Fidèle à qui te désole et aveugle à qui tu aimes,
Toi,
dont l’amour évanescent et bohème
Triomphe dans l’absence et dans la nostalgie,
Triomphe dans l’absence et dans la nostalgie,
Le
présent dans le passé et le futur aboli,
Tu
n’aimes que ceux qui se tiennent à distance..
La
parole qui blesse… le silence,
Le désir d’un instant parenthèse que tu rappelles.
Le désir d’un instant parenthèse que tu rappelles.
Parfois.
Passivité douce et cruelle.
Pour te plaire, il faut le geste qui repousse.
Inerte, tu hèles et fuis aussitôt ta source,
Chassant de mépris le lutin accouru.
Pour te plaire, il faut le geste qui repousse.
Inerte, tu hèles et fuis aussitôt ta source,
Chassant de mépris le lutin accouru.
Être
ondoyant en qui rien ne demeure,
Une seconde seulement et la joie indue
Une seconde seulement et la joie indue
Sous
ton regard atone se meurt.
Sans
rêves, sans passion et sans espoir,
Le
reflet dont le charme expirant à valoir,
Où ton souvenir se plonge.. de biais!
Où ton souvenir se plonge.. de biais!
Te suffit, scintillant et glacé.
Peur
que l’on t’envahisse
Solitaire
client d’ANPE accablées
Tu
vas, viens, erres et te hisses
Puis retombes en soufflet.
ANALYSE
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/05/celimene-et-dom-juan.html
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