La chasse -et les chasseurs- représentent l'image archétypique de la perversion : on suscite des dégâts que l'on prétend ensuite réparer... par altruisme, -en fait pour son plaisir, ici, le plaisir de tuer-. On utilise notre soi disant intelligence -et cependant les chasseurs... passons!- pour le leurrer, quasiment l'apprivoiser en le nourrissant... afin de pouvoir "briller" en l'assassinant -voir les "tableaux de tueries avec les gus réjouis- alors que l'animal ne représente plus ou n'a jamais représenté de danger réel (les chasseurs par contre, si!) même si après les battues, en effet, affolé par les cris -intentionnels- les coups de fusil et les chiens, il peut se précipiter sur des voitures. Exemple, nous nous sommes perdus 5 heures (!) Kiki et moi et de nuit dans les bois de Montalet, environnés de sangliers en période de reproduction (!) -des dizaines- qui ne nous ont rien fait si ce n'est, pour certains jeunes, de venir nous épier cachés derrières des arbres, curieux de ces trucs bizarres qui avançaient dans leur territoire sans être gênés. http://saintambroix.blogspot.fr/2012/06/les-bronzes-visitent-le-chateau-de.html
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