PAL PI
TANT Nicolas, je n'aime pas j'adorrre. Un super scénar.. Les golden boys et girls de Manhattan
privés d'électricité donc de net, de leur "l"phone, et même de téléphone, d'eau, de
transport, de bagnoles et très vite de bouffe, clops et autres trucs dont ils sont friands, coupés du monde -qui s'en fout-, juste retour des choses, indiens malgré eux sur la terre qu'ils leur ont volée après les avoir génocidés -mais sans leur débrouillardise et inventivité- ; mais quel film!!! quel best seller! Y a-t-il encore des puits
à Manhattan? peuvent-ils aller bêtement puiser -comme moi quand on me l'a coupée-? Peuvent-ils récupérer quelques tiroirs d'ordinateurs pour en faire des seaux? Leur reste-t-il encore du bois pour se chauffer et faire cuire ? Quelques scies à main pour le
couper? Mais ont-ils encore les muscles pour effectuer toutes ces éreintantes opérations ? Hé, ce ne sont pas de cévenols ! Et au 36ième étage, évidemment, ça
complique. Mais camper au sol? Se parler enfin, se voir, s'aimer peut-être?
Vraiment ça m'a mis une inspire d'enfer.. sauf le coup de la guerre nucléaire
évidemment... mais si on en croit Reeves, ça prend trois minutes seulement, plouf, on n'a pas le temps de voir venir ni même d'avoir peur, donc finalement
c'est moins pire que les tranchées, les camps nazis, les gaz...
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http://femmesavenir.blogspot.fr/2014/04/avon-disparu-these-creuser-demain.html
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