Vouloir correspondre au modèle ambiguë de "la" femme éternellement jeune et sexy peut coûter la vie*. La photo est celle d'Edwige, morte d'un lymphome faisant suite à la rupture d'un implant mammaire PIP déficient non seulement par la membrane trop fragile mais aussi par le produit qu'il contenait, du silicone RÉSERVÉ A UN USAGE INDUSTRIEL et non médical; Autrement dit, on lui a injecté quelque chose comme de l'huile de moteur qui a saturé son organisme. Lors de la chimio, sa peau était brûlée au second degré partout ce que les professionnels n'avaient jamais vu. Un martyre.
On the picture, Evelyne, died from a lymphoma, a kind of cancer, triggered by the rupture of an deficient breast prothesis. Too fragile (and porous) and, worse, filled with an industrial oil -for engines !- whose her body was saturated. During her chemotherapy, she was burned in second degree everywhere, what professionals had never seen. A martyr. To stay young and sexy at all costs can be mortal and the niche is juicy for laboratories and surgeons who, in order to increase their profits, don't care about the quality of their products.
Les médicaments, on le sait à présent, rapportent souvent plus d'argent aux labos (lien) que de confort aux patients et du reste c'est bien leur but basique (lien.) Voici une mise en garde spéciale contre un de ces garnements peu connu, la salazopérine, suspectée de favoriser les leucémies (je viens d'apprendre un cas qui touche une.. disons pour simplifier "proche par alliance".)
Il était une fois une femme qui ne voulait pas avoir de rides, ni de ventre, cuisses, culotte dite de "cheval" etc... en fait, rien de tout ce que Vogue et Marie Claire réprouvent. Qu'à cela ne tienne, il se trouva des chirurgiens esthétiques pour la liposucer, tendre, retendre, tatouer (maquiller "permanent")... et j'enlève du sein par ci, et je les raccroche dans la foulée bien plus haut, et je rajoute un peu par là, puis je remonte aussi les yeux, tire sur les sourcils qui du coup disparaissent, d'où tatouage, creuse les joues, avale les poches.. et enfin silicone et collagène pour tout crépir bien lisse... Ceci fort régulièrement c'est à dire dès que la substance a "disparu" (où? et pour faire quoi? Nul ne sait) et que la ride est revenue (biotox? Non, pas ici)... Car parfois "ça" vieillit mal, "ça" fait des vagues, le nombril se déporte, un sein vire à gauche comme un clignotant mal réglé etc... enfin bref il faut un service après vente costaud lorsqu'on s'est abonnée à ces retouches sérieuses et coûteuses -moins toutefois dans certains pays, où les protocoles semblent plus sommaires-.
Jusqu'au jour où une allergie au silicone, collagène [ou à quelque rebut pétrolier non identifié inapte à faire marcher les chaudières] se déclare : plus de rides certes, mais alors plus du tout, les joues comme des courges prêtes à exploser -et de la même couleur- plus une fièvre de cheval, hôpital, urgence où, malgré un précédent de colite, on la farcit d'anti inflammatoires, ça dégonfle enfin mais la rectocolite flambe aussi sec. Qu'à cela ne tienne, la salazopirine est là pour ça -interdite en France mais la suite ne se passe pas en France-... sauf qu'elle nécessite des contrôles réguliers de la formule sanguine (!) ce qu'elle ne fait pas car elle l'ignore [de toutes manières, lorsqu'il s'avèrent positifs c'est un peu tard.] Résultat : leucémie.
Méfiez-vous donc des opérations esthétiques pratiquées parfois comme on va chez le coiffeur et gardez vos viandes à peu près bio sauf extrême urgence, au cas par exemple où vous vous seriez tirée une balle dans la figure un soir de cafard. Rare. Deus sive natura.
Once upon a
time, there was a woman who refused to age, to have wrinkles, thighs and
"panties" so-called "of horse", the breasts which pass from
high beams to low beams... in fact, none of what Vogue and Marie Claire
disapprove. No matter, she found plastic surgeons to cut, stretch, tighten,
tattoo (makeup "permanent") and liposuccion... and I take breast
here, and I hang up higher, and I add a little there and remove a bit elsewhere,
then I raise up eyes, (but the eyebrows
disapear, never mind, I tattoo) I hollow cheeks, swallow pockets .. and
finally, I inject silicone and collagen to smooth all as an plasterer ... this,
very regularly ie once the substance has "disappeared" (where? And to
do what? No one knows) and the wrinkles are back (biotox? No, not here) ...
Because sometimes these reworks do not age well, it happens they make like
waves, the navel decentred, a breast turns to left as a defective flashing set
... in short, when one subscribes to these costly reworks -whose the protocols
sometimes seem lightest- it needs a serious customer- service. Until that an
allergy to silicone, collagen [or some unidentified oil unfit to run the
boilers] happens: more wrinkles certainly, not at all, but then cheeks like
pumpkins ready to explode -and the same color- with a raging horse's fever...
So, hospital emergency where, despite a previous colitis, they stuff her with
anti inflammatories, which work very well, it finally deflates… but ulcerative
explodes immediatly. Never mind, the salazopirine (a special drug) cures that
very well -banned in France but the story doesn't happen in France- ... except
that it requires regular monitoring of blood counts (!).. that she doesn't do
because she knows anything about it [and anyway, when it is positive, it is too
late.] Result: leukaemia.
So beware
of cosmetic surgery, sometimes performed as we go to the hairdresser, and keep
your meats "bio" unless extremely urgent, in the case for example you
have shooting yourself in the face on an evening blues. Rare. Deus sive natura.