OU L'ALLEGORIE FE LA CAVERNE, AUTRE VERSION..
Il est des lieux où la Raison règne en thèse
(Ceux où gîtent les "gagnants" de toujours ?)
Où avant de se décider on consulte et on pèse
Longuement l'intérêt, le contre et le pour..
Sans honte aucune, bien au contraire
Ce sont les sentiments qui sont vulgaires
Et ceux qui se lient par désir ou amour
Gentuzza inconséquente vivant jour le jour..
Des lieux où le désir se commande, prostitué,
Et non pomme de discorde, magique, spontané,
Corde et corps, géhenne qui enchaîne, danger
Et si par miracle l'un le découvre, ébloui,
C'est la guerre de Troie: l'amant,
De la triste Caverne sorti,
Un traître à l'honneur et au clan,
Toute sa vie à expier, à l'encan....
Pour l'exemple, (car il peut être suivi.)
Et sonne la nuit, fondent les bougies,
Viennent la lassitude, les sombres coulures..
La guerre est finie. Hélène est partie..
Il est seul. Pour échapper à la gueuse, à la forfaiture,
Pour rentrer de plein droit dans le cocon sécure
Qui tout ce temps l'attendait.. -sous conditions-,
Il agonit l'objet de sa passion,
À la mesure même de sa violence, sabre au clair
Car lui, l'amant pérenne, le libertaire,
Ne cède pas à la République des beaux-frères,
De la haine. C'est la faute à Voltaire.
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