En :musique ici http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/06/une-maitrise-de-maths-cest-utile.html
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Le concept : le machisle. Certains hommes (est-ce culturel? Peut-être mais..) se croient autorisés avec certaines femmes -ou avec toutes, ce qui en un sens est plus "égalitaire"- à adopter un comportement, à induire un rapport qui certes n'est pas ouvertement violent MAIS QUI NE POURRAIT JAMAIS AVOIR LIEU DANS L'AUTRE SENS et qu'il n'auraient jamais avec un autre mec, ou alors avec un homme très jeune ou socialement inférieur (!) comme par hasard, employé municipal africain sur sa benne, concierges etc.. Donc un rapport "machisle" ; ils sont sur leur île et n'envisagent jamais que l'autre -la femme- ne veuille pas y accéder même si elle est paradisiaque. Ils "forcent" la cordialité. Tout est question de nuances et cela parfois -rarement- peut être apprécié, sympathique. mais la plupart du temps, même si les femmes font semblant de sourire -ou ne disent - rien, cela aboutit à une gêne qu'elles n'expriment que rarement, d'où le malentendu qui perdure ("les autres ne disent rien ou se marrent, qu'est-ce que c'est cette snob, pour qui se prend-elle?") Elles ne souhaitent pas forcément sympathiser, non que l'homme soit déplaisant -parfois- mais parce que c'est comme ça, elles ont autre chose en tête, un article, un tableau ou seulement une montagne de vaisselle à faire.. et que de toutes manières, si elles ne se permettraient jamais, elles, d'aborder ainsi un inconnu -sous peine de passer pour une pute- elles ne voient pas la raison que lui se le permette. Logique, non?
Il est significatif que les hommes qui agissent ainsi croient vraiment faire plaisir (quelle arrogance au fond!) et acceptent très mal d'être simplement ignorés. On passe alors directement de la petite plaisanterie niaise à la quasi insulte, non formulée s'ils sont bien élevés, ou au rencoignage hautain que montre l'image. Certaines femmes plus que d'autres sont soumises à ce type d'agressions "soft" qui multipliées par un facteur x deviennent pénibles, les caissières de super marché par exemple. Il est également révélateur que la position sociale jugée inférieure favorise ces dérives: double ou triple handicap, femme + caissière + jeune, ça craint. Ayant, étudiante, brièvement travaillé, comme caissière justement, j'ai constaté que 1 c'était très courant et quasi accepté par mes collègues "blindées" 2 qu'ils croyaient me/nous faire plaisir et 3 lorsque j'annonçais la couleur, qu'ils débandaient aussitôt. RA-DI-CAL! C'est donc bien la supposée infériorité des victimes qui permet ce type de comportement et l'égalité ou la soi disant égalité -voire la supériorité ou la soi disant supériorité- rétablies, hop ça redescend => plus sympa du tout, soudain, les gus, souvent. (Sauf un médecin que je ne connaissais pas, qui m'expliquait un truc lentement, habitué sans doute ? à une clientèle particulière, à qui j'ai fini par dire, agacée, "j'ai compris, inutile de répéter" et qui, stupéfait, m'a demandé ma profession... puis a observé "alors il va falloir que je fasse attention à ne pas dire de conneries", j'ignore si c'était au premier ou second degré car je ne l'ai plus revu.. mais le fait est que lui aussi a marqué l'arrêt comme une oie qui a trouvé un couteau.) Bref, la tronche s'allonge. Les didascalies ne sont pas celle que l'on attendait (gloussements, sourires -souvent forcés!-), ça ne fontionne plus. Donc ce type de comportement qui se donne pour amical -et pour lequel j'ai récemment repris un mec qui se dit féministe- est en fait un comportement violent.
Un autre, plus grave, consiste à proférer des obscénités en prétendant expliquer ou relater, parfois en les mettant dans la bouche d'un autre: c'est aussi un comportement violent et là, directement, sexuellement.. J'ai aussi dû reprendre un pote et même deux. Stop ! Ils ont été étonnés, ils ne me croyaient pas si bégueule, alors que moi je me permets parfois un langage hard. Oui coco mais ce n'est pas pareil. Imbécillité? Il a fallu expliquer.
Note : une femme sur cinq (?) sans doute davantage car on n'en parle pas, a subi une agression sexuelle et une sur dix (?) sans doute davantage etc... un viol. Donc lorsque vous parlez à une femme, sachez le. Et mettez un bémol... voire deux. Ce n'est pas pareil que parler à un homme et dites vous toujours "est-ce que ce que je fais serait possible dans l'autre sens?" Ou "est-ce que je parlerais ainsi à un homme?" et si la réponse est non, abstenez vous.
