Men,
especially timid and childish, prefer small women, silly, frightened by spiders
and fainting in front of a mosquito : it makes them look great*. But they need women brave, strong and resourceful to carry them at
arm's length. If they also are sexually unmoved, they prefer frigid women
because they require nothing. But they need sexually acting women to overcome
their deficencies. To seduce them, they pong (a lapsus! I wanted to say play!) play the heroes. Unuseless most of time. So they fear that they unmask them, what happens
inevitably (or they have always guessed without discouraging, on the contrary!) Thus, when they refuse to play the game over time, or when they show a real deficiency (disease, for example) they seek to devalue them.. on other points-pretexts, they can't accept an injured horse that don't carry them as quickly as usual, and leads them to the abyss. And they are afraid they violate the holy omerta.
*Sometimes it happens women play the game to please them.
Les hommes, surtout pusillanimes et infantiles, préfèrent des femmes petites, sottes, effrayées par les araignées et s'évanouissant devant un moustique, pour paraître des caïds*.. Mais voilà, ils ont besoin de femmes courageuses, fortes et débrouillardes pour les porter à bout de bras. S'ils sont aussi sexuellement peu éblouissants, ils les aiment frigides car elles n'exigeront rien... mais voilà, en ce cas ils ont besoin de femmes sexuellement au point pour pallier leurs déficiences. Cruel dilemme.
*Il arrive que les femmes jouent le jeu pour leur complaire.
Pire encore. Pour les séduire, ils puent (je laisse, c'est "jouent" évidemment!) les héros. Ainsi ils redoutent qu'elles les démasquent, ce qui arrive inévitablement (ou qu'elles ont toujours su sans que cela ne les ait découragées, au contraire!) Dinc, (je laisse, mon ordi me fait des farces, "donc" voulais-je dire) lorsqu'elles refusent de jouer le jeu au fil du temps ou lorsqu'elles manifestent elles aussi une réelle déficience (maladie par exemple) aussi impitoyables envers elles qu'ils furent indulgents envers eux mêmes, ils cherchent à les dévaloriser sur des points prétextes, ne pouvant accepter un cheval blessé qui ne les porte plus aussi rapidement et les conduit à l'abîme, à leur abîme. Et ils redoutent qu'elles ne violent l'omerta sacrée. L'hygiène constitue un argument de choix, un levier remarquable.. Qu'on en juge.
C'est une variante du syndrome Sarko ("j'ai passé le gué, je coupe la corde"). Ainsi, un homme qui a toujours vécu dans le passé dans un désordre et défaut d'hygiène assez remarquables, par exemple avec un WC qui, n'acceptant plus le papier, obligeait sa nombreuse et fidèle clientèle à jeter l’œuvre d'art résultant de tout torchage consciencieux qui se respecte dans... une corbeille à papier à côté, à ciel ouvert, bien remplie ce jour où je la découvris de jolis trucs roses froissés, sournoisement repliés comme des pochettes surprises mais laissant parfois entrevoir au creux des pliures des taches jaunâtres que, nouvelle arrivée dans sa famille, j'avais cru résulter de démaquillages.. [lorsque ce matin-là, je sortis du lieu, il était à la porte, fort inquiet d'un impair que je risquais toujours de commettre dans ce milieu bourgeois compassé strict et arrogant, le sien. C'était le cas. Dialogue.
*Sometimes it happens women play the game to please them.
Les hommes, surtout pusillanimes et infantiles, préfèrent des femmes petites, sottes, effrayées par les araignées et s'évanouissant devant un moustique, pour paraître des caïds*.. Mais voilà, ils ont besoin de femmes courageuses, fortes et débrouillardes pour les porter à bout de bras. S'ils sont aussi sexuellement peu éblouissants, ils les aiment frigides car elles n'exigeront rien... mais voilà, en ce cas ils ont besoin de femmes sexuellement au point pour pallier leurs déficiences. Cruel dilemme.
*Il arrive que les femmes jouent le jeu pour leur complaire.
Pire encore. Pour les séduire, ils puent (je laisse, c'est "jouent" évidemment!) les héros. Ainsi ils redoutent qu'elles les démasquent, ce qui arrive inévitablement (ou qu'elles ont toujours su sans que cela ne les ait découragées, au contraire!) Dinc, (je laisse, mon ordi me fait des farces, "donc" voulais-je dire) lorsqu'elles refusent de jouer le jeu au fil du temps ou lorsqu'elles manifestent elles aussi une réelle déficience (maladie par exemple) aussi impitoyables envers elles qu'ils furent indulgents envers eux mêmes, ils cherchent à les dévaloriser sur des points prétextes, ne pouvant accepter un cheval blessé qui ne les porte plus aussi rapidement et les conduit à l'abîme, à leur abîme. Et ils redoutent qu'elles ne violent l'omerta sacrée. L'hygiène constitue un argument de choix, un levier remarquable.. Qu'on en juge.
