Acte 2 : GMD 2 (qui, notons
le, n’a peut-être JAMAIS EU L'INTENTION D’INSTALLER LA PORTE car c'est hors ses compétences –il est plutôt "bois" et non "fer" comme son rival- et a tenté plusieurs fois d'en décourager Léna).. n’a pas trop
envie de re souder la patte… et GMD 1 –après l’algarade sus
citée-, s’y est refusé : "tu l’as pétée, tu la répares !"… Puis, ému devant le
traitement que "sa" porte risquait de subir d’un soudeur malgré lui -et sans doute pour Léna- il l’emporte et la soude sans même qu'elle ne s’en aperçoive.. Mais le lendemain, GMD 2 qui, lui, l’a bien vu, feint de rien… et proteste : GMD1 l’a remise à un endroit... gênant pour lui :
-C’est le
foutoir ici, faut ranger, si tout le monde s’en mêle, on peut pas s'y retrouver sur un chantier!"
–regard vers Léna-… [à nouveau, on a l'inversion des postures, assez odieuse: il ne remercie pas pour le service rendu mais au contraire proteste sous un prétexte controuvé.]
- Tout de même, il l’a prise pour la souder ! ce
que tu voulais, non ?" Silence. C’est donc l’acte 2.
Il est démasqué, et fortement, par Léna qui défend GMD1
Et c’est THE drame.
GMD1, au
début sur un ton normal -:
- Tu fais les réservations ? Parce que j’ai
soudé et..
- ET ça sert à rien ! (coupe GMD2 sur un ton agressif
condescendant) .. [Non seulement, il ne le remercie pas mais au contraire il dénie l'utilité d'un travail.. qu'il a demandé!]
- A RIEN ?
- A
RIEN!
- A
RIEN ? ..
Le hic c’est que le ton monte à chaque fois, comme d'hab.
- Mais sinon
ça ne sera pas solide tandis qu’avec les pattes telles que je les ai soudées,
on peut l’accrocher à un camion, ça tiendra ! (Le ton monte.)
-Et je perce
ma dalle ? Et
comment je fais sans le groupe?" (le groupe électrogène, qu'il a rendu à Léo, un jeune maçon à qui il l'avait emprunté.. en protestant parce qu'il ne marchait pas bien !!)
-A la main, si tu veux je te le fais en 5
minutes. Comment on faisait avant ?
- Et bien fais-le!"
GMD1 veut aussitôt
s’exécuter (mais Léna l’arrête, ce n'est pas son travail**) ..
- C’est que tu voulais pas le
faire depuis le début, voilà ..
- Je fais ce qui est possible,
c’est tout ..
(Elle n’ose souligner qu’au départ il n’avait jamais déclaré le job impossible). Le ton monte encore.. Et ça se termine
par un viril :
-Ça va se finir à la tronçonneuse" de GMD2 (et
il y a tous les outils sur place.) Pulsations à 160, elle va crever.
- Arrêtez !
GMD1 part enfin, (Léna l'entraîne), GMD2 range ses
outils avec fracas.. Puis elle remonte au chantier et là c’est le clash…
*A ce sujet, c'est une pratique courante des femmes démunies que de proposer -ou de consentir- à des services sexuels en paiement de travaux qu'elles ne peuvent effectuer -ni souvent payer- ; certains maçons en profitent en en effet. (Ce n'est pas forcément le cas de GMD2).
**La femme de GMD1, en partie à juste titre, l'accuse d'accaparer son mari.. même si c'est celui-ci, qui adore le fer, qui sans rien lui en dire, effectue certains travaux pour elle.
.. le clash mais cette fois
CONTRE LENA [et de
la part du fils de GMD2, fils et aussi manœuvre qu’il avait diligenté pour l’aider, en fait pour effectuer le travail dont lui était incapable, après avoir dit ou laissé entendre à Léna -il fait toujours dans le flou- qu’il prendrait quelqu'un d'autre -elle avait pensé un certain Michel-… son fils qui visiblement, de son coté, n’était peut-être même
pas au courant (!) et n'avait consenti qu’en traînant des pieds.. d’où l’ambiance
assez tendue -ils arrivaient rarement avant 11 heures-... son fils qui de surcroît semblait
très remonté contre elle.