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Le concept : le machisle. Certains hommes (est-ce culturel? Peut-être mais..) se croient autorisés avec certaines femmes -ou avec toutes, ce qui en un sens est plus "égalitaire"- à adopter un comportement, à induire un rapport qui certes n'est pas ouvertement violent MAIS QUI NE POURRAIT JAMAIS AVOIR LIEU DANS L'AUTRE SENS et qu'il n'auraient jamais avec un autre mec, ou alors avec un homme très jeune ou socialement inférieur (!) comme par hasard, employé municipal africain sur sa benne, concierges etc.. Donc un rapport "machisle" ; ils sont sur leur île et n'envisagent jamais que l'autre -la femme- ne veuille pas y accéder même si elle est paradisiaque. Ils "forcent" la cordialité. Tout est question de nuances et cela parfois -rarement- peut être apprécié, sympathique. mais la plupart du temps, même si les femmes font semblant de sourire -ou ne disent - rien, cela aboutit à une gêne qu'elles n'expriment que rarement, d'où le malentendu qui perdure ("les autres ne disent rien ou se marrent, qu'est-ce que c'est cette snob, pour qui se prend-elle?") Elles ne souhaitent pas forcément sympathiser, non que l'homme soit déplaisant -parfois- mais parce que c'est comme ça, elles ont autre chose en tête, un article, un tableau ou seulement une montagne de vaisselle à faire.. et que de toutes manières, si elles ne se permettraient jamais, elles, d'aborder ainsi un inconnu -sous peine de passer pour une pute- elles ne voient pas la raison que lui se le permette. Logique, non?
Il est significatif que les hommes qui agissent ainsi croient vraiment faire plaisir (quelle arrogance au fond!) et acceptent très mal d'être simplement ignorés. On passe alors directement de la petite plaisanterie niaise à la quasi insulte, non formulée s'ils sont bien élevés, ou au rencoignage hautain que montre l'image. Certaines femmes plus que d'autres sont soumises à ce type d'agressions "soft" qui multipliées par un facteur x deviennent pénibles, les caissières de super marché par exemple. Il est également révélateur que la position sociale jugée inférieure favorise ces dérives: double ou triple handicap, femme + caissière + jeune, ça craint. Ayant, étudiante, brièvement travaillé, comme caissière justement, j'ai constaté que 1 c'était très courant et quasi accepté par mes collègues "blindées" 2 qu'ils croyaient me/nous faire plaisir et 3 lorsque j'annonçais la couleur, qu'ils débandaient aussitôt. RA-DI-CAL! C'est donc bien la supposée infériorité des victimes qui permet ce type de comportement et l'égalité ou la soi disant égalité -voire la supériorité ou la soi disant supériorité- rétablies, hop ça redescend => plus sympa du tout, soudain, les gus, souvent. (Sauf un médecin que je ne connaissais pas, qui m'expliquait un truc lentement, habitué sans doute ? à une clientèle particulière, à qui j'ai fini par dire, agacée, "j'ai compris, inutile de répéter" et qui, stupéfait, m'a demandé ma profession... puis a observé "alors il va falloir que je fasse attention à ne pas dire de conneries", j'ignore si c'était au premier ou second degré car je ne l'ai plus revu.. mais le fait est que lui aussi a marqué l'arrêt comme une oie qui a trouvé un couteau.) Bref, la tronche s'allonge. Les didascalies ne sont pas celle que l'on attendait (gloussements, sourires -souvent forcés!-), ça ne fontionne plus. Donc ce type de comportement qui se donne pour amical -et pour lequel j'ai récemment repris un mec qui se dit féministe- est en fait un comportement violent.
Un autre, plus grave, consiste à proférer des obscénités en prétendant expliquer ou relater, parfois en les mettant dans la bouche d'un autre: c'est aussi un comportement violent et là, directement, sexuellement.. J'ai aussi dû reprendre un pote et même deux. Stop ! Ils ont été étonnés, ils ne me croyaient pas si bégueule, alors que moi je me permets parfois un langage hard. Oui coco mais ce n'est pas pareil. Imbécillité? Il a fallu expliquer.
Note : une femme sur cinq (?) sans doute davantage car on n'en parle pas, a subi une agression sexuelle et une sur dix (?) sans doute davantage etc... un viol. Donc lorsque vous parlez à une femme, sachez le. Et mettez un bémol... voire deux. Ce n'est pas pareil que parler à un homme et dites vous toujours "est-ce que ce que je fais serait possible dans l'autre sens?" Ou "est-ce que je parlerais ainsi à un homme?" et si la réponse est non, abstenez vous.
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/03/nous-nirons-plus-au-bois-le-viol-mini.html
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LE DOSSIER "le complexe de Dom Juan"
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/06/quand-deux-hommes-se-battent-pour-une.html
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