Le syndrome de la corbeille à PQ
Voyage de noces |
Corbeille de noces, une légende |
C'est une variante du syndrome Sarko ("j'ai passé le gué, je coupe la corde"). Ainsi, un homme qui a toujours vécu dans le passé dans un désordre et défaut d'hygiène assez remarquables, par exemple avec un WC qui, n'acceptant plus le papier, obligeait sa nombreuse et fidèle clientèle à jeter l’œuvre d'art résultant de tout torchage consciencieux qui se respecte dans... une corbeille à papier à côté, à ciel ouvert, bien remplie ce jour où je la découvris de jolis trucs roses froissés, sournoisement repliés comme des pochettes surprises mais laissant parfois entrevoir au creux des pliures des taches jaunâtres que, nouvelle arrivée dans sa famille, j'avais cru résulter de démaquillages.. [lorsque ce matin-là, je sortis du lieu, il était à la porte, fort inquiet d'un impair que je risquais toujours de commettre dans ce milieu bourgeois compassé strict et arrogant, le sien. C'était le cas. Dialogue.
-Tu as fais QUOI?
- A ton avis ?
- Euh.. Oui.. mais caca AUSSI ?
- Les deux mon Général. Comme Clélia, je chie, même si ça te
déçois, je le vois bien.
- Et qu'as-tu fait du papier ?
- Je ne l'ai pas mis dans ma poche, c'est sûr !
- Tu l'as jeté OU ? (Son angoisse était prégnante.)
- Mais aux chiottes enfin !
- Il ne fallait pas ! C'est dans la corbeille qu'il fallait
le mettre !
- LA COR-BEIL-LE A PAPIER ?
- Mais oui ! Voyons !
- Donc ce qu'il y a dedans, c'est de la..?"
(Eh, OUI, ça "en" était bel et bien en effet. La
"bonne", qui ne l'avait pas vidée depuis... un certain temps, -car personne n'y touchait- s'est
sans doute faite engueuler...)]
.. le même homme donc s'offusque à présent d'une ou deux
assiettes sales laissées dans l'évier. (Problèmes de dos). C'est "immonde, il ne peut vivre ainsi,
je suis dégueulasse, il a même vu un moustique etc.." L'hygiène est une arme redoutable contre les femmes et contre n'importe quel racisé : "ILS" SONT SALES, ILS PUENT.. L'odorat étant le plus labile de nos sens, on pourra toujours invoquer une "odeur" sans que cela ne souffre débat (celui qui ne "sent" pas n'osera parfois pas l'avouer de peur de passer pour aussi crade que le mis-en-cause.)
A la base, il y a simplement l'amour ou la haine : pour le chiotte, il s'agissait de la mère dudit délicat, femme remarquable certes (mais pas sur ces questions, ce en quoi elle n'avait pas tort) qu'il adorait et craignait à la fois, la matriarche, la matrone : la corbeille n'avait donc aucune importance, à peine osait-on parler de choses si basses. L'omerta. Mais lorsque la haine remplace l'amour, il faut un support pour l'accrocher et QUAND IL N'Y A RIEN, ALORS, IL Y A L’HYGIÈNE, les odeurs. Lorsqu'on cherche, on trouve... et lorsqu'on refuse de voir, on ne voit pas.. y compris en cas de démesure entre les "manques". Deux assiettes sales le font défaillir et me couvrir d'insultes, une corbeille à PQ merdeux ne le gêne en rien. Lien.
A la base, il y a simplement l'amour ou la haine : pour le chiotte, il s'agissait de la mère dudit délicat, femme remarquable certes (mais pas sur ces questions, ce en quoi elle n'avait pas tort) qu'il adorait et craignait à la fois, la matriarche, la matrone : la corbeille n'avait donc aucune importance, à peine osait-on parler de choses si basses. L'omerta. Mais lorsque la haine remplace l'amour, il faut un support pour l'accrocher et QUAND IL N'Y A RIEN, ALORS, IL Y A L’HYGIÈNE, les odeurs. Lorsqu'on cherche, on trouve... et lorsqu'on refuse de voir, on ne voit pas.. y compris en cas de démesure entre les "manques". Deux assiettes sales le font défaillir et me couvrir d'insultes, une corbeille à PQ merdeux ne le gêne en rien. Lien.
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