Réponse à F.S.
La femme-trophée dis-tu, la cliente privilégiée de Mpn? Ou la femme esclave, naïve et disons le carrément, un peu cucul -comme on peut parfois voir sur des fils de FB-? Je dirais les deux : l'idéal étant une femme-trophée mais qui ne le sait pas* -et il va faire en sorte qu'elle ne le découvre jamais!- et qui pour lui fonctionne comme femme-esclave. Ou la femme-trophée qu'il va affouiller de sorte qu'elle glissera dans la fosse aux lions. Pas trop tout de même : bouffée, elle n'offre plus d'utilité, mais juste assez. L'idéal étant deux femmes, une trophée et une esclave évidemment.
La femme-trophée dis-tu, la cliente privilégiée de Mpn? Ou la femme esclave, naïve et disons le carrément, un peu cucul -comme on peut parfois voir sur des fils de FB-? Je dirais les deux : l'idéal étant une femme-trophée mais qui ne le sait pas* -et il va faire en sorte qu'elle ne le découvre jamais!- et qui pour lui fonctionne comme femme-esclave. Ou la femme-trophée qu'il va affouiller de sorte qu'elle glissera dans la fosse aux lions. Pas trop tout de même : bouffée, elle n'offre plus d'utilité, mais juste assez. L'idéal étant deux femmes, une trophée et une esclave évidemment.
Réponse à d'autres internautes dur (euh;.. sur!!) un fil de FB dédié aux victimes de Mpn
Lorsque j'ai avoué sur ce fil que j'avais téléphoné à mon ex -comme à dix autres, des potes, aux gendarmes, à un parent et voisin etc..- après avoir subi un KO et m'être réveillée seule, sonnée, dans un lieu isolé -chez moi- (j'ai même eu peur d'avoir été violée.. non ce n'était pas le cas, ça n'a pas dû durer plus d'une seconde) j'ai reçu un tollé de reproches dont j'accepte certains, justifiés et bienveillants style "ne refais pas ça, c'est une connerie, tu sais très bien ce qu'il va advenir, n'as-tu pas déjà cotisé? etc.." (Mon ex a en effet tendance, lorsque quelque chose va mal à enfoncer le clou jusqu'à la garde sur le mode tavéka jetavadi... c'est à dire "bien fait pour toi"... ce qui évidemment empire le mal être.) Oui, mais là ce ne fut pas le cas, au contraire. Il faut dire que la "conversation" n'a duré que le temps de trois ou quatre phrases pour moi, idem pour lui. ["J'ai été agressée par X. Je suis chez moi. Non je ne vais pas te raconter. Un peu sonnée mais ça va. J'ai appelé C. et les gendarmes. Je te le dis pour que tu saches que, s'il m'arrive quelque chose, c'est lui." -Je craignais que mon agresseur, -je n'ai rien vu venir**!- ne revienne finir le job.-] Sonné à son tour, plus peut-être par la personnalité de l'agresseur que par le KO -un brave type d'habitude, un bon pote- mon ex m'a aussitôt proposé de venir. "Non, pas du tout, je t'ai appelé juste pour que tu saches, comme j'en ai appelé d'autres, c'est tout, ne t'en fait pas, ça ira.. merci.. clic.."
Donc j'ai tout à fait accepté certains reproches -observons qu'après un KO on n'a pas les idées très claires ce que personne n'a pointé et finalement tant mieux, cela signifie qu'aucune n'avait eu cette pénible expérience-. Mais d'autres, à vrai dire, UN autre étaient... exactement sur le mode sus cité, celui de la malveillance rétorsive ["tu le relances et ensuite tu te plains cébienfé vapateplaindre après" je résume.. et la parfaite d'ajouter "moi jépafé... cécomemoikifofair -sous entendu- pauvre andouille", je résume aussi, l'esprit mais non la lettre...] Ce n'est pas le sujet ici mais par parenthèse, certain/es dans ce groupe semblent coutumier/es de ce type d'algarades adressées systématiquement à des femmes dans des situations souvent encore plus tragiques et au moment les pires, ce qui est exactement l'attitude d'un Mpn et pose du reste une question intéressante : un Mpn peut-il le devenir après avoir été victime d'un autre qu'il n'a pas vaincu -ou même qu'il a vaincu-? à laquelle on peut ici répondre oui... Un transfert sans doute, la blessée liquidant son trauma en rejouant le rôle de son agresseur contre des plus faibles, plus fragiles et plus démuni/es dans son rôle à elle, afin de liquider sa blessure dite narcissique, leur reprochant leur faiblesse, ce qui est pervers*** et se mettant en scène comme exemplaire.
