MAL DE DOS
BIEN!
(Le doux balancement d'avant en arrière qui arrondit le dos et le décambre à chaque foulée assouplit le fameux muscle dorsal long, qui, crispé nous maintient en lordose, d'où glissement des coussinets vers les nerfs. Ajoutez que le cheval de toutes manières est un animal calmant.) Ajoutez aussi que le fameux "TIENS TOI DROIT" qu'on nous assène dans l'enfance est une connerie pharaonique. A force de se tenir droit, on se cambre trop et hop..
MAUVAIS !
TRÈS MAUVAIS !
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MON BANQUIER, MON EX ET MES COUSSINETS INTRA VERTÉBRAUX
[Il s'agit des sites sur le mal au dos avec exercices et souvent proposition d'achat soit de livres soit d'appareils.. qui parfois indiquent des mouvements dont perso je suis sure que si je les effectuais, j'aurais aussitôt le plus beau lumbago de ma vie -ils négligent, comme les médecins, le fait pourtant évident qu'il n'y a pas qu'UN mal de dos, ni UN homme d'école et que chaque lombalgie a des causes différentes, même si on retrouve souvent quelques constantes, des causes entre mêlées que l'on met du temps à identifier soi même.]
.. Tous [ces sites] ne sont pas débiles et marchands, loin s'en faut, mais il faut sélectionner. Ainsi l'un explique-t-il (ce qui pour moi est éclairant) qu'une sciatique, cruralgie (la même chose mais côté interne et haut interne de la cuisse) ou même lumbago proviennent d'efforts intenses précédents durant lesquels le nucléus du coussinet inter vertébral s'est déchiré (c'est indolore) ce qui a rendu ensuite la "fuite", c'est à dire le glissement du disque plus facile, (en "hernie") au cours d'un geste anodin (ce n'est donc pas pas ce geste qui est responsable mais l'aplatissement et la déchirure du nucléus).. et indique-t-il des mouvements d'étirement (mais corrects, eux) intéressants, que, notons le, je faisais d'instinct, (moins sophistiqués cependant). Couché sur le dos, jambes pliées, saisir un genou et le tirer vers soi en pliant à l'équerre l'autre jambe. C'est ainsi que je me suis aperçue que ma jambe droite ("saine") avait conservé toute sa souplesse (danse classique autrefois) MAIS AVEC LA JAMBE SCIATALGIQUE, il me manquait presque 20 cm de flexion !! (énorme! douleur de traction justement vers la fesse.) Les deux n'étant pas équivalentes, la droite a tendance à bosser beaucoup plus, d'où déséquilibre du bassin... favorisant les sciatiques. (Notons que ce déséquilibre pré existait sans doute à cause d'une scoliose, -d'où sciatique- mais il a été renforcé même après "guérison", effet boule de neige et cercle vicieux.) A rééduquer donc. Mais doucement.
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D'autre part, ce site explique aussi que c'est AUSSI TOUT BÊTEMENT LE MUSCLE DORSAL, long, puissant, accroché à chaque crête vertébrale ! qui, trop tendu, (crispé au cours d'efforts particuliers par exemple) tire le dos en arrière, le cambre (lordose) exagérément, entraînant, le sagouin ! les disques avec lui... d'où l'ouverture du "soufflet" d'accordéon vers l'avant... et hop! glissement d'un coussinet vers l'avant aussi et douleur (horrible). C'est en général la vertèbre située au "centre" de la cambrure, à son point le plus interne, vers la taille, qui va subir le plus de pression et céder, surtout lors d'un retournement brusque (effet "vissage"), générant la douleur fulgurante type coup de poignard si caractéristique (cédant lorsqu'on reprend une position droite).
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Or ce putain de muscle est sensible à ce qu'on appelle le stress et que moi j'appelle mon ex mari et mon banquier. Cela explique aussi un fait rigolo (enfin, rigolo, moyen) : cela m'arrive quasi systématiquement dès que je l'ai vu, au cours d'une discussion (même anodine) et parfois TOUT DE SUITE ! (D'autre fois peu après.) Une heure de Nathan, ça va ; deux c'est risqué, et si ça s'étale sur trois jours, je suis "bonne" (à moins de rester ensuite sans bouger des heures et de faire très attention en me levant, toujours sur le côté, appuyée sur les bras et les jambes, c'est ce que j'appelle ma rééducation-Nathan.) Euréka, c'est donc le muscle dorsal qui s'est crispé et ne parvient pas à se détendre qui fait glisser mon coussinet. Tout se tient. Du coup, il faut renforcer le muscle parallèle en avant, le ventral qui seul peut rétablir l'équilibre... et détendre l'autre. Dos crawlé par exemple. Notons que ces mouvements jouent parfois sur un millimètre à peine et sont donc très difficiles à contrôler (et parfois passent inaperçus, ce qui perso me rend hésitante chez moi, à l'intérieur, où on doit contourner une table, saisir un objet tombé, remplir un fait-tout, et foncer parce qu'il déborde ou que le chien a fait une connerie etc.. CELA NE M'ARRIVE JAMAIS A L'EXERIEUR OU L'ESPACE N'EST PAS LIMITE. Le mal de dos serait donc aussi un mal d'appartement exigu et mal conçu.)