Question :
par qui ?].. Or, le jeune homme,
qui s'était totalement aplati devant GMD1 (1,85 m, 100 kg) à présent, se déchaîne littéralement contre Léna
–pas fou, après son départ-.
C'est juste au moment où, pour aplanir les angles, elle expose à
GMD 2 que la porte, c’est en quelque sorte le "bébé" de GMD1 et qu’il convient de
respecter son travail qui par ailleurs est remarquable tout comme le sien en maçonnerie.. [une erreur! Règle numéro un :
ne jamais se montrer trop longanime envers un MPN ou simple macho car alors il enfonce le clou et, se sentant plus fort, agonit davantage sa protagoniste ; car il ne respecte que la force*, ne s'attaque qu'aux faibles et prend la longanimité pour de la faiblesse, selon sa propre attitude.. attitude qu'il suppose que tous adoptent ; le MPN ne voit pas les autres, ne s'en soucie pas et commet de fait des erreurs par égocentrisme]... Le jeune la coupe, s’avance vers elle,
très agressif mais au départ doucereux :
-
La porte, à la limite,
c’est pas notre problème..
- Quoi ?
Et
là ça explose :
- J’AI FERME MA GUEULE JUSQU’À PRÉSENT MAIS MAINTENANT..."
(hurlé)… Elle le coupe :
- Et bien continue "de la fermer" comme tu dis..
Il s’approche
encore plus, hurle encore plus s'il est possible (5 cm) :
-VOUS ME DITES DE LA FERMER,
VOUS ? A
MOI ?
- Oui, moi.. à toi ! [Note : le MPN ou simple macho vous fait toujours honneur quelle que soit la situation : d'accepter de l'argent de vous -qu'il vous a demandé!-; de l'engager sur un chantier -qu'il a brigué avec insistance-; de lui avoir rendu service -et même il en voudra ou fera mine de méjuger l'obligeant**- etc.. et ce,
quel que soit son âge, sa posture et sa position sociale. La rage qui saisit le jeune homme lorsque Léna le rembarre est significative "vous osez?"]
Un instant son visage
défiguré lui fait craindre un uppercut puis il part, entre dans son camion… où résonne alors un effrayant fracas. GMD2
n’a pas eu un geste ni un mot pour
arrêter la crise de son fils contre elle, [peut-être le jeune se sent-il exploité par son père? Ou celui-ci l'a-t-il briefé contre Léna, se servant de lui comme d'une tête de bélier, selon le procédé classique des pervers?].. Et
lorsque Léna lui lance qu’il est inadmissible que son fils se comporte ainsi vis à vis de quiconque, a fortiori d'une cliente, fût-elle une pote, sans qu’il ne réagisse -et que c’était
la raison pour laquelle elle n’avait pas voulu qu’il travaille avec un de ses fils, qui sont nombreux, ce qu'il avait plus ou moins accepté-, il a ce mot de la fin :
- Mais il n’est pas
agressif, lui, si tu voyais les autres!! (Le pervers retombe toujours sur ses pattes, parfois comme ici d'une manière désopilante.)
Elle hurle :
- Si lui n’est pas
agressif, je voudrais voir ce que ça signifie pour les autres. Qu’ils me
casseraient la gueule?" Elle part… Et lorsqu'elle revient le soir,
le seuil est coulé, avec des réservations dont cependant elle ignore la profondeur.
*Ainsi ce gus -comme GMD2- si sourcilleux et susceptible à un point quasi comique -limite mégalo- devant Léna ("Vous me dites ça? Vous? A moi?"), devant un patron, un caïd de village au verbe haut et au coup de poing facile, fait-il montre d'une souplesse quasi obséquieuse. Attitude typique du MPN ou simple macho. On remarque que le clash survient juste au moment où Léna tente d'arranger le coup, exactement comme dans 'le syndrome de Stockholm' : c'est au moment où Léna s'excuse envers David qu'Adèle lui saute dessus, avec une lettre d'insultes d'une cruauté effarante.