Mais cela a le mérite de soulever une question plus importante sur le fond : il semble que certaines victimes de Mpn aient eu à cœur de partir sans retour en laissant héroïquement "tout" derrière elles et de n'avoir rien réclamé de leur dû quelqu'il soit, y compris si elles ont été ainsi réduites à la misère... "J'ai acheté ma liberté", leur leitmotiv. Certes. Mais ce faisant, elles FONT EXACTEMENT LE JEU DE LEUR AGRESSEUR qui leur a inculqué au marteau des années durant parfois qu'elles étaient des incapables, vénales, perverses -oui!!-, jalouses, envieuses, âpres au gain -oui!-, égoïstes -oui!-.. En fait, elles semblent TOUJOURS SOUS CONTRÔLE : croyant se libérer, elles lui "obéissent" même après coup, comme s'il était imprégné en elles. (S'y ajoute le fait aggravant que fréquemment elles ont déjà été dans l'enfance victimes de ce type de personnage.) "C'est pour éviter les conflits"**** entend-on aussi, "il y a tellement de motifs de bagarre, inutile d'en rajouter un!!" ou encore : "Je ne veux plus rien avoir à faire avec lui, tout contact est interrompu, c'est le seul moyen de me protéger.." voire pire : "si je fais ça, il va vouloir renouer -ou me démolir- et je n'ai pas le courage, j'ai peur de moi-même.." Michèle porte le gonfalon avec son : "Je peux marcher la tête haute, je ne lui dois rien" -Oui, mais lui?-.. BIEN ! JOLI ! UN PEU THÉÂTRAL PEUT-ÊTRE... mais à qui cela profite? Inutile de poser la question. Cette tentation de l'héroïsme, il faut absolument s'en garder et SAVOIR QU'ELLE PROVIENT DE L'AGRESSEUR, UN RELIQUAT DU LAVAGE DE CERVEAU QU'ON A SUBI [mais souvent on n'en prend conscience que des années après une rupture, lorsqu'il est -presque- trop tard] : personnellement, à présent, je ne crains nullement ni n'ai honte de réclamer la moitié de nos avoirs plus une indemnité compensatoire et fortement, judiciairement s'il faut... ni d’utiliser les compétences -juridiques- de mon ex lorsque je l'appelle après avoir été mise KO.. et je suis à la fois surprise et gênée que tant de femmes aient joué envers moi la partition du "attention danger" -soit, là, elles ont raison- suivie cependant par une seule "tépaforte comme moi, bien fait, va pas pleurer après, moi, j'en ai chié mais voilà etc.." (car dans sa version la pire, la tentation de l'héroïsme est associée à la valorisation chrétienne -et narcissique- de la souffrance perçue comme exemplaire, formatrice -style anciens combattants- prétexte à vilipender ceux/celles qui n'en ont pas assez bavé, une sorte de jalousie rétrospective catastrophique des victimes entre elles.)
Stop à cet irrédentisme qui démolit certaines d'entre nous, la majorité.. -et d'autres par ricochet si les "hérosses" se donnent en exemple- : vous êtes sur un radeau qui coule, KO dans un lieu désert, ou seulement dans la merde voire autre cas moins grave? N'ayez aucun scrupule à avoir recours à votre ex -surtout s'il vous doit- et à ses compétences éventuelles à condition de garder le cap ferme : c'est vous qui l'utilisez -vous l'avez assez été dans le passé- vous en avez le droit et il ne tirera rien de vous pour autant, juste un merci et clic. Le fait d'ailleurs d'y renoncer n'est pas bon signe : c'est le signe que vous ne vous sentez pas assez "fortes" et qu'au fond, reste en vous encore imprégnée l'idée que vous ne le devez pas, ne le méritez pas, devez "AS-SU-MER", le grand mot -fautif- toujours sans la bouche du Mpn. ("Pars si tu veux mais je te préviens, tu as choisi -sous entendu je ferai ce que je veux et tu n'auras rien-, phrase leitmotiv de la plupart de ceux-ci lorsqu'ils sentent le vent tourner et le rupture proche, un moyen inusable de "tenir" encore leur cliente un peu plus.)
* Le cas est fréquent, très : on voit ainsi, surtout dans des lieux reculés et isolés, de pénurie, des couples improbables formés de femmes performantes voire hyper performantes, belles, charismatiques -ou qui le seraient en d'autres endroits- appariées à des olibrius dont on se demande littéralement comment ils peuvent subsister... et qui semblent non seulement ne pas se rendre compte de la déficience desdits mais même s'imaginer parfois qu'elles ont bien de la chance de les avoir ferrés. L'inverse est beaucoup plus rare.
