Ce que je ressens de cette exubérance de la nature... m'angoisse, ces
gens qui sont partout, trop visibles, trop voyants, comme je regrette le sombre hiver ou l'automne où pendant les jours courts on peut se terrer chez soi autour d'un feu, d'un bouquin, protégé, la
nature discrète qui sait être là sans nous agresser par sa vitalité infernale,
toutes ces exigences qu'elle requiert qui me paraissent insurmontables.. Je hais le printemps et
encore plus l'été et l'infernale chaleur du Midi..
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