** Ainsi, de Léo, qui lui a prêté le groupe électrogène.. qui est tombé en panne, il dit sévèrement : "ce gars, il travaille juste à côté du groupe (le con) alors forcément ! la poussière, ça l'esquinte"... comme s'il morigénait un emprunteur indélicat pour un défaut de soins envers un objet sien ... quand c'est évidemment l'inverse.
Acte 3 : le lendemain, personne. Elle appelle. Répondeur. Vers 13
heures, du bruit en haut, elle croit que son chien fait le hon.. monte, stupeur,
c’est GMD2 qui sans l'avoir prévenue est là avec son fils qui à toute allure embarque du sable dans son
camion. Sa présence semble les déranger (!)
- Je ne peux pas travailler dans
ces conditions, je suis malade des nerfs.. (Revirement typique : le macho inexpugnable une fois démonté devient bébé fragile qu'il faut nurser.)
- Donc tu
abandonnes le chantier ?
- Hier, GMD1 est venu tout l’après
midi me surveiller, pas possible .. [Jamais de réponse nette comme d'hab.]
- Mais aussi pourquoi
es-tu venu hier sans me prévenir ? [car GMD a la particularité de venir
quand bon lui semble, selon le bon vouloir de son fils ? ses disponibilités? mais en principe dès qu’il se décide, il l’appelle. Pas cette fois.] Elle ajoute :
-
J’aurais été là..
-Pour qu’il y en ait encore un sur mon
dos ! … [Procédé de la contre vérité assez banal.]
- J’écrase plutôt les coups, non ?
arrête ! Vous vous êtes disputés?
- Non. Mais ça m'énerve, j'oublie pas. Il avékapavenir, il a foutu la merde
exprès.. [Idem.]
- MAIS C’EST TOI QUI LE LUI AS DEMANDÉ, de
venir !
-Jamais ! [en effet, pas directement mais cela revenait exactement au même. Autre tactique éprouvante :
la
mauvaise foi*, même devant un "fait" évident et quasi en temps réel, ici, de l’avant-veille !]
- HEIN ? Tu voulais pas qu’il resoude
le truc pété? tu te souviens ?
- Toujours il est sur mon dos, je
te dis que je peux pas, moi je travaille comme je dois, parfait, nickel, j’ai pas
besoin qu’on m’emmerde.. [La tactique ici est de ne jamais répondre à
un argument ni reconnaître quoique ce soit..
et le déni, même de gestes ou d'actes immédiats, -parfois anodins- par exemple il s'exclame "je travaille parfait" au moment où il vient de casser une patte du cadre, ce qui en soi n'est pas très grave-!]
- On peut pas avoir le
beurre et l’argent du beurre, il n’est pas un chien que tu chasses dès qu’il a
fait le job, enfin, le tien en le cas..
-Ça s’est passé
comme il voulait, voilà !! [Même tactique : éluder l'argument, faire porter la faute à un autre en changeant ou déviant du sujet.]
- Donc tu abandonnes le
chantier ?
- Je peux pas travailler dans ces
conditions.. on t’a priorisée mais là c’est trop ..
[Encore une tactique éprouvée :
l’inversion des rôles et l'autopromotion,
GMD2, se mettant toujours dans la position de celui
qui concède -quelle que soit la situation-, qui fait un honneur à celle/celui qu’il
consent à servir. Notons aussi qu’il ne répond JAMAIS à des questions même évidentes, par exemple lorsqu'un de ses mensonges ou manipulations -souvent naïfs-est découvert.
–La dalle, combien de temps ça prend pour
sécher ? (il avait dit une semaine, son fils, 21 jours!)
–Je vais t’étayer
le sol..
– Oui mais ça prend combien de temps pour sécher ?
– J’aimerais
bien que ça aille vite..
– Je ne te demande pas ce que tu aimerais mais combien de
temps ? etc…
Il n’est pas d’exemple que lui ni l'autre n’aient
répondu directement et du premier coup à une seule question.]
