jeudi 18 septembre 2014

Hollande selon Valérie, le livre entre les lignes : 55 milions de ratés en somme -comme Fabius-

Valérie au pays des merveilles.. ou 55 millions de ratés


Je viens de lire le livre de VT, enfin disponible à la Maison de la Presse de St Ambroix. 

Premier constat, paradoxal : inutile de l'acheter, il se lit en quelques heures et la plus grande partie n'a pas d'intérêt... si ce n'est de voir à plat le fonctionnement des décideurs de notre société, (ce qui pourrait être fait en 10 pages) ceux dont NOTRE SORT DÉPEND, journalistes compris... c'est à dire le fond de la mare, les algues vertes tueuses que l'on distingue mal en surface.. Par exemple les "raisons" de la nomination de Untel comme Ministre de... -sa femme est amie de celle avec laquelle je vais divorcer et je tiens à la mettre de mon côté pour ne pas être coupé de mes gosses car je ne suis pas sans reproches et elle peut m'empêcher de les voir-... du rejet de Unetelle -son amant est déjà en poste, on ne peut pas mettre les deux, sa femme ne le supporterait pas-, le "choix" des femmes surtout, quasiment sur catalogue, il en faut fissa, merde, on n'en a pas.. (!).. le sens des "soutiens" foireux à Machin/e -"j'ai été obligé à cause de mes gamins qui me tannent, des ados, tu sais ce que c'est"- ce qui revient à trahir Truc -un ami et un camarade loyal, qui "m'a toujours bien servi"... et à qui on avait promis-.. Bref, des choix dont la compétence n'est pas le critère essentiel, tant s'en faut, venant loin derrière les affaires personnelles parfois tout à fait sordides -on a l'impression de lire Paris match ou pire, Closer voire un Harlequin un peu chargé, encore que je ne l'aie jamais fait-... puis les petites embrouilles -là, d'accord, H semble pervers- qui consistent à utiliser un paratonnerre lorsque l'orage gronde, puis à le briser une fois sa mission accomplie... et VT, colérique et soumise à la fois s'y prêtait admirablement -il la laissait écarter violemment les journalistes qui de fait en avaient peur et le lui faisaient payer (le "rottweiler") tout en leur faisant entendre par derrière qu'il n'y était, lui, pour rien, tout bénéf pour lui-.. Un monde qui littéralement donne la nausée et détonne avec la façade, certes on le savait, mais pas à ce point grotesque, guignolesque, sordide.

Un élément plus inquiétant, quoique là aussi connu, mais, redite, pas à ce point : la collusion journalistes -si l'on peut appeler ainsi certains, plus proches du paparazisme que du reporter- et pouvoir... et surtout l'utilisation des femmes pour "débloquer" les hommes en poste, Président, tyrans, dictateurs de toutes sortes selon les canards etc... Lorsque l'un paraît "sensible" -le beau mot!!- à une ou peut-être l'inverse, cela doit aussi arriver, c'est à dire lorsqu'elle l'a "ferré", le Journal lui demande de lui coller après (sic) et (cela, elle ne le dit pas mais on le comprend) sa carrière prend alors un envol -sans doute en fonction de ce qu'elle va pouvoir tirer du type-. Compris? Cela explique aussi la nomination de certaines au détriment d'autres : elles plaisent davantage et surtout à kiilfo. VT le dit presque, il faut lire entre les lignes, par exemple lorsqu'elle se confronte à Tapie dont elle ressort in extenso dans un article les propos -des propos à la Tapie- au cours d'une conférence, se fait taper sur les doigts par le Monsieur qui en appelle à son Directeur... lequel, tout prêt à se défausser pour ne pas se faire un si redoutable ennemi, la convoque sec.. lui demande des preuves.. elle trouve alors des "défenseurs" -peut-être les avait-elle déjà?- parmi des énarques qui ont enregistré.. ouf !!! qui lui fournissent aimablement la cassette ... que le Directeur n'écoute même pas !! "il a vu que j'étais soutenue et ça lui a suffit" conclut-elle naïvement (!).. Ces journaux soi disant informatifs servent ce et ceux qui se vendent, prêts à tourner au vent selon les sondages, les révolutions de Palais, allant jusqu'à recruter en fonction de ces seuls critères, ce qui de facto transforme les journalistes en putes-... Le Journal a donc ses poulains ou plus exactement pouliches, elle était "préparée" pour la gauche, Mitterand lui ayant plusieurs fois adressé la parole, ou est-ce l'inverse? -même si la droite ne la dérangeait pas- la gauche passe, hop, on la lance -ou elle part toute seule- à l'assaut.

