(Link)
Des femmes -et des hommes aussi- en Afghanistan, arrêtées, risquent de
lourdes procédures -ou la mort comme ce fut le cas récemment pour l'une
soi-disant "adultère !"
(lien)-. Pourquoi ? Pour avoir eu des relations sexuelles hors mariage
ou s'être enfuies de la maison familiale afin par exemple d'échapper à
un mari "imposé". L'ambiance de ce pays où même si ce n'est pas
officiel, règne une pseudo charia, où tout le monde dénonce tout le
monde -et ça marche!-, où les victimes -pour sauver leur peau- deviennent à leur tour doleuses, dénonciatrices de ceux/celles qui les ont aidées,
où les rapports sociaux sont gangrenés au point que personne n'ose
tendre la main à celui /celle qui est tombé.. voire lui donnent
l'estocade finale, où tous se méfient à juste titre de tous... cela évoque ceci (l'affaire Rosemberg) ou d'autres, plus légères, sur le mode de la galéjade pagnolesque (lien).
Mais ne pavoisons pas trop! Il a chez "nous" aussi des burkas invisibles. Il n'est que d'écouter sur
De mémoire, ma réponse énervée : "Je ne vois personne à l'horizon qui me traite de pute à part vous.." Réplique attendue. Mais ce n'était pas pour moi, voyons c'est "JUSTE CE QU'AURAIT PENSÉ LEUR MARI D'ELLES SI.." De l'intériorisation et la transmission de l'aliénation chez des femmes féministes, par ailleurs -à juste titre- scandalisées par la situation des afghanes. ("C'est des barbares, ces types..")
___________________________________
About the film Tanaz Ezheghian "Crimes of Love"
Women -and men too- arrested in Afghanistan, risking heavy procedures or death -as it was the case recently for a young woman "adultery" (link) - for having sex outside marriage, or running away from their family home to escape a "imposed" husband, the atmosphere of this country where, even if it is not official, reign a pseudo Sharia, where everyone denounces everyone -and it works! - where victims become abusers in turn, denunciatory,-to save their lives- including those who helped them! where social relations are gangrenous to the extreme so that nobody dares to move and everybody distrusts eveybody ... it evokes this (link), in the mode light, like a tall story (link)
But don't boast ourselves, there are still women here -in deepest France- normally not silly that at the question "why did you not leave your husband?" respond more or less "I'm not a bitch. I have clean buttocks. I can walk in treet without shame at all." Morality, there are invisible burkas. Ours, or those of some of ours. here ! Yet, working women, independant, and not particuarly catholic.
Mais ne pavoisons pas trop! Il a chez "nous" aussi des burkas invisibles. Il n'est que d'écouter sur
De mémoire, ma réponse énervée : "Je ne vois personne à l'horizon qui me traite de pute à part vous.." Réplique attendue. Mais ce n'était pas pour moi, voyons c'est "JUSTE CE QU'AURAIT PENSÉ LEUR MARI D'ELLES SI.." De l'intériorisation et la transmission de l'aliénation chez des femmes féministes, par ailleurs -à juste titre- scandalisées par la situation des afghanes. ("C'est des barbares, ces types..")
___________________________________
About the film Tanaz Ezheghian "Crimes of Love"
Women -and men too- arrested in Afghanistan, risking heavy procedures or death -as it was the case recently for a young woman "adultery" (link) - for having sex outside marriage, or running away from their family home to escape a "imposed" husband, the atmosphere of this country where, even if it is not official, reign a pseudo Sharia, where everyone denounces everyone -and it works! - where victims become abusers in turn, denunciatory,-to save their lives- including those who helped them! where social relations are gangrenous to the extreme so that nobody dares to move and everybody distrusts eveybody ... it evokes this (link), in the mode light, like a tall story (link)
But don't boast ourselves, there are still women here -in deepest France- normally not silly that at the question "why did you not leave your husband?" respond more or less "I'm not a bitch. I have clean buttocks. I can walk in treet without shame at all." Morality, there are invisible burkas. Ours, or those of some of ours. here ! Yet, working women, independant, and not particuarly catholic.
Le bourrage de crâne remplace le tissus.Encore que pour accepter le tissus il faut déjà avoir la tête bien bourrée.
RépondreSupprimerTout ça est à vomir.
Fanfan
Oui Fanfan, bonne journée !
RépondreSupprimer