* Ainsi, au Principal du collège dont un de ses fils vient d'être renvoyé pour, entre autres, avoir jeté une pierre sur un camarade dans la cour, il rétorque froidement : "S'il l'a jetée, c'est qu'elle y était, vous n'avez qu'à mieux faire balayer votre cour. A Saint Jacques -l'école privée dont vient l'enfant- de pierres, il n'y en a pas, il en jette pas!" Parfois cela joue dans les deux sens, de manière hilarante : au sujet d'un ami hyper violent -lorsqu'il a bu- et dont tous, ici la serveuse d'un troquet, se méfient, il la rassure en ces termes : "il n'est pas méchant, le Miche! pas du tout! tiens, la dernière fois, il a sorti son couteau devant Jérome et le lui a posé sur la gorge.. mais il n'a pas appuyé! Rien risque."
- Donc
tu abandonnes le chantier ?
- J’ai été malade à cause de
GMD1 ça ne peut plus continuer..
- BON !! DONC TU ABANDONNES LE
CHANTIER ?
Toujours pas de réponse (mais ça va de soi -?- depuis la
veille, ils ont tout embarqué sans même la prévenir de quoique ce soit.. -Finalement elle préfère mais sur le coup, ça la choque-.)
-
Tu as conscience de me
laisser par ce temps et compte tenu des cambriolages en ce moment dans UNE MAISON SANS PORTE pour .. un certain temps? Bon,
ça ne fait rien..
- Tu me dois
1000 E..
- Mais c’était 2000 E avec la porte ! (Elle lui en a donné 1000 en début de chantier, à sa demande et immédiatement.)
- Pas du tout, elle n’était pas comprise..
- Mais ça allait
de soi : c’était prévu pour habiter ou louer
: comment veux-tu qu'on le puisse sans porte ?"
OK.. (mais il est vrai qu’il a remonté des tuiles sur le toit, ce qui n’était
pas facile.)
- Et puis on t'a priorisée, j’ai raté des chantiers à cause de toi, je suis allée
tout à l’heure à B.
pour un mur, et bien, les gens, ils en avaient pris
un autre… un filou qui est venu, a monté trois moellons pour avoir le job et
est reparti.. (!)
- Comme tu as fait chez moi .. [Pas de réponse.]
- Ne fais pas comme si je devais te lécher les bottes parce que tu as consenti à venir bosser chez moi ! Je ne la joue pas cliente-reine mais exige juste des rapports égalitaires. Moi aussi et tu le sais
j'aurais pu et même préféré prendre Léo*.. qui avait accepté lui, de changer le chéneau rue Denis -ce que tu avais refusé in extremis, me laissant le bec dans l'eau soi disant parce qu'il y avait une garantie décennale -du maçon qui avait réalisé pour moi la terrasse- et que tu n'avais pas le droit de reprendre le travail du père Matieu.. et en réalité parce que tu avais peur de lui et que tu voulais qu'il engage un de tes fils, ce que du reste il a fait.
*Léo est le jeune
maçon –super- qu'elle aurait voulu prendre avant qu’il ne se mette sur les rangs
et ne l'emporte -GMD2 est serviable, par ailleurs d'un certain âge et assez dégourdi, il n'est pas une femme qui ne lui doive une réparation en urgence d'une voiture, d'un moteur de puits, d'une toiture qui fuit etc..-
Là, la réponse de GMD2 est stupéfiante.
-
Mais tu aurais dû le prendre, Léo ! [
C'est la tactique peut-être la plus pénible des MPN ou simples machos : il reproche à sa victime précisément d'avoir fait ce qu'il l'a conduite à faire -donc sa gentillesse-.. et en profite ensuite pour s'imposer encore et encore, inversant les rôles : car celle qui a cédé ne mérite que son mépris et le MPN n'a pas de limites, il en veut toujours plus... D'une cliente il fera alors une obligée. Cela explique que devant ce type de personnages, on ne peut qu'être... comme eux. Elle eût en effet dû prendre Léo sans états d'âme et il ne lui en aurait pas voulu, au contraire : mais céder après qu'il l'eût déjà trahie une fois c'était pour elle consentir à se placer pour lui irrémédiablement dans la catégorie "gibier".. ce qu'il n'a pas manquer de faire ou de tenter.]
