lundi 22 juillet 2013

Anita et Marie Chantal



POUR ANITA, L'ENFANT DE LA HONTE, MORTE A VINGT ANS
CONTRE MARIE CHANTAL, L'ENFANT DE LA PARADE, ELLE, BIEN VIVANTE
.
Un drame imprévu d'un passé aboli,
Une jeune morte qui soudain ressurgit,
Abandonnée trois fois par des gens de bien
Belle et drôle, charismatique, 
Qui faisait tache pourtant car née sans père,
Ce qui vraiment ne se fait pas!
.
Et une autre, née, elle, avec père et quel père,
-Famille bien sous tous les angles, 
Qui pour celle qui l'a choisi, de la sienne devait
Jusqu'aux tréfonds laver toute la fange, 
-Car tout de même, chasser sa fille enceinte,
Cela ne se fait pas-.

 La bien née, aussi portée au nues que l'autre massacrée,
Surgie elle aussi, furie, innocente et odieuse
Manipulée, -les Liaisons dangereuses, 
C'est aussi ici-...

La coupable, c'était moi.. qui avais cherché et trouvé 
L'enfant de la honte soi disant perdue
A soixante kilomètres du cru!
Parque armée revenue des enfers,
Elle parla, sans à peu près, de sa naissance, 
De son abandon et autres choses peu convenables, 
L'enfant blessée que l'on voulait ailleurs,
En clamant l'inverse, -d'où mon erreur-.
   
 Quant à celle par qui est le scandale est arrivé
A présent haïe en dessous, il fallait la réduire, 
Coupable, oui, mais de quoi? On trouva,
D'inceste, pourquoi pas?
-Un transfert quasi parfait-.

Petite Anita, martyre de la bonne réputation de salopards,
Convenables et souriants, je suis fière de t'avoir connue. 
Inceste ! Les abrutis sont des gens précieux. 
Dors en paix ma jolie, tu as cessé d'être chassée.

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