Oui, ceux là même qui sont censé "aider" peuvent parfois contribuer à couler leurs "clients", volontairement ou par maladresse. Les institutions "caritatives" ou
plutôt humanitaires -même la Croix rouge- ne sont pas épargnées -selon les endroits
et les personnels- par ces "dérives", en réalité inscrites
dans le paradoxe même du travail social et/ou bénévole et des raisons pour lesquelles certains
parfois s'y engouffrent*. J'ai été témoin récemment d'une rebuffade hard de la
part d'un ou de plusieurs ?- bénévoles vis à vis d'un supposé "fraudeur" -qui
pourtant ne payait pas de mine : s'il fraudait, c’était vraiment peu profitable
!!- lequel s'est énervé -à juste titre étant donné le ton employé à son encontre- et pour finir => appel à la police afin de faire sortir -ou boucler?- le trublion.. -problème si sans papier- ceci sans le moindre scrupule.
Lorsque j'ai voulu intervenir et calmer le jeu, je me suis faite rembarrer sec
: "Ne nous en mêlez pas!"
Curieux? Non. Les mêmes -deux à vrai dire seulement- avaient "interdit" l'accès du local à mon chiot... pour lequel précisément je venais -afin de lui trouver un harnais- ! Pour l’hygiène !! voir le dégouté et le dégoutant** -Il n'y avait pourtant rien d'alimentaire en ce lieu, mais seulement des bouquins et du matériel léger, pots, etc..- J'avais répliqué sec, ça avait passé mais "ils" me guettaient sans doute (?) et lorsque je suis descendue pour cette fois regarder des livres, "ils" m'ont dit -toujours sur un ton désagréable- qu'à présent il fallait le "sortir" -et le laisser à 2 mois seul, attaché devant le hangar?- C'est là que les hurlements du type qui criait qu'il avait faim (!) ont soudain explosé. Il n'avait pas le "droit" m'a expliqué posément une des bénévoles -peut-être est-ce vrai mais qu’importe, il n'y avait à ce moment là que lui et moi en tant que clients et moi je ne demandais rien..- J'ai donc suggéré de lui donner "quand même un colis" et.... me suis faite rembarrer. "PAS LE DROIT PAS LE DROIT, D'AILLEURS IL EMBÊTE TOUT LE MONDE MAIS RIEN RISQUE LA POLICE VA ARRIVER ET TRAITER L'AFFAIRE COMME IL LE MÉRITE" etc.. Malaise.
*Une internaute notait à ce sujet que son ex qui, durant toute la durée de leur vie commune avait pour cible de prédilection les "imbéciles irresponsables dépensant au delà de leurs moyens..." qu'il agonissait d'interminables palinodies.. ["s'endettant et faisant ensuite payer à la société -aux gens de "bien", lui !- leurs inconséquences" etc] ... après leur divorce, devint Président... d'une association "d'aide aux surendettés" (!!) Incontestablement, le travail "social", associatif, réel ou virtuel, bénévole ou non, attire parfois des gens/ses qui ont des comptes à régler avec une catégorie particulière de personnes : femmes, femmes battues, victimes de pervers, surendettés, drogués, homos, autres cultures, pauvres ou a contrario : riches, intellos, profs, médecins, amoureux/ses, personnes qui semblent avoir "mieux" réussi qu'eux etc... C'est ainsi qu'ils s'alimentent en gibier, un gibier qui vient tout seul se prendre aux rets : voir enfin un/e objet de sa haine/envie/jalousie dans une situation de faiblesse provisoire leur met du baume sur le cœur : un plaisir délicat pour qui souffre ou a souffert de l'existence même de cette catégorie de personnes.. Qu'il jubile et le/s pousse mine de rien vers le gouffre est donc naturel.
Curieux? Non. Les mêmes -deux à vrai dire seulement- avaient "interdit" l'accès du local à mon chiot... pour lequel précisément je venais -afin de lui trouver un harnais- ! Pour l’hygiène !! voir le dégouté et le dégoutant** -Il n'y avait pourtant rien d'alimentaire en ce lieu, mais seulement des bouquins et du matériel léger, pots, etc..- J'avais répliqué sec, ça avait passé mais "ils" me guettaient sans doute (?) et lorsque je suis descendue pour cette fois regarder des livres, "ils" m'ont dit -toujours sur un ton désagréable- qu'à présent il fallait le "sortir" -et le laisser à 2 mois seul, attaché devant le hangar?- C'est là que les hurlements du type qui criait qu'il avait faim (!) ont soudain explosé. Il n'avait pas le "droit" m'a expliqué posément une des bénévoles -peut-être est-ce vrai mais qu’importe, il n'y avait à ce moment là que lui et moi en tant que clients et moi je ne demandais rien..- J'ai donc suggéré de lui donner "quand même un colis" et.... me suis faite rembarrer. "PAS LE DROIT PAS LE DROIT, D'AILLEURS IL EMBÊTE TOUT LE MONDE MAIS RIEN RISQUE LA POLICE VA ARRIVER ET TRAITER L'AFFAIRE COMME IL LE MÉRITE" etc.. Malaise.
*Une internaute notait à ce sujet que son ex qui, durant toute la durée de leur vie commune avait pour cible de prédilection les "imbéciles irresponsables dépensant au delà de leurs moyens..." qu'il agonissait d'interminables palinodies.. ["s'endettant et faisant ensuite payer à la société -aux gens de "bien", lui !- leurs inconséquences" etc] ... après leur divorce, devint Président... d'une association "d'aide aux surendettés" (!!) Incontestablement, le travail "social", associatif, réel ou virtuel, bénévole ou non, attire parfois des gens/ses qui ont des comptes à régler avec une catégorie particulière de personnes : femmes, femmes battues, victimes de pervers, surendettés, drogués, homos, autres cultures, pauvres ou a contrario : riches, intellos, profs, médecins, amoureux/ses, personnes qui semblent avoir "mieux" réussi qu'eux etc... C'est ainsi qu'ils s'alimentent en gibier, un gibier qui vient tout seul se prendre aux rets : voir enfin un/e objet de sa haine/envie/jalousie dans une situation de faiblesse provisoire leur met du baume sur le cœur : un plaisir délicat pour qui souffre ou a souffert de l'existence même de cette catégorie de personnes.. Qu'il jubile et le/s pousse mine de rien vers le gouffre est donc naturel.
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