mercredi 5 février 2014

Nietzsche et les femmes, sexisme et psychopathologie

Réponse à Nina, qui cite la terrible phrase d'''Ainsi parlait Zarathoustra'' : ''si tu vas chez les femmes, n'oublie pas ton fouet.''


-- Oui. Mais c'était à l'époque de son largage hard par Lou Salomé - qui du reste n'avait jamais consenti à zoomer avec lui-.. pour son pote, ce qui n'arrange rien.. et où la maladie mentale qui l'emporta commençait à bas bruit à lui bousiller les neurones. Peu après, il planta des croix dans le jardin de l'asile et attendait que ''ça'' pousse, ça relativise tout de même ses éructations anti femmes. 

Comme pour Kant, les femmes étaient pour lui des machins super dangereux, mixte de tigre du bengale et de mâtin de Naples sous une figure aimable trompeuse dont il fallait se garder car ''on ne fait pas le poids''. Presque mignon, le vieux puceau de la ''Critique de la Raison pure'' si nuancé, si profond et méthodique.. qui l'écrit quasiment tel que. Et intéressant. Le sexime part en fait d'une sur valorisation des femmes, comme le racisme. Et le lien dans les deux cas avec la maladie mentale -neurologique pour le premier- est passionnant. Y aurait il à la base un trouble physiologique ? Il me souvient d'un malade bipolaire qui affirmait ''prévoir'' ses crises ''car je deviens con'' disait-il. Comment ? ''Raciste''. Autrement dit, il commençait par vouloir dézinguer tous les noirs -arabes, juifs etc.. c'est selon et notons le, cela ne semble pas a priori pathologique, c'est juste un mec de Civitas comme un autre-.. ou toutes les femmes, idem... puis la terre entière juste après.

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