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**Une intello contre un non intello, sans doute cela a-t-il joué? Plus d'arguments soudain et.. rien VU VENIR! L'argument "coup de boule" faute d'un autre -d'autant plus qu'en effet il n'en avait pas en magasin.-
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*** Car.. petit cours de pédagogie! lorsqu'on reproche -de manière malveillante- une propension à quelqu'un, on est à peu près certain de l'aggraver. De même lorsqu'on le/la loue : on devient ce que l'autre "observe" ou feint d'observer de nous par son regard, selon qu'il est malveillant ou bienveillant.. une curieuse osmose que connaissent tous les profs, les acteurs, les politiques s'effectue avec le public : lorsque celui-ci vibre à l'unisson, il nous pousse des ailes ; dans le cas inverse, on devient encore plus nul -ou nul si on ne l'était pas avant. L'avantage de l'écriture !
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**** Le fait est que -dans mon cas- le conflit hard est survenu au moment où j'ai osé dire que la maison que certes j'avais quittée était aussi mienne (Ohhh? Tu oses? ça l'a beaucoup scandalisé) et pire, que j'avais un droit de regard sur les travaux... et encore pire ! droit à une indemnité compensatoire en raison de l'écrasante inégalité de nos revenus. C'est là qu'ont surgi comme d'un chapeau les mots de "ratée minable envieuse jalouse, je te voue une haine mortelle etc..") Il faut le supporter, mais ce n'est pas grave : un transfert là aussi, ma TR ne lui donnant apparemment pas toutes les satisfactions qu'il méritait et que je lui prodiguais autrefois, mis à part que chez elle touténikel.
L'affaire, résumé
http://femmesavenir.blogspot.fr/2015/01/reponse-une-internaute-sur-les-pervers.html
Donc j'ai tout à fait accepté certains reproches -observons qu'après un KO on n'a pas les idées très claires ce que personne n'a pointé et finalement tant mieux, cela signifie qu'aucune n'avait eu cette pénible expérience-. Mais d'autres, à vrai dire, UN autre étaient... exactement sur le mode sus cité, celui de la malveillance rétorsive ["tu le relances et ensuite tu te plains cébienfé vapateplaindre après" je résume.. et la parfaite d'ajouter "moi jépafé... cécomemoikifofair -sous entendu- pauvre andouille", je résume aussi, l'esprit mais non la lettre...] Ce n'est pas le sujet ici mais par parenthèse, certain/es dans ce groupe semblent coutumier/es de ce type d'algarades adressées systématiquement à des femmes dans des situations souvent encore plus tragiques et au moment les pires, ce qui est exactement l'attitude d'un Mpn et pose du reste une question intéressante : un Mpn peut-il le devenir après avoir été victime d'un autre qu'il n'a pas vaincu -ou même qu'il a vaincu-? à laquelle on peut ici répondre oui... Un transfert sans doute, la blessée liquidant son trauma en rejouant le rôle de son agresseur contre des plus faibles, plus fragiles et plus démuni/es dans son rôle à elle, afin de liquider sa blessure dite narcissique, leur reprochant leur faiblesse, ce qui est pervers*** et se mettant en scène comme exemplaire.
Mais cela a le mérite de soulever une question plus importante sur le fond : il semble que certaines victimes de Mpn aient eu à cœur de partir sans retour en laissant héroïquement "tout" derrière elles et de n'avoir rien réclamé de leur dû quelqu'il soit, y compris si elles ont été ainsi réduites à la misère... "J'ai acheté ma liberté", leur leitmotiv. Certes. Mais ce faisant, elles FONT EXACTEMENT LE JEU DE LEUR AGRESSEUR qui leur a inculqué au marteau des années durant parfois qu'elles étaient des incapables, vénales, perverses -oui!!-, jalouses, envieuses, âpres au gain -oui!-, égoïstes -oui!-.. En fait, elles semblent TOUJOURS SOUS CONTRÔLE : croyant se libérer, elles lui "obéissent" même après coup, comme s'il était imprégné en elles. (S'y ajoute le fait aggravant que fréquemment elles ont déjà été dans l'enfance victimes de ce type de personnage.) "C'est pour éviter les conflits"**** entend-on aussi, "il y a tellement de motifs de bagarre, inutile d'en rajouter un!!" ou encore : "Je ne veux plus rien avoir à faire avec lui, tout contact est interrompu, c'est le seul moyen de me protéger.." voire pire : "si je fais ça, il va vouloir renouer -ou me démolir- et je n'ai pas le courage, j'ai peur de moi-même.." Michèle porte le gonfalon avec son : "Je peux marcher la tête haute, je ne lui dois rien" -Oui, mais lui?-.. BIEN ! JOLI ! UN PEU THÉÂTRAL PEUT-ÊTRE... mais à qui cela profite? Inutile de poser la question. Cette tentation de l'héroïsme, il faut absolument s'en garder et SAVOIR QU'ELLE PROVIENT DE L'AGRESSEUR, UN RELIQUAT DU LAVAGE DE CERVEAU QU'ON A SUBI [mais souvent on n'en prend conscience que des années après une rupture, lorsqu'il est -presque- trop tard] : personnellement, à présent, je ne crains nullement ni n'ai honte de réclamer la moitié de nos avoirs plus une indemnité compensatoire et fortement, judiciairement s'il faut... ni d’utiliser les compétences -juridiques- de mon ex lorsque je l'appelle après avoir été mise KO.. et je suis à la fois surprise et gênée que tant de femmes aient joué envers moi la partition du "attention danger" -soit, là, elles ont raison- suivie cependant par une seule "tépaforte comme moi, bien fait, va pas pleurer après, moi, j'en ai chié mais voilà etc.." (car dans sa version la pire, la tentation de l'héroïsme est associée à la valorisation chrétienne -et narcissique- de la souffrance perçue comme exemplaire, formatrice -style anciens combattants- prétexte à vilipender ceux/celles qui n'en ont pas assez bavé, une sorte de jalousie rétrospective catastrophique des victimes entre elles.)
