuivi dans sa garçonnière par les gros bras mussoliniens, s’écrie à l’adresse du spadassin qui l’accuse d’antifascisme : "Vous vous méprenez, monsieur, ce n’est pas le locataire du sixième qui est antifasciste, c’est le fascisme qui est antilocataire du sixième."
Les racistes sont des gens qui se trompent de colère
En vrac, devinez
La Boétie, Desproges, Stendhal et sans doute Allais
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