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Notons aussi que ce qui vaut pour l'un ne vaut pas forcément pour l'autre (exemple du cheval, dont on dit le plus grand mal, et qui perso me soulage IMMÉDIATEMENT et durablement, à condition de me tenir souple, (pas droite à l'anglaise comme on vous l'ordonne pour faire chic et choc), les pieds biens appuyés sur les étriers, de ne pas aller trop vite, les petits chocs souples encaissés par les cuisses et les bras, la position repliée (quasiment fœtale) corrigeant la lordose et "décrochant" les coussinets vers l'arrière. Le pied !
.. Tous [ces sites] ne sont pas débiles et marchands, loin s'en faut, mais il faut sélectionner. Ainsi l'un explique-t-il (ce qui pour moi est éclairant) qu'une sciatique, cruralgie (la même chose mais côté interne et haut interne de la cuisse) ou même lumbago proviennent d'efforts intenses précédents durant lesquels le nucléus du coussinet inter vertébral s'est déchiré (c'est indolore) ce qui a rendu ensuite la "fuite", c'est à dire le glissement du disque plus facile, (en "hernie") au cours d'un geste anodin (ce n'est donc pas pas ce geste qui est responsable mais l'aplatissement et la déchirure du nucléus).. et indique-t-il des mouvements d'étirement (mais corrects, eux) intéressants, que, notons le, je faisais d'instinct, (moins sophistiqués cependant). Couché sur le dos, jambes pliées, saisir un genou et le tirer vers soi en pliant à l'équerre l'autre jambe. C'est ainsi que je me suis aperçue que ma jambe droite ("saine") avait conservé toute sa souplesse (danse classique autrefois) MAIS AVEC LA JAMBE SCIATALGIQUE, il me manquait presque 20 cm de flexion !! (énorme! douleur de traction justement vers la fesse.) Les deux n'étant pas équivalentes, la droite a tendance à bosser beaucoup plus, d'où déséquilibre du bassin... favorisant les sciatiques. (Notons que ce déséquilibre pré existait sans doute à cause d'une scoliose, -d'où sciatique- mais il a été renforcé même après "guérison", effet boule de neige et cercle vicieux.) A rééduquer donc. Mais doucement.
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D'autre part, ce site explique aussi que c'est AUSSI TOUT BÊTEMENT LE MUSCLE DORSAL, long, puissant, accroché à chaque crête vertébrale ! qui, trop tendu, (crispé au cours d'efforts particuliers par exemple) tire le dos en arrière, le cambre (lordose) exagérément, entraînant, le sagouin ! les disques avec lui... d'où l'ouverture du "soufflet" d'accordéon vers l'avant... et hop! glissement d'un coussinet vers l'avant aussi et douleur (horrible). C'est en général la vertèbre située au "centre" de la cambrure, à son point le plus interne, vers la taille, qui va subir le plus de pression et céder, surtout lors d'un retournement brusque (effet "vissage"), générant la douleur fulgurante type coup de poignard si caractéristique (cédant lorsqu'on reprend une position droite).
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Or ce putain de muscle est sensible à ce qu'on appelle le stress et que moi j'appelle mon ex mari et mon banquier. Cela explique aussi un fait rigolo (enfin, rigolo, moyen) : cela m'arrive quasi systématiquement dès que je l'ai vu, au cours d'une discussion (même anodine) et parfois TOUT DE SUITE ! (D'autre fois peu après.) Une heure de Nathan, ça va ; deux c'est risqué, et si ça s'étale sur trois jours, je suis "bonne" (à moins de rester ensuite sans bouger des heures et de faire très attention en me levant, toujours sur le côté, appuyée sur les bras et les jambes, c'est ce que j'appelle ma rééducation-Nathan.) Euréka, c'est donc le muscle dorsal qui s'est crispé et ne parvient pas à se détendre qui fait glisser mon coussinet. Tout se tient. Du coup, il faut renforcer le muscle parallèle en avant, le ventral qui seul peut rétablir l'équilibre... et détendre l'autre. Dos crawlé par exemple. Notons que ces mouvements jouent parfois sur un millimètre à peine et sont donc très difficiles à contrôler (et parfois passent inaperçus, ce qui perso me rend hésitante chez moi, à l'intérieur, où on doit contourner une table, saisir un objet tombé, remplir un fait-tout, et foncer parce qu'il déborde ou que le chien a fait une connerie etc.. CELA NE M'ARRIVE JAMAIS A L'EXERIEUR OU L'ESPACE N'EST PAS LIMITE. Le mal de dos serait donc aussi un mal d'appartement exigu et mal conçu.)
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Notons aussi que ce qui vaut pour l'un ne vaut pas forcément pour l'autre (exemple du cheval, dont on dit le plus grand mal, et qui perso me soulage IMMÉDIATEMENT et durablement, à condition de me tenir souple, (pas droite à l'anglaise comme on vous l'ordonne pour faire chic et choc), les pieds biens appuyés sur les étriers, de ne pas aller trop vite, les petits chocs souples encaissés par les cuisses et les bras, la position repliée (quasiment fœtale) corrigeant la lordose et "décrochant" les coussinets vers l'arrière. Le pied !
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