Un homme se fait "justice" lui-même après le viol de
sa fille de 14 ans, enceinte de surcroît (il torture à mort le violeur).
sa fille de 14 ans, enceinte de surcroît (il torture à mort le violeur).
Réponse à
une internaute qui observe que la manière dont la justice traite les affaires
de viol peut en effet parfois générer ce type de comportement, si horrible soit-il.
H : Un
"procès" pour agression, menaces –de mort et réitérées en le cas- et harcèlement,
sans même parler de viol, est une horrible épreuve : le gus est là, A VOS
COTES, comme pour un jugement de divorce (!) s'exprime (son avocat aussi), du reste on le lui
demande, et fort gentiment, et vous en principe n'en avez pas le droit,
surtout si vous n'avez pas pris la précaution, vous, de prendre -et de payer !!- un avocat… Il
arrive que les magistrats -cela varie- se moquent de la victime etc... Le pire
est la plaidoirie de l'avocat du gus, qui va arguer d'un geste unique relié à une passion amoureuse flamboyante
qui lui a fait perdre momentanément (!) -momentanément ? il a duré six mois tout de même, ce moment d'égarement !- ses facultés de raisonnement (!) et même parfois
tenter de vous faire passer pour une folle versatile, surtout si avant vous aviez eu
des relations avec l'agresseur.
Dans le cas
que je cite ("Le procès") il s'en est tiré avec 6 mois fermes... mais
a obtenu la compression des peines car il était déjà détenu pour une autre affaire
du même ordre qui les lui avaient valus => 2 pour le prix d'une, ça ne vaut
pas la peine de s'en passer, n'est-ce pas? Il n'a pas été retenu conte lui la
récidive car il était encore dans le délai d'appel de sa première condamnation,
qui par conséquent n'était pas définitive !! Génial non? Ils n'ont pas non plus
beaucoup cherché car dans son pays il avait une ou plusieurs histoires exactement
du même ordre derrière lui, et connues ! raison pour laquelle il avait fui. Un coup de fil* pourtant a
suffi pour le savoir. Donc pas récidiviste. Il a fait 4 mois et a été libéré
sans même que les victimes n'aient été prévenues, contrairement à ce qui nous
avait été assuré. Je l'ai trouvé devant chez moi en rentrant un soir alors que
je le croyais au frais. Par chance, il avait renoncé à son idée de se venger.
* Amusant –et
honteux- d’entendre, venant de 1000 km, d’un pays en voie de développement, de surcroît
musulman, une femme me dire "Mais en France, vous n’avez donc pas d’association
de défense des femmes comme ici ?" (C’était par son assoc qu’elle
avait su sa condamnation par défaut en quelques minutes ainsi que les raisons
de celle-ci –quoique semi bénévoles, elles tiennent, elles, à jour les dossiers !!-
la honte, quoi. "Et chez vous ce sont les victimes qui enquêtent ?"
(Elle m’avait au départ prise pour une magistrate ou une policière.) Euh… oui
en quelque sorte..
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