Dans ce microcosme qui est le sien -c'est là la faiblesse de sa position évidemment, et aussi sa force- on croit revoir la chute de Néron, la décadence de l'Empire Romain ou la description de la Cour ottomane -le harem- avec ses intrigues cul fric sur fond de démagogie instituée ou d'arrivisme sordide..
 
Dans le harem -où régnait une discipline de fer-, hiérarchiquement, du plus bas au plus haut, il y avait :
-Les simples "élèves" auxquelles on enseignait la musique, le chant, les textes littéraires, la danse, la poésie, les bonnes manières et l'élégance.. tenues en réserve au cas où.. ce sont les énarques -qui parfois n'ont jamais vu le Sultan et ne le verront jamais-.
- Puis, celles qui ont l'"œil" -du Sultan, ce qui veut dire qu'il les a regardées, même s'il ne s'est pas décidé à zoomer avec elles- dites "Gözde", les débutantes du bal.
-Celles avec qui il zoome ou a zoomé de temps en temps dites ikbals, sans enfants, les débutantes qui ont ferré la prise mais qui ne sont pas titularisées
- Les mêmes, mais avec enfants : s'il s'agit seulement de filles, elles sont dites Haseki kadin ; mais avec au moins un fils, elles deviennent Hazeki sultan ou Hazeki tout court.
-Enfin la Kadin, (femme en turc) l'épouse favorite -parfois parvenue au poste après avoir fait massacrer ses rivales et leurs fils-..

Mais la position variait surtout en fonction du nombre, du sexe et de la qualité des enfants qu'elles avaient donnés au Maître qui faisait son choix dans son écurie sans forcément respecter la règle qui voulait qu'il prenne le fils aîné de la favorite -du coup, ce sont souvent les gamins qui mourraient prématurément : car au rang LE PLUS HAUT, se trouvait la Sultane validé -reine mère-, la mère du Sultan ou celle dont le fils ayant été choisi comme successeur, allait le devenir... bien au dessus de la kadin.. la dite "première dame".  






Question vie prisée, pardon, privée -si l'on peut dire puisque tout est mélangé dans le livre, à juste titre du reste.. car tout en effet tout se mélange et notre naïveté qui nous fait supposer que Untel/le a été choisi/e parce qu'il a écrit tel article, fait telle courageuse déclaration, pris telle position, possède telle compétence.. doit être définitivement jetée aux orties, c'est bête comme chou : il ou elle a été pris/e parce qu'elle savait pour telle affaire.. que son recrutement était une place forte pour la bagarre avec X. ou avec une épouse afin d'économiser une indemnité compensatoire.. ou pour obtenir tel vote.. etc...- H y apparaît comme un pauvre homme pris en tenaille -pervers? peut-être, peut-être pas, mais qu'est-ce qu'un pervers? Un pauvre type, aussi, mais un pauvre type qui a "réussi", un gamin qui veut le pompon sur le manège et est prêt à tout pour le saisir, NE CONCEVANT PAS SA VIE AUTREMENT QU'AVEC CE PITOYABLE TROPHÉE... ainsi  dit-il à VT que Fabius a raté sa vie et en souffre... Pourquoi? Parce qu'il n'est pas Président de la République, et à sa réponse -c'est le côté midinette de la dame- : "mais il est heureux avec sa femme et ses enfants etc.." il persiste : un raté... ce qui fait 55 millions de ratés en France déjà.... donc question vie privée, H, comme tant d'autres, apparaît comme un pauvre type, puéril, pitoyable, manipulateur certes -mais il choisit des femmes fortes qui semblent le dominer en un sens, des femmes dont peut-être il a un peu peur!- mentant à l'une lorsqu'il batifole avec une autre, et re belotte ensuite lorsqu'il va se réfugier chez une troisième plus plate (?) pour se reposer de la seconde finalement trop.. envahissante etc.. -En ce sens, pour ce qui est de VT, c'est l’arroseure arrosée -comme elle le reconnaît du reste.-