Stop à cet irrédentisme qui démolit certaines d'entre nous, la majorité.. -et d'autres par ricochet si les "hérosses" se donnent en exemple- : vous êtes sur un radeau qui coule, KO dans un lieu désert, ou seulement dans la merde voire autre cas moins grave? N'ayez aucun scrupule à avoir recours à votre ex -surtout s'il vous doit- et à ses compétences éventuelles à condition de garder le cap ferme : c'est vous qui l'utilisez -vous l'avez assez été dans le passé- vous en avez le droit et il ne tirera rien de vous pour autant, juste un merci et clic. Le fait d'ailleurs d'y renoncer n'est pas bon signe : c'est le signe que vous ne vous sentez pas assez "fortes" et qu'au fond, reste en vous encore imprégnée l'idée que vous ne le devez pas, ne le méritez pas, devez "AS-SU-MER", le grand mot -fautif- toujours sans la bouche du Mpn. ("Pars si tu veux mais je te préviens, tu as choisi -sous entendu je ferai ce que je veux et tu n'auras rien-, phrase leitmotiv de la plupart de ceux-ci lorsqu'ils sentent le vent tourner et le rupture proche, un moyen inusable de "tenir" encore leur cliente un peu plus.)
* Le cas est fréquent, très : on voit ainsi, surtout dans des lieux reculés et isolés, de pénurie, des couples improbables formés de femmes performantes voire hyper performantes, belles, charismatiques -ou qui le seraient en d'autres endroits- appariées à des olibrius dont on se demande littéralement comment ils peuvent subsister... et qui semblent non seulement ne pas se rendre compte de la déficience desdits mais même s'imaginer parfois qu'elles ont bien de la chance de les avoir ferrés. L'inverse est beaucoup plus rare.
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**Une intello contre un non intello, sans doute cela a-t-il joué? Plus d'arguments soudain et.. rien VU VENIR! L'argument "coup de boule" faute d'un autre -d'autant plus qu'en effet il n'en avait pas en magasin.-
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*** Car.. petit cours de pédagogie! lorsqu'on reproche -de manière malveillante- une propension à quelqu'un, on est à peu près certain de l'aggraver. De même lorsqu'on le/la loue : on devient ce que l'autre "observe" ou feint d'observer de nous par son regard, selon qu'il est malveillant ou bienveillant.. une curieuse osmose que connaissent tous les profs, les acteurs, les politiques s'effectue avec le public : lorsque celui-ci vibre à l'unisson, il nous pousse des ailes ; dans le cas inverse, on devient encore plus nul -ou nul si on ne l'était pas avant. L'avantage de l'écriture !
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**** Le fait est que -dans mon cas- le conflit hard est survenu au moment où j'ai osé dire que la maison que certes j'avais quittée était aussi mienne (Ohhh? Tu oses? ça l'a beaucoup scandalisé) et pire, que j'avais un droit de regard sur les travaux... et encore pire ! droit à une indemnité compensatoire en raison de l'écrasante inégalité de nos revenus. C'est là qu'ont surgi comme d'un chapeau les mots de "ratée minable envieuse jalouse, je te voue une haine mortelle etc..") Il faut le supporter, mais ce n'est pas grave : un transfert là aussi, ma TR ne lui donnant apparemment pas toutes les satisfactions qu'il méritait et que je lui prodiguais autrefois, mis à part que chez elle touténikel.
L'affaire, résumé
http://femmesavenir.blogspot.fr/2015/01/reponse-une-internaute-sur-les-pervers.html
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