Et de conclure
savoureusement par un :
- Si tu veux, je demanderai à Léo, il est sympa et refusera
pas et puis c’est lui qui a le groupe" (électrogène).
Ici, GMD2 fait naïvement comme si son intervention
seule pouvait faire que Léo accepte un chantier si difficile (!) comme si Léna -et indirectement Léo- était son obligé/e... quand c’est évidemment l’inverse...
- Non laisse tomber, je le ferai
moi. C’est un peu gênant parce que je lui avais parlé du chantier avant puis je
l’ai largué lorsque tu m’as dit que ça t’intéressait, ce qui ne l'a pas empêché de te prêter son groupe ! mais je lui expliquerai*..
Pour finir, exaspérée, elle lui dit qu'elle déduira des 1000 E ce que Léo lui
prendra pour finir. Elle ne le fera peut-être pas mais bon.
.
* Ce qu'elle ne dit pas ici, c'est qu'elle avait déjà contacté Léo, épuisée d'attendre tous les jours GMD2 et consort -qui ne venaient pas avant 10-11 h, quand ils venaient- et de voir que le chantier traînait en longueur.. Elle avait à ce moment proposé à GMD2 de lâcher l'affaire, "je ne serai pas fâchée, ce n'est pas grave, si tu ne veux pas, je me débrouille" etc.. Du coup, elle avait sommairement expliqué le problème et Léo avait consenti à reprendre éventuellement ; mais le lendemain, devant la menace, tout était changé : GMD2, qui avait senti le vent ? était revenu et souquait ferme... et par ailleurs, il l'avait gentiment dépannée -sa voiture étant HS, batterie déchargée, dans le village.- Elle avait appelé Léo pour s'excuser et lui expliquer.
ÉPILOGUE 1
Léna appelle Léo, qui, d'humeur toujours égale, semble accepter mais veut venir voir.
Dans un esprit de conciliation, elle l'annonce aussitôt à GMD2. Il semble satisfait, affaire réglée. [Mais attendez la suite!]
Léo vient le lendemain, à l'heure dite, accepte a priori de poser la porte.. mais... embarrassé soudain :
- GMD2 m'a appelé juste après toi..
- Tiens? Je l'avais appelé moi aussi juste après notre coup de fil.. pour lui dire que tout était OK.
- Oui... (embarrassé).. il m'a dit qu'il ne voulait plus travailler chez toi, que ça n'allait pas,
qu'il n'avait pas été payé.. et en ce cas en effet, je lui ai dit que bien sûr je ne le ferai pas*." Elle doit lui expliquer, par chance, il comprend vite et peut-être? GMD2, comme elle, mais pas de la même manière, est-il connu (?) Mais le problème, techniquement plus grave, que ni elle ni même GMD1 n'avait vu ! est que la dalle est posée de sorte que d'un côté -non visible de face-, elle est dans le vide sur quelques cm -13?- une erreur de mesure ... mais de surcroît à cet endroit, elle porte un pilier, qui se trouve donc
dans le vide. Quant au mur de soutènement, il est fait de moellons non croisés, non conforme à ce qui doit être. A refaire? Cela explique-t-il que GMD2 ait refusé de poser une lourde porte sur une surface qu'il sait fragilisée par cette malfaçon et
de son fait et qu'il ait sciemment suscité les clash pour se libérer ? Affaire à suivre.
*Autrement dit, et là c'est typiquement l'attitude de pervers, il prétend vouloir arranger le coup [jouer les Monsieur Bons offices] alors que par derrière, il fait en sorte que cela s'embrouille* -c'est à dire que Léo refuse-... donc de la mettre dans l'embarras.. en prétendant que la faute ou du moins le refus incombent au jeune maçon. Le MPN ne supporte pas que sa "cliente" lui échappe, même lorsqu'il n'en veut plus : il la pousse dans le gouffre en prétendant vouloir l'en tirer (!) affouillant sous elle pour la faire s'engloutir. S'il l'avait contacté lui même, aurait-il fait en sorte que Léo refuse un tel chantier -avec une maîtresse d’œuvre si exigeante et de surcroît mauvaise payeuse? [Inversion des postures, comme d'habitude.] Là, c'est mal joué : c'est Léo qui a pointé la malfaçon.. qui justifierait (?) un non paiement du reliquat -s'il s'avère qu'il faut tout refaire-. Etait-ce la raison pour laquelle GMD2, tiraillé entre son incapacité (?) ou sa mauvaise volonté à le terminer et sa crainte d'être démasqué par un pro plus compétent redoutait qu'un autre ne prenne le chantier? On voit ici qu'un MPM, une fois démasqué, devient dangereux -même lorsqu'il fait le fragile, il peut même en jouer-. Voir analyse.