Mais là où ce n'est plus drôle du tout, c'est lorsqu'elle comprend enfin.. c'est à dire lorsqu'il est obligé de lui avouer -à demi- son affaire et qu'elle avale devant lui des médicaments.. tombe aussitôt comme une masse... et qu'il sort tranquillement sans appeler quiconque. Non assistance à personne en danger, à l'en croire -et bizarrement, si par moment elle semble exagérer un peu, là, elle est parfaitement convaincante-.. elle se réveillera certes -mais enfin elle est peut-être passée tout près du néant-... et prendra le courage d'aller le lendemain, super sapée, à une cérémonie -juste en bas- pour la crèche de l’Élysée. Comme si de rien n'était, H surviendra vers la fin et, fort aimable avec elle ("tu es sublime".. mmm lui aussi en fait un peu trop) il fera un petit discours en lui envoyant quelques fleurs au passage. Il l'aime etc.. La femme de sa vie, il l'a dit une fois, pas ce coup ci mais tout a l'air de baigner. Là, on retrouve des attitudes de pervers en effet, qui soufflent le chaud et la glace presqu'au même moment, perturbant sa victime qui littéralement ne sais plus où elle en est. . Jusqu'au drame final. Une fin étonnante.


Et c'est là où blesse -un peu- le bât. Elle est une femme certes indépendante, courageuse, partie avec quelques lourds handicaps, et des atouts aussi, sans beaucoup de culture, ça se voit, et en un sens, traditionnelle. Un peu "parvenue", si le mot a un sens. Elle le dit elle-même avec une certaine candeur : elle veut faire riche, ou ne pas faire pauvre, être bien habillée, fût-ce avec des soldes. Le paradoxe classique : là où les bourgeoises vont préférer le modeste, fût-ce un peu par provocation? (la femme de Fabius par exemple qui arrive à l'Elysée en jean's et 2CV) elle voudra, elle, le haut de gamme, le chic, ce qui paradoxalement le fera repérer comme hors-caste, détonnante si ce n'est vulgaire et surtout pas très sympathique -pour le peuple-. C'est par parenthèse le côté déplaisant du livre : elle en fait trop -me semble-t-il.- La fille de prolo séduite par un Prince -insistant tant et plus alors qu'elle, elle hésite par moralité, soit, il n'est pas Kevin Kosner, on comprend...- un Prince qui l'amène presque malgré elle au Château, OK, jusque là on suit encore... elle, mal à l'aise dans ce milieu dont elle n'a pas les codes, on marche toujours... une fille toute "simple" et naïve, on l'admet.. disons à la rigueur... mais innocente et effarée devant les horreurs qu'elle y découvre, là, ça ne passe plus, et ça gâche tout, même si le début partait bien.. maladresse d'écriture ? Avec elle, qui sait ? Elle a été journaliste, elle sait ce qu'est ce milieu -et elle le décrit plus ou moins au début du livre, a minima sans doute car elle en fait toujours partie !- et, même si elle n'a pas forcément toujours joué le jeu, elle sait ce que sont les politiques, ce qu'ils sont capables de faire :  n'a-t-elle pas dit, affirme-t-elle juste avant -visiblement elle ne s'est pas relue attentivement-, bien avant de connaître H, à l'un d'eux qui avait affirmé qu'il ne prendrait jamais un poste dans tel gouvernement -et le lendemain il acceptait un portefeuille- "je sais à présent ce que valent les paroles des hommes politiques"? Alors là, non, le personnage est un peu trop chargé, même s'il comprend une part de vérité ; rien d’original, presque tous les hommes et femmes politiques qui ont écrit sur eux-mêmes jouent exactement la même partition : tous pourris hypocrites arrivistes sauf moi, innocent, qui ai découvert avec horreur ces magouilles lorsque je fus nommé bla bla bla... comme les truands, tu parles si on y croit. [Une exception, Eva Joly, mais elle est d'une autre trempe.] Et