mercredi 14 mai 2014

La "loi" juive sur le divorce : des femmes racketées pour obtenir leur liberté, des macs et des putes




Et des hommes qui en profitent : en somme, des maquereaux. Avec la bénédiction de certains rabbins ! 
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Si je résume, lorsqu'une femme veut divorcer et obtient effectivement le divorce (assorti par exemple de quelques obligations pour le mari, pension, partage des biens etc...) elle se trouve de fait bannie de la Communauté (il lui est notamment interdit de se remarier) si celui-ci ne lui donne pas devant le "tribunal" et le rabbin, le fameux "guet", une sorte de quitus, l'équivalent d'un divorce religieux.. mais LAISSÉ A SA SEULE DISCRÉTION!! Vous avez compris. Au cas où le divorce civil lui a été imposé et lui a été défavorable, celui-ci, qui la "tient"... va parfois la faire chanter (souvent? Évidemment on n'a pas de chiffres sur cette douloureuse question mais le grand rabbin affirme qu'il y a de nombreux cas qu'"il essaie de régler au mieux dans l'intérêt de tous" -le Saint homme!- mais forcément sur le nombre, des ratés !) En d'autres termes, la mari va monnayer son accord. Cher (le cas ici cité, qui a fait scandale, entériné notons le par le grand rabbin lui-même ! a marqué les esprits par la démesure des exigences du gus, mais combien y en a-t-il d'autres, plus "modestes"?)

La femme va donc "acheter" (c'est le mot employé!) sa liberté, donc s'acheter elle-même (comme les putes désireuses de quitter le job mises "à l'amende" par leur mac) abandonnant les acquis -par exemple financiers..- obtenus par le tribunal civil qui pour la communauté juive, valent peau de balle. (Déjà on est limite de la légalité : au nom de quoi un groupe religieux se met-il hors la loi civile?) Vous imaginez aisément la suite : si elle veut se remarier, il lui faudra mettre la main au chéquier, elle.. ou son prétendant, si elle n'a pas les moyens de payer la somme exigée -ce qui est le cas général, justement, cercle vicieux-.. son prétendant donc qui devra la "racheter" à son ex et au prix fixé par celui-ci. Dans le Milieu, on appelle ça "vendre -ou acheter- une femme", et ceux qui se livrent à ces transactions, des macs. Là, c'est la loi juive, avec, redite, bénédiction -ici du grand rabbin soi-même-. Juste une question d'appellation. 

PS : D'un autre côté, être suffisamment ... mettons aliénée pour tenir jusqu'à en perdre la raison à un tel bout de papier... alors que la loi civile qui en dispense prévaut !! N'ont-elles pas ce qu'elles méritent ? Culture... toujours!
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http://www.lexpress.fr/actualite/societe/religion/chantage-au-divorce-le-rabbinat-francais-est-conservateur-voire-reactionnaire_1543598.html#Bs1ufJLMQGpmmbmE.99
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http://www.lepoint.fr/societe/divorce-l-affaire-qui-dechire-la-communaute-juive-14-05-2014-1822908_23.php
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[Le film -récent- qui  illustre cette horreur : http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/05/divorce-religieux-chez-les-juifs.html]
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LE DOSSIER "culture, un autre mot pour racisme"
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/05/cultures-et-racisme.html

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