http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/12/analyse-de-cris-et-chuchotement-sur-un.html
ÉPILOGUE 2, UN COUP DE BOULE ET UN KO
Et le jour même où Léo pose la porte -c'est quasiment fini- GMD2 survient, mécontent -la porte est posée!- et après le départ du jeune maçon -et de son aide- pour déjeuner, seul avec elle, frappe Léna d'un coup de tête qui l'étourdit (brève perte de connaissance). Prétexte : les 2000 E qu'elle n'a jamais eu l'intention de ne pas lui donner -sauf à en retirer le prix de la pose, environ 100E, qu'il n'a pas effectuée, ce qu'il avait semblé accepter-.. "mais je ne vais pas filer au quart de tour -il veut du liquide et cela l'oblige à faire à 64 km- : toi, tu m'as fait attendre des semaines sans même me prévenir ; tout au début du chantier, lorsque tu m'as demandé un acompte, je te l'ai payé le lendemain mais cette fois-ci, je ne serai pas à tes ordres." Plainte. Visite -à la demande du gendarme, très sympa- chez les médecins du bled, très peu sympa au contraire! "qui ne prennent pas les urgences" (!) et, plus grave, un coup de fil de Léo, ennuyé "s'il y a des problèmes avec GMD2 -apparemment il est revenu.. avec des menaces*?- je ne peux pas faire le chantier, je m'en vais." En une seconde, il a vidé les lieux, après s'être laborieusement justifié, visiblement très mal à l'aise. Léna a admis : "tu as ta carrière à faire, je comprends, OK.. dis moi combien je te dois".. "RIEN DU TOUT" s'est-il exclamé -presque comiquement- tant il était gêné. -Malgré ce qu'il avait dit, il a laissé la porte posée, ce que Léna a vu en rentrant le soir.-
* Notons -et là aussi, c'est comique et ahurissant- que GMD2 se permet une telle attirude, je laisse!- envers un confrère totalement dans la légalité quand lui même ne l'est pas -Léo déclarant son travail par le biais de son entreprise alors que lui, bien qu'au départ il ait assuré à Léna que son fils en avait fondée une, a en fait exigé d'être payé en liquide.- On a ici aussi l'inversion des situations et des rôles, classique : c'est l'illégal qui menace le légal au nom de la légalité... et le légal qui s'aligne sans rien en ignorer -une sorte de système maffieux-. Un MPN ne se refuse jamais rien.
En trois images
http://femmesavenir.blogspot.com/2014/12/mpn-le*s-liaisons-dangereuses.html
Résumé pour partager
http://femmesavenir.blogspot.com/2015/01/reponse-une-internaute-sur-les-pervers.html
LE DOSSIER
http://femmesavenir.blogspot.com/2015/01/langoisse-dechapper-une-relation.html
ÉPILOGUE 2
"A toute chose malheur est bon" dit le dicton.. Peut-être. J'ai
rencontré ensuite un maçon artiste, une espèce pas si fréquente -quoique..- qui
a rattrapé le coup... et un humaniste, qui, lui aussi briefé -mais trop tard
sans doute? ou il n'en a pas tenu compte- m'a posé la porte sans rien me demander.. Les finitions proviennent de l'artiste en collaboration.
http://femmesavenir.blogspot.com/2015/02/macon-et-artiste-une-polyvalence.html
http://femmesavenir.blogspot.fr/2015/03/charlie-inspecte-les-travaux-presque.html