n'a-t-elle as été témoin de la réflexion de H justement, au moment où il apprend que DSK vient d'être arrêté pour viol : "Ce n'est pas bon car ça va légitimer Martine Aubry" (!) toujours un coup d'avance précise-t-elle, admirative (?) on le dirait. En tout cas, pas de scènes et là, ça s'imposait!! Soumise lorsqu'il ne le faut pas, révoltée lorsqu'il ne le faut pas également, elle joue toujours à contre temps, se faisant des ennemis de ceux qui auraient pu la soutenir, et des amis qui l'exploitent et la trahissent. Bizarrement cette réflexion de H me paraît plus grave que les "sans dents" : un viol et il ne songe pas à la victime, mais tout de suite à lui, à ce qu'il va en tirer, ou ce qu'une autre va en tirer contre lui, à son poste.. et peut-être, s'il est aussi rapide qu'elle dit, mais cela elle ne le précise pas, à Tristane Banon -et à sa redoutable mère- qui est venue lui parler de l'agression sexuelle qu'elle a subie de la part de Bitissime... et qui risque de faire de la publicité à cette affaire, voire peut-être de le contraindre de prendre position, de témoigner -ou de mentir-. Et sur le plan privé, n'a-t-elle pas vu, vécu les mensonges de H vis à vis de sa femme.. les mêmes qu'il lui servira au sujet de la nouvelle ? Ne s'est-elle pas dit alors que ce qui arrivait à S risquait de lui arriver aussi? Risquait d'arriver à tous? Élémentaire, logique, et de logique, elle n'en manque pas (?) pour avoir mené sa carrière sans fautes dans un milieu où il faut savoir naviguer. Manipulateur, H? Oui, sans doute. Mais disons qu'elle semble avoir été facile à manipuler -peut-être parce que trop amoureuse? ce qui en effet est un paramètre important mais -cela n'engage que moi- on a du mal là aussi à le voir ainsi-. Il reste tout de même effarant de voir qu'un homme comme H ait pu être l'enjeu d'une bataille si âpre entre deux, voire trois femmes comme celles-ci -sans précision- et que cela même est l'illustration de notre aliénation, y compris de celles qui semblent y avoir échappé par une carrière flamboyante -ou seulement indépendantes-.

Sur sa famille, on la croit également. De même les réflexions de H à leur sujet ("pas jojo"). Sorties du contexte certes, comme l'observe Anne Mansouret, la mère de Tristane Banon et peut-être moins cruelles qu'elles n'en ont l'air. Cela peut arriver au terme d'un repas longuet où on s'est emmerdé tant et plus devant la cassette des vacances en Corse au camping.. du mariage du fils en technicolor... sous le coup de l'énervement. Mais là aussi, sa position est excessive lorsqu'elle les décrit à la manière de la "Petite maison dans la prairie" : des gens honnêtes et aimants qui ont toujours travaillé dur et n'ont jamais failli, sa mère, une sainte etc.. Peut-être, mais ce roman de gare agace un peu. D'un côté, les salauds de riches -qu'elle cherche à copier voire à devenir elle ne s'en cache pas- de l'autre, les pauvres purs et impec ! Pire encore : touchante midinette, elle voit tout par le petit bout de la lorgnette et là, exaspère..  lorsque par exemple elle revendique d'avoir des idées différentes de H -ça, bien sûr !- et de pouvoir les exprimer -évidemment !-... et ne comprend pas ou du moins n'a pas compris le tollé qu'a suscité son tweet de soutien au... rival de Royal, juste après celui de H de soutien à son ex femme (!) citant l'exemple la femme d'un ministre danois qui s'est publiquement exprimée contre le nucléaire alors que son mari est un nucléâtre accompli !!! Là, on a envie de hurler. Non ! Fukushima n'a pas la dimension d'un poste au sénat ou ailleurs!! -même si son explication tient la route par ailleurs et si elle s'est peut-être fait manipuler par H.-

Les sans dents, dans tout ce... j'allais écrire fatras, tant pis c'est fait, semblent presque dilués, sans importance. Minable certes, mais pas pire que réagir un viol comme H l'a fait ou laisser sa compagne seule après qu'elle ait ingéré sa pharmacie et ne revenir que? Elle ne le sait plus, elle était out. Vivante.. et d'attaque. Qui l'eût cru?   

Mélange de soumission -non visible- et d'autoritarisme -visible- moins rare qu'on ne croit, l'autoritarisme étant justifié par la soumission, si elle dit vrai -et cela je le crois- elle se sacrifie sans barguigner question carrière : il veut qu'elle arrête son émission ou projet d'émission, elle le fait. Cette émission, il ne sait pourtant même pas ce qu'elle est, ignorant... jusqu'à son nom, elle le constatera ensuite avec stupeur.. Elle perd ainsi deux tiers de ses revenus. Pour le reste, au Journal, elle est "cantonnée" (!) à la rubrique littérature... afin d'éviter les conflits d'intérêt.. (!) Là aussi, on est rêveur devant l'attribution d'une telle rubrique sur ces bases-là. Elle semble s'en apercevoir pour le coup, et, moins candide qu'à d'autres moments mais c'est presque pire, s'empresse de coller juste après un petit chapitre sur sa passion pour les livres.. soit. Maladroit, il eût mieux valu pour la vraisemblance le mettre au début. Passons. Le rigolo c'est -enfin, rigolo n'est pas le terme exact- lorsque, après la scène de rupture, le lendemain (?) elle évoque le sujet -de sa carrière obérée, de l'argent- avec H. Après tout elle n'a pas tort, mais si vite, elle ne perd pas la tête.. Elle s'en explique sans fioritures et au fond là aussi elle a raison, plus libérée que bien d'autres : elle ne s'intéresse pas au fric mais éprouve toujours la peur, l'angoisse même, de manquer -une petite contradiction tout de même car c'est ce que disent tous ceux qui font une fixette sur le blé, mais passons là aussi, elle en a bavé et cela aussi je le crois-... à cause de son enfance où ils avaient à peine de quoi manger, lycéenne, elle travaillait déjà.. du mépris de certains copines ou plus exactement de leur famille vis à vis d'elle et de sa pauvreté etc... et elle a trois enfants à sa seule charge.. Soit. Mais là où ça devient marrant (!) c'est que H lui répond -il a dû y penser et préparer sa réponse- qu'elle n'aura aucune peine à trouver un engagement intéressant -suivez mon regard-.. ce qu'elle avoue clairement. Un portefeuille? Non, tout de même, Seg est déjà en poste et elle n'a pas le profil, quoique... Une rubrique télé bien payée? Enfin, on peut rêver et on ne se fait pas trop de soucis. Apparemment elle non plus puisqu'elle conclut que l'affaire a été tout de suite réglée. On aimerait savoir comment mais on le verra un jour ou l'autre. Enfin une séparation qui ne pose pas de questions financières ! rare et remarquable, passons. Un peu de dégoût tout de même..

Bref, un livre intéressant, qui par moments sonne vrai, mais d'autres, agace. En somme, à réécrire !  

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