samedi 17 mai 2014

Divorce religieux chez les juifs... C'est pas de la tarte ! Le sabre et le talleth


Illustration par le film de Slomi Elkabetz  http://next.liberation.fr/cinema/2014/05/16/l-epoux-dans-la-tete_1019226

En Israël, soit, les malheureuses n'ont pas le choix, c'est au mari SEUL d'accorder ou non le "guet" qui va les libérer -et s'il n'a pas été à l'initiative de la rupture, il en profite évidemment pour faire durer le plaisir voire pour les racketter voir lien-.. mais ailleurs? Être à ce point soumises à une "loi" qui les bousille, au point de mendier et d'acheter -et hors de prix dans le cas cité dans le lien- ce "guet" alors qu'elles pourraient aisément s'en passer, la loi civile ici s'en foutant comme peau de balle, cela fait s'interroger : au fond n'ont-elles pas ce qu'elles méritent ? C'est la "culture" : elles seront bannies de la communauté si elles se remarient sans "guet". Bigames, mauvaises juives, femmes perdues, putes. Question : n'est-ce pas en suppliant pour ce guet -et en consentant à payer- qu'elles se comportent exactement en putes qui veulent se racheter à leur mac? Les macs, dans le Milieu, ont des arguments sonnants, soit, on comprend qu'elles n'ont pas le choix. Mais ici. Ici c'est le rabbin - et la "loi" qu'il est censé représenter et faire exécuter - qui font office de flingue.


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LE DOSSIER "quand on me parle de culture. ."http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/05/la-loi-juive-sur-le-divorce-